Cette fois encore, c'est la chaîne de Aïn Sebaâ qui produit «Had Assadaka» (les limites de l'amitié), écrit par Jihane Bahar. Quant au dialogue, il porte la signature de Mohamed Mouftakir. Ce nouveau drame psychologique raconte l'histoire de cinq amis ayant décidé de passer un week-end à Ifrane sur fond d'une enquête policière. Les amis réunis pour fêter le réveillon vont assister à un meurtre: l'enterrement d'un corps et d'une grande somme d'argent.
Grand dilemme ! Voulant se partager le butin, ils seront confrontés à un choix difficile: qui va l'emporter, l'argent ou l'amitié ?
Les événements de «Had assadaka» vont nous apporter les réponses. Le film sera porté par un bon casting, regroupant plusieurs noms, à commencer par le géniteur du réalisateur Aziz Fadili, Hanane Ibrahimi, Ben Issa Jirari, Khalid Benchagra, Aziz Hattab et Ismail Abou El Kanatir. «Le film est en finalisation du montage en ce moment. Pour la date de diffusion, je ne sais pas encore…», lance-t-il.
Très reconnaissant envers son acteur de père, Adil fadili ne rate pas les occasions pour lui dire sa gratitude à sa façon. D'ailleurs, il fait souvent appel aux talents d'acteur d'Aziz Fadili pour endosser le costume de protagoniste dans ses productions. «Je suis content que mon père, ma sœur et les autres membres de la famille font le même métier. Nous avons le même langage, les mêmes soucis et les mêmes objectifs. Je peux dire que j'ai eu de la chance d'être né dans cette famille et d'être l'aîné. Depuis notre enfance, c'était moi qui menais les jeux que ça soit un cache-cache ou un mini-film tourné en caméra vidéo avec mes sœurs et frères…», nous confie-t-il auparavant. Ayant pris goût à ces jeux, le jeune réalisateur va «professionnaliser» la chose. Avec une tendance prononcée à intervenir sur tous les niveaux de l'opération créative, il s'oriente naturellement vers la réalisation. «Jouer, créer les costumes, gérer l'éclairage, diriger les acteurs, créer les décors…
en fait je cherchais un métier qui peut fédérer toutes ces prestations», explique-t-il. Très porté sur le polar, Adil Fadili se défend tout de même de s'être spécialisé dans le genre policier. «J'ai commencé ma carrière par l'humour avec Hanane, j'ai fait également du théâtre. Avant la série «La brigade», j'ai tourné un film intitulé «Dam l'maghdour» qui n'a rien à voir avec le genre policier pour montrer que je peux faire autre chose», explique-t-il. Si «La brigade» diffusée sur TVM pendant deux ramadans successifs a valu à Fadili cette réputation, il la considère lui comme sa première production franchement policière. «Avant, avec «Ould Hamria» et «Al mouhimma», ce n'était pas du policier, ce sont des histoires sociales racontées d'une autre façon avec une question centrale: pourquoi ? Dans «la brigade», c'est une combinaison du pourquoi et du comment, le schéma classique du policier», s'entête à expliquer ce «manitou».
Pour ceux qui attendent Ramadan pour découvrir de nouvelles aventures des détectives de «La Brigade», le réalisateur les rassurent. Ils verront d'autres épisodes, mais pas pour ce Ramadan, ça sera pour le prochain. «Je suis en train de préparer les scénarios pour les tourner l'année prochaine», annonce-t-il. Tenant à faire durer cette aventure, Fadili ne cesse de prôner ses mérites malgré toutes les difficultés qui s'y rattachent. Pour lui, «La brigade» est une expérience enrichissante qui lui a permis de se diversifier malgré les petits couacs. Petit exemple? «Quand nous avons essayé de faire des scènes d'action, nous nous sommes rendu compte qu'on n'a pas les moyens pour ce genre de «prouesses». Alors nous avons dû bricoler, ça reste toujours un système de sauvetage», se rappelle-t-il. Assez inventif, Fadili est un homme qui sait se diversifier. En plus de ses fictions et de ses prestations au théâtre, il s'attaque également à la pub. Pour lui c'est une façon de s'occuper en attendant de réaliser ses projets, multiples d'ailleurs.
