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Un jalon supplémentaire dans le projet d'édification d'un tissu sportif solide et pérenne à même d'assumer le rôle socio-économique qui lui incombe à une époque où le sport en général et le football en particulier sont reconnus comme pouvant s'ériger en véritables leviers de développement. C'est tout un ensemble de vertus qui ont conditionné la volonté de réaliser ce futur monument, Une Académie de football. Un énième projet restructurant dans l'agenda du Maroc nouveau. Le coup de pioche a été donné en présence de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, mercredi dernier. Un moment historique comme l'ont qualifié toutes les personnes interviewées parmi les anciens joueurs et les officiels. Rien n'a été laissé au hasard. Le projet a été minutieusement étudié jusqu'aux infimes détails. Un travail de professionnels et surtout d'hommes désireux de remettre sur selle un football qui mérite mieux que la place qu'il occupe actuellement. Pour eux, vouloir est synonyme de pouvoir vu le calibre des intervenants directs et indirects. A tout seigneur tout honneur, le tour de table est composé de quelques-unes des plus grosses entreprises du pays.
Des entreprises performantes et foncièrement citoyennes. Elles l'ont démontré dans d'autres cas (Wafa assurances, Centrale Laitière, Marjane, Itissalat Al Maghrib, BMCE Bank, ADDOHA, Fondation CDG). Leurs patrons étaient présents à la conférence de presse tenue en marge du lancement des travaux de construction du projet. A commencer par Othman Benjelloun, PDG de BMCE Bank qui a confié qu'il n'a pas hésité un moment pour mettre la main à la pâte ou plutôt dans la poche. Sa Fondation a été très réactive. M. Benjelloun dit avoir été toujours attiré par les activités culturelles et qu'il avait également un penchant vers tout ce qui est éducatif. Il considère l'Académie Mohammed VI comme étant un projet national et c'est avec plaisir et passion que sa banque s'est jointe au projet. Abdeslam Ahizoune, DG de Maroc Télécom, a rappelé pour sa part que son entreprise est un partenaire traditionnel de la FRMF. S'il a participé à l'œuvre concernant l'Académie, c'est question de confiance.
«Pourquoi ne pas le faire du moment qu'elle est portée par Sa Majesté lui-même », dit-il. Autre motivation pour le leader de la téléphonie mobile, la qualité du management et sa grande expérience en la matière. A. Ahizoune s'est réjoui que l'Académie se soit attaquée à l'essentiel, à savoir la formation. «Notre football national le mérite bien. Ce sport porte des valeurs d'excellence, d'endurance, de dépassement de soi. Notre Jeunesse mérite bien ce geste Royal». Dans la foulée Mustapha Bakkouri, DG de la CDG, a confié qu'être chef d'entreprise n'exclut pas d'être sensible aux autres domaines d'activités, dont le sport. La raison en est qu'il y a interdépendance. Pour lui, il ne devrait pas y avoir de décalage entre les différents secteurs dont le football. «Cela nous pousse à nous préoccuper de ce qui devrait être fait». M. Bakkouri estime que la restructuration du football national est un projet mobilisateur. La Fondation CDG s'est impliquée dans des initiatives en mobilisant des fonds conséquents, provenant des résultats réalisés par les Loteries nationales.
M. Belghazi, PDG de l'ONA, lança d'entrée de jeu que le Groupe qu'il représente s'est toujours impliqué dans les initiatives de solidarité, et ce, par le biais de sa Fondation. «Aujourd'hui, nous entamons une nouvelle phase d'un projet structurant. Nous voulons assumer notre responsabilité citoyenne».
Des déclarations qui attestent de l'esprit civique et de citoyenneté qui anime les sponsors de ce projet. Un projet d'intérêt général qui ne coûtera rien au contribuable. Le budget de construction, estimé à 140 millions de dirhams (14 milliards de centimes), sera financé entièrement par des fonds privés sous forme de crédits bancaires remboursables, dans un premier temps, par des subventions annuelles accordées par les sponsors, et ultérieurement par la vente des joueurs. Les partenaires n'attendent pas un retour sur investissement et l'Académie compte réinvestir les recettes. Autre élément de taille, l'Académie dispose d'un cadre juridique d'association à but non lucratif.
Le partenariat avec ces sponsors sera formalisé dans les prochaines semaines. En plus de ces mécènes, il y aura une dotation annuelle de Sa Majesté le Roi. Un geste loué par M. Mounir El Majidi, directeur du secrétariat particulier de Sa Majesté et président de l'Académie, qui a tenu à remercier solennellement Sa Majesté le Roi. On assura que l'argent des sponsors sera dépensé en toute transparence. Pour cela, l'Académie s'est engagée par la voix de son responsable administratif, financier et marketing, M'hamed Zeghari, à adopter des critères de bonne gouvernance. Toutes les conditions de bases ont été donc offertes pour garantir au projet le succès escompté. Reste le volet technique. Là encore, le profil choisi est le mieux indiqué. Il a usé ses baskets dans les Centres de Formation européens qu'il a dirigés pendant 25 ans. Nacer Larguet, pour ne pas le nommer, a tout prévu, ou presque. Il a rappelé qu'il s'agit d'un projet ambitieux qui n'a rien à envier à ses semblables en France. Un centre qui devra être un modèle du football national. Il hébergera 60 joueurs âgés de 12 à 18 ans. Ils seront dispatchés en trois groupes selon leurs âges.
La formation sera dispensée par des cadres qualifiés que Larguet choisira lui-même. « La priorité sera donnée à des techniciens marocains capables de donner une formation de haut niveau. A défaut, on recourra aux étrangers, mais en leur affectant des adjoints marocains ». Autre point d'inquiétude de certains confrères, la discrimination éventuelle dans la phase des recrutements.
Larguet a toujours la bonne réponse : «l'Académie est ouverte à tous les meilleurs jeunes au Maroc, sans distinction sociale ni régionale. Le football appartient aux footballeurs. Si on recrute des joueurs qui n'obéissent pas aux critères requis, on n'aura pas rendu service au football national ». La détection de prodiges en herbe est une phase cruciale et très sensible en effet. On compte s'approvisionner au niveau des établissements scolaires, des candidatures informelles et par l'organisation de journées de détection au niveau des clubs.
Pour une formation optimale, efficiente, les pensionnaires bénéficieront également du suivi médical, kiné, diététique, psychologique en plus de la préparation physique. Une formation scientifique en soi qui devra rompre avec les méthodes désuètes auxquelles se livrent ces soi-disant Ecoles de football tenues par nos clubs et encadrés par des personnes souvent sans bagages, dans des conditions propices plutôt à l'échec. Les joueurs «académiciens» suivront un cursus de «sport études». Le projet est ouvert sur son environnement. Ainsi, les clubs du GNFE1 et 2 pourront envoyer leurs meilleurs espoirs en formation dans l'Académie, dans le cadre d'un partenariat à définir. Elle dispensera par ailleurs une formation pour les formateurs. Le but ressassé par les instigateurs du projet est de doter le pays de footballeurs de haut niveau. Les lauréats devront rejoindre les équipes nationales, les clubs locaux ou partir à l'étranger. Le non-dit est que le projet devra être pluriel. C'est-à-dire que d'autres organismes devront suivre l'exemple en créant d'autres Académies à travers le pays.
Cela devrait conduire in fine à doter le Royaume d'une infrastructure moderne, un cadre adéquat pour une formation de footballeurs de haut niveau et l'instauration d'un championnat professionnel. C'est la voie la plus courte, même si la pente est raide, pour atteindre cet objectif face à la lenteur alarmante dans l'exécution du programme de mise à niveau enclenché par la Fédération il y a trois ans. La construction de Centres de Formation prévue dans ce programme se poursuit à pas de tortue, en dépit de la mobilisation de moyens budgétaires conséquents. Une Académie comme celle qui vient d'être mise en chantier est plus que souhaitable, elle est salutaire. Et c'est sous cet angle qu'il faudrait évaluer l'importance de cet événement vécu mercredi dans la lisière de Salé, en pleine forêt de chênes-lièges de la Maamora. Ce Centre constituera une lueur d'espoir pour de nombreux prodiges jusque-là invisibles. Ils pourront désormais rêver d'un avenir meilleur. Ce sera à partir du mois de septembre 2009.
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Le Pôle Hébergement : 30 chambres doubles, 4 chambres individuelles, 2 dortoirs, des espaces communs de détente et de vie (télévision, billard, Internet), 1 réfectoire et 1 cuisine pour 100 couverts;
Le Pôle Pédagogique : 10 salles de cours, 1 salle pour l'apprentissage des langues, 1 salle d'informatique, des locaux pour les professeurs et pour le responsable pédagogique ;
Le Pôle Médico-sportif : 1 salle de musculation, 4 vestiaires, 1 cabinet médical, 1 cellule de kinésithérapie et 1 bassin de balnéothérapie ;
Le Pôle Technique : 5 terrains de football de 105m x 65m chacun (1 terrain en gazon naturel, 1 terrain en terre battue, 3 terrains en gazon synthétique), 1 demi terrain synthétique couvert et éclairé et 1 carré d'entraînement pour les gardiens ;
Le Pôle Administratif : plateaux de bureaux pour les responsables et entraîneurs du centre, 1 salle polyvalente d'une capacité de 100 places (conférences, séminaires projections vidéo..) et 1 mosquée.
