Cette convention a été signée par M. Bouslikhane, directeur du Groupe Mawrid (ISIAM) et par M. Padilla, directeur de l'ENIM. Ont pris part à cette cérémonie, M. Rezg, directeur adjoint à la recherche à l'ENIM et Ilias Majdouline, directeur de polytechnique à l'ISIAM d'Agadir et autres personnalités éminentes marocaines et étrangères concernées de la formation, de la technologie et de la recherche scientifique et pédagogique.
I. Majdouline, ayant procédé à l'ouverture de la cérémonie a cédé la parole à M. Bouslikhane qui, au cours d'une allocution qu'il a prononcée à cette occasion, a procédé à l'énumération des avancées de l'ISIAM d'Agadir, depuis son ouverture, il y a déjà vingt ans, comme il a rappelé celles de la coopération avec l'ENIM au terme des dix dernières années écoulées, débauchant dans l'optimisation du cursus destiné à la formation des élèves ingénieurs évoluant au sein de ces écoles et résidant dans la programmation, au fil des années, d'options leur permettant de se doter d'une synergie de compétences et dans la création, bien effectivement, de nouveaux programmes de ''Master''. Il a, ainsi, rappelé que l'Ecole polytechnique, opérationnelle depuis 2004, prodigue une formation de qualité ayant permis à ses élèves l'acquisition d'une multitude de compétences leur permettant de décider, de diriger un groupe, de créer et de piloter des chantiers et des projets.
Il a jouté que le cadre partenarial, inspiré de cette convention et déterminé à travers son élaboration et, également, à travers son opérationnalisation, est axé sur la délocalisation de l'Ecole polytechnique, l'offre de possibilités aux lauