Diffusé à partir de dimanche dernier, le nouveau feuilleton interarabe, réalisé par Samer Barkaoui, réunit de grands noms de la scène artistique arabe. Notre star nationale donne la réplique à Mouna Wacef, Marah Jabr, Abdelhadi Sabbagh, Pierre Dagher, Lara Safdi, Hanane Moutaweâ, Jalal Ramez et bien d'autres... Une pléiade d'acteurs de renom venant des quatre coins du monde arabe pour donner vie à des personnages liés par le destin, celui d'une ville en pleine expansion.
“L'histoire parle de ce rêve inaccessible que représente Dubaï, cette ville douce et monstre à la fois. A travers les chroniques de quelques immigrés, le feuilleton évoque les espérances et les déceptions qui font leur quotidien et leur vécu d'expatriés”, nous raconte auparavant H. Bahloul.
Selon un habitué des productions arabes et internationales, le jeune acteur a déjà fait ses preuves auprès du public arabe. Fortement apprécié pour son rôle remarquable du prêtre chrétien dans la grande production arabe “Houlakou”, l'acteur, débordant de talents, a une belle diction en arabe classique. Servi par une voix grave en plus, il en fait sa force et sa grande distinction auprès de nos amis les Orientaux.
Campant le rôle d'un directeur au sein d'une importante entreprise, H. Bahloul va essayer, tout au long du feuilleton, de confirmer son talent et de se distinguer parmi les grandes pointures arabes. Ce qui ne l'empêche pas d'?uvrer également au niveau national. Après avoir failli remporter le Prix de la meilleure interprétation masculine lors de la dernière édition du Festival du film de Tanger, l'acteur renoue avec ses premières amours. Il retourne sur les planches après une longue absence qui a duré six ans.
Cette fois-ci, c'est sous la direction de Jilali Farhati dans une nouvelle pièce “Pieds blancs”. Le texte signé Zoubir Ben Boucheta est joué en duo par H. Bahloul et Houssine Bouhssine. La pièce a été présentée en avant-première à Tétouan, la semaine dernière, et sera en tournée nationale cet été.
Côté télévision, le comédien vient de jouer dans un téléfilm intitulé “Yasmina” toujours sous la direction du réalisateur Jilali Farhati. Apparemment, les deux artistes ont pris goût à cette collaboration. Dans ce film, H. Bahloul joue le rôle de Talal, un jeune diplômé chômeur qui essaie tant bien que mal de gagner sa vie et de réaliser son rêve de toujours: se marier avec sa bien-aimée Yasmina. “Mais les choses ne vont pas comme il le veut et il se retrouve aussitôt impliqué dans des affaires louches.
C'est un rôle de composition avec un personnage déchiré entre son amour et son impuissance à s'accomplir”, explique H. Bahloul.
Sur sa lancée, le jeune comédien est loin de ralentir son élan. Entre télévision, théâtre et cinéma, il est sur tous les fronts et toujours aussi déterminé. En principe, il devrait jouer, en ce mois d'avril 2008, le premier rôle dans le nouveau film “Histoire d'un lutteur mchaouchi” du cinéaste Mohamed Âahd Bensouda aux côtés de Hamidou Benmassôud. “C'est le récit des aventures d'un lutteur “traditionnel” qui verra l'intervention de professionnels pour mon entraînement et pour l'écriture des combats”, annonce H. Bahloul.
Cette production a été financée par le CCM à hauteur de 3.500.000 DH.
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Mohamed Miftah, Fatema Kheïr, Saâd Tssouli, Hicham Bahloul, Sanaa Mouziane… tous ont su charmer réalisateurs et producteurs en plus du grand public. Une véritable fenêtre ouverte sur le monde arabe, le petit écran est devenu ainsi un tremplin pour nos acteurs qui démontrent leur capacité de s'exporter et de bien se vendre.
Ceci malgré la grande compétition sur le marché et qui les met en face de véritables challenges en présence des redoutables acteurs égyptiens, syriens, libanais ou autres maghrébins.
D'ailleurs, nos dramaturges ont pu également marqué un point à travers Abdel Karim Burshid qui a participé à l'écriture du scénario de la série “Al marikoune” (les mécréants) signé par le grand Najdat Anzour.
Côté espaces, on retrouve avec plaisir les monuments, les villes et autres paysages marocains dans des feuilletons et même des films arabes tels “Al marikoune” et “Moulouk Attawaef”. Spécialement dans les épopées historiques qui revisitent l'ère andalouse, ses conflits, ses péripéties et ses personnages. Marrakech, Ouarzazate, Rabat, Salé, Chefchaouen, Tanger… ont servi toutes de lieux de tournage à de grandes productions.
Largement diffusées sur les télévisions satellitaires, elles ont fait, par la même occasion, de “la pub” au Royaume, à ses espaces et ses talents.
“L'histoire parle de ce rêve inaccessible que représente Dubaï, cette ville douce et monstre à la fois. A travers les chroniques de quelques immigrés, le feuilleton évoque les espérances et les déceptions qui font leur quotidien et leur vécu d'expatriés”, nous raconte auparavant H. Bahloul.
Selon un habitué des productions arabes et internationales, le jeune acteur a déjà fait ses preuves auprès du public arabe. Fortement apprécié pour son rôle remarquable du prêtre chrétien dans la grande production arabe “Houlakou”, l'acteur, débordant de talents, a une belle diction en arabe classique. Servi par une voix grave en plus, il en fait sa force et sa grande distinction auprès de nos amis les Orientaux.
Campant le rôle d'un directeur au sein d'une importante entreprise, H. Bahloul va essayer, tout au long du feuilleton, de confirmer son talent et de se distinguer parmi les grandes pointures arabes. Ce qui ne l'empêche pas d'?uvrer également au niveau national. Après avoir failli remporter le Prix de la meilleure interprétation masculine lors de la dernière édition du Festival du film de Tanger, l'acteur renoue avec ses premières amours. Il retourne sur les planches après une longue absence qui a duré six ans.
Cette fois-ci, c'est sous la direction de Jilali Farhati dans une nouvelle pièce “Pieds blancs”. Le texte signé Zoubir Ben Boucheta est joué en duo par H. Bahloul et Houssine Bouhssine. La pièce a été présentée en avant-première à Tétouan, la semaine dernière, et sera en tournée nationale cet été.
Côté télévision, le comédien vient de jouer dans un téléfilm intitulé “Yasmina” toujours sous la direction du réalisateur Jilali Farhati. Apparemment, les deux artistes ont pris goût à cette collaboration. Dans ce film, H. Bahloul joue le rôle de Talal, un jeune diplômé chômeur qui essaie tant bien que mal de gagner sa vie et de réaliser son rêve de toujours: se marier avec sa bien-aimée Yasmina. “Mais les choses ne vont pas comme il le veut et il se retrouve aussitôt impliqué dans des affaires louches.
C'est un rôle de composition avec un personnage déchiré entre son amour et son impuissance à s'accomplir”, explique H. Bahloul.
Sur sa lancée, le jeune comédien est loin de ralentir son élan. Entre télévision, théâtre et cinéma, il est sur tous les fronts et toujours aussi déterminé. En principe, il devrait jouer, en ce mois d'avril 2008, le premier rôle dans le nouveau film “Histoire d'un lutteur mchaouchi” du cinéaste Mohamed Âahd Bensouda aux côtés de Hamidou Benmassôud. “C'est le récit des aventures d'un lutteur “traditionnel” qui verra l'intervention de professionnels pour mon entraînement et pour l'écriture des combats”, annonce H. Bahloul.
Cette production a été financée par le CCM à hauteur de 3.500.000 DH.
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Et le Maroc dans tout cela ?
Et oui, le Maroc a désormais sa place dans les grandes productions arabes. Que ça soit par ses acteurs talentueux, par ses techniciens performants ou par ses espaces grandioses, il est bien présent.Mohamed Miftah, Fatema Kheïr, Saâd Tssouli, Hicham Bahloul, Sanaa Mouziane… tous ont su charmer réalisateurs et producteurs en plus du grand public. Une véritable fenêtre ouverte sur le monde arabe, le petit écran est devenu ainsi un tremplin pour nos acteurs qui démontrent leur capacité de s'exporter et de bien se vendre.
Ceci malgré la grande compétition sur le marché et qui les met en face de véritables challenges en présence des redoutables acteurs égyptiens, syriens, libanais ou autres maghrébins.
D'ailleurs, nos dramaturges ont pu également marqué un point à travers Abdel Karim Burshid qui a participé à l'écriture du scénario de la série “Al marikoune” (les mécréants) signé par le grand Najdat Anzour.
Côté espaces, on retrouve avec plaisir les monuments, les villes et autres paysages marocains dans des feuilletons et même des films arabes tels “Al marikoune” et “Moulouk Attawaef”. Spécialement dans les épopées historiques qui revisitent l'ère andalouse, ses conflits, ses péripéties et ses personnages. Marrakech, Ouarzazate, Rabat, Salé, Chefchaouen, Tanger… ont servi toutes de lieux de tournage à de grandes productions.
Largement diffusées sur les télévisions satellitaires, elles ont fait, par la même occasion, de “la pub” au Royaume, à ses espaces et ses talents.