Par ailleurs, une école de loisirs est prévue, pour les enfants de 6 à 12 ans, sur un terrain mitoyen de 3 ha. Son objectif, distinct de celui de l'Académie, vise essentiellement à offrir un cadre adapté ainsi que des conditions de confort et de sécurité optimales aux parents désirant initier leurs enfants au football. Cette école, qui bénéficiera d'un accès indépendant, comportera 2 terrains de football synthétiques, 8 vestiaires, 1 service d'accueil et 1 cafétéria. Elle pourra accueillir jusqu'à 200 enfants par séance d'entraînement.
Des entreprises performantes et foncièrement citoyennes. Elles l'ont démontré dans d'autres cas (Wafa assurances, Centrale Laitière, Marjane, Itissalat Al Maghrib, BMCE Bank, ADDOHA, Fondation CDG). Leurs patrons étaient présents à la conférence de presse tenue en marge du lancement des travaux de construction du projet. A commencer par Othman Benjelloun, PDG de BMCE Bank qui a confié qu'il n'a pas hésité un moment pour mettre la main à la pâte ou plutôt dans la poche. Sa Fondation a été très réactive. M. Benjelloun dit avoir été toujours attiré par les activités culturelles et qu'il avait également un penchant vers tout ce qui est éducatif. Il considère l'Académie Mohammed VI comme étant un projet national et c'est avec plaisir et passion que sa banque s'est jointe au projet. Abdeslam Ahizoune, DG de Maroc Télécom, a rappelé pour sa part que son entreprise est un partenaire traditionnel de la FRMF. S'il a participé à l'œuvre concernant l'Académie, c'est question de confiance.
«Pourquoi ne pas le faire du moment qu'elle est portée par Sa Majesté lui-même », dit-il. Autre motivation pour le leader de la téléphonie mobile, la qualité du management et sa grande expérience en la matière. A. Ahizoune s'est réjoui que l'Académie se soit attaquée à l'essentiel, à savoir la formation. «Notre football national le mérite bien. Ce sport porte des valeurs d'excellence, d'endurance, de dépassement de soi. Notre Jeunesse mérite bien ce geste Royal». Dans la foulée Mustapha Bakkouri, DG de la CDG, a confié qu'être chef d'entreprise n'exclut pas d'être sensible aux autres domaines d'activités, dont le sport. La raison en est qu'il y a interdépendance. Pour lui, il ne devrait pas y avoir de décalage entre les différents secteurs dont le football. «Cela nous pousse à nous préoccuper de ce qui devrait être fait». M. Bakkouri estime que la restructuration du football national est un projet mobilisateur. La Fondation CDG s'est impliquée dans des initiatives en mobilisant des fonds conséquents, provenant des résultats réalisés par les Loteries nationales.
M. Belghazi, PDG de l'ONA, lança d'entrée de jeu que le Groupe qu'il représente s'est toujours impliqué dans les initiatives de solidarité, et ce, par le biais de sa Fondation. «Aujourd'hui, nous entamons une nouvelle phase d'un projet structurant. Nous voulons assumer notre responsabilité citoyenne».
Des déclarations qui attestent de l'esprit civique et de citoyenneté qui anime les sponsors de ce projet. Un projet d'intérêt général qui ne coûtera rien au contribuable. Le budget de construction, estimé à 140 millions de dirhams (14 milliards de centimes), sera financé entièrement par des fonds privés sous forme de crédits bancaires remboursables, dans un premier temps, par des subventions annuelles accordées par les sponsors, et ultérieurement par la vente des joueurs. Les partenaires n'attendent pas un retour sur investissement et l'Académie compte réinvestir les recettes. Autre élément de taille, l'Académie dispose d'un cadre juridique d'association à but non lucratif.
Le partenariat avec ces sponsors sera formalisé dans les prochaines semaines. En plus de ces mécènes, il y aura une dotation annuelle de Sa Majesté le Roi. Un geste loué par M. Mounir El Majidi, directeur du secrétariat particulier de Sa Majesté et président de l'Académie, qui a tenu à remercier solennellement Sa Majesté le Roi. On assura que l'argent des sponsors sera dépensé en toute transparence. Pour cela, l'Académie s'est engagée par la voix de son responsable administratif, financier et marketing, M'hamed Zeghari, à adopter des critères de bonne gouvernance. Toutes les conditions de bases ont été donc offertes pour garantir au projet le succès escompté. Reste le volet technique. Là encore, le profil choisi est le mieux indiqué. Il a usé ses baskets dans les Centres de Formation européens qu'il a dirigés pendant 25 ans. Nacer Larguet, pour ne pas le nommer, a tout prévu, ou presque. Il a rappelé qu'il s'agit d'un projet ambitieux qui n'a rien à envier à ses semblables en France. Un centre qui devra être un modèle du football national. Il hébergera 60 joueurs âgés de 12 à 18 ans. Ils seront dispatchés en trois groupes selon leurs âges.