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Grand dilemme ! Voulant se partager le butin, ils seront confrontés à un choix difficile: qui va l'emporter, l'argent ou l'amitié ?
Les événements de «Had assadaka» vont nous apporter les réponses. Le film sera porté par un bon casting, regroupant plusieurs noms, à commencer par le géniteur du réalisateur Aziz Fadili, Hanane Ibrahimi, Ben Issa Jirari, Khalid Benchagra, Aziz Hattab et Ismail Abou El Kanatir. «Le film est en finalisation du montage en ce moment. Pour la date de diffusion, je ne sais pas encore…», lance-t-il.
Très reconnaissant envers son acteur de père, Adil fadili ne rate pas les occasions pour lui dire sa gratitude à sa façon. D'ailleurs, il fait souvent appel aux talents d'acteur d'Aziz Fadili pour endosser le costume de protagoniste dans ses productions. «Je suis content que mon père, ma sœur et les autres membres de la famille font le même métier. Nous avons le même langage, les mêmes soucis et les mêmes objectifs. Je peux dire que j'ai eu de la chance d'être né dans cette famille et d'être l'aîné. Depuis notre enfance, c'était moi qui menais les jeux que ça soit un cache-cache ou un mini-film tourné en caméra vidéo avec mes sœurs et frères…», nous confie-t-il auparavant. Ayant pris goût à ces jeux, le jeune réalisateur va «professionnaliser» la chose. Avec une tendance prononcée à intervenir sur tous les niveaux de l'opération créative, il s'oriente naturellement vers la réalisation. «Jouer, créer les costumes, gérer l'éclairage, diriger les acteurs, créer les décors…
en fait je cherchais un métier qui peut fédérer toutes ces prestations», explique-t-il. Très porté sur le polar, Adil Fadili se défend tout de même de s'être spécialisé dans le genre policier. «J'ai commencé ma carrière par l'humour avec Hanane, j'ai fait également du théâtre. Avant la série «La brigade», j'ai tourné un film intitulé «Dam l'maghdour» qui n'a rien à voir avec le genre policier pour montrer que je peux faire autre chose», explique-t-il. Si «La brigade» diffusée sur TVM pendant deux ramadans successifs a valu à Fadili cette réputation, il la considère lui comme sa première production franchement policière. «Avant, avec «Ould Hamria» et «Al mouhimma», ce n'était pas du policier, ce sont des histoires sociales racontées d'une autre façon avec une question centrale: pourquoi ? Dans «la brigade», c'est une combinaison du pourquoi et du comment, le schéma classique du policier», s'entête à expliquer ce «manitou».
Pour ceux qui attendent Ramadan pour découvrir de nouvelles aventures des détectives de «La Brigade», le réalisateur les rassurent. Ils verront d'autres épisodes, mais pas pour ce Ramadan, ça sera pour le prochain. «Je suis en train de préparer les scénarios pour les tourner l'année prochaine», annonce-t-il. Tenant à faire durer cette aventure, Fadili ne cesse de prôner ses mérites malgré toutes les difficultés qui s'y rattachent. Pour lui, «La brigade» est une expérience enrichissante qui lui a permis de se diversifier malgré les petits couacs. Petit exemple? «Quand nous avons essayé de faire des scènes d'action, nous nous sommes rendu compte qu'on n'a pas les moyens pour ce genre de «prouesses». Alors nous avons dû bricoler, ça reste toujours un système de sauvetage», se rappelle-t-il. Assez inventif, Fadili est un homme qui sait se diversifier. En plus de ses fictions et de ses prestations au théâtre, il s'attaque également à la pub. Pour lui c'est une façon de s'occuper en attendant de réaliser ses projets, multiples d'ailleurs.
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