La formation sera dispensée par des cadres qualifiés que Larguet choisira lui-même. « La priorité sera donnée à des techniciens marocains capables de donner une formation de haut niveau. A défaut, on recourra aux étrangers, mais en leur affectant des adjoints marocains ». Autre point d'inquiétude de certains confrères, la discrimination éventuelle dans la phase des recrutements.
Larguet a toujours la bonne réponse : «l'Académie est ouverte à tous les meilleurs jeunes au Maroc, sans distinction sociale ni régionale. Le football appartient aux footballeurs. Si on recrute des joueurs qui n'obéissent pas aux critères requis, on n'aura pas rendu service au football national ». La détection de prodiges en herbe est une phase cruciale et très sensible en effet. On compte s'approvisionner au niveau des établissements scolaires, des candidatures informelles et par l'organisation de journées de détection au niveau des clubs.
Pour une formation optimale, efficiente, les pensionnaires bénéficieront également du suivi médical, kiné, diététique, psychologique en plus de la préparation physique. Une formation scientifique en soi qui devra rompre avec les méthodes désuètes auxquelles se livrent ces soi-disant Ecoles de football tenues par nos clubs et encadrés par des personnes souvent sans bagages, dans des conditions propices plutôt à l'échec. Les joueurs «académiciens» suivront un cursus de «sport études». Le projet est ouvert sur son environnement. Ainsi, les clubs du GNFE1 et 2 pourront envoyer leurs meilleurs espoirs en formation dans l'Académie, dans le cadre d'un partenariat à définir. Elle dispensera par ailleurs une formation pour les formateurs. Le but ressassé par les instigateurs du projet est de doter le pays de footballeurs de haut niveau. Les lauréats devront rejoindre les équipes nationales, les clubs locaux ou partir à l'étranger. Le non-dit est que le projet devra être pluriel. C'est-à-dire que d'autres organismes devront suivre l'exemple en créant d'autres Académies à travers le pays.
Cela devrait conduire in fine à doter le Royaume d'une infrastructure moderne, un cadre adéquat pour une formation de footballeurs de haut niveau et l'instauration d'un championnat professionnel. C'est la voie la plus courte, même si la pente est raide, pour atteindre cet objectif face à la lenteur alarmante dans l'exécution du programme de mise à niveau enclenché par la Fédération il y a trois ans. La construction de Centres de Formation prévue dans ce programme se poursuit à pas de tortue, en dépit de la mobilisation de moyens budgétaires conséquents. Une Académie comme celle qui vient d'être mise en chantier est plus que souhaitable, elle est salutaire. Et c'est sous cet angle qu'il faudrait évaluer l'importance de cet événement vécu mercredi dans la lisière de Salé, en pleine forêt de chênes-lièges de la Maamora. Ce Centre constituera une lueur d'espoir pour de nombreux prodiges jusque-là invisibles. Ils pourront désormais rêver d'un avenir meilleur. Ce sera à partir du mois de septembre 2009.
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Description Du Projet
L'Académie se compose de différents pôles permettant d'accueillir 60 à 80 jeunes :Le Pôle Hébergement : 30 chambres doubles, 4 chambres individuelles, 2 dortoirs, des espaces communs de détente et de vie (télévision, billard, Internet), 1 réfectoire et 1 cuisine pour 100 couverts;
Le Pôle Pédagogique : 10 salles de cours, 1 salle pour l'apprentissage des langues, 1 salle d'informatique, des locaux pour les professeurs et pour le responsable pédagogique ;
Le Pôle Médico-sportif : 1 salle de musculation, 4 vestiaires, 1 cabinet médical, 1 cellule de kinésithérapie et 1 bassin de balnéothérapie ;
Le Pôle Technique : 5 terrains de football de 105m x 65m chacun (1 terrain en gazon naturel, 1 terrain en terre battue, 3 terrains en gazon synthétique), 1 demi terrain synthétique couvert et éclairé et 1 carré d'entraînement pour les gardiens ;
Le Pôle Administratif : plateaux de bureaux pour les responsables et entraîneurs du centre, 1 salle polyvalente d'une capacité de 100 places (conférences, séminaires projections vidéo..) et 1 mosquée.
Par ailleurs, une école de loisirs est prévue, pour les enfants de 6 à 12 ans, sur un terrain mitoyen de 3 ha. Son objectif, distinct de celui de l'Académie, vise essentiellement à offrir un cadre adapté ainsi que des conditions de confort et de sécurité optimales aux parents désirant initier leurs enfants au football. Cette école, qui bénéficiera d'un accès indépendant, comportera 2 terrains de football synthétiques, 8 vestiaires, 1 service d'accueil et 1 cafétéria. Elle pourra accueillir jusqu'à 200 enfants par séance d'entraînement.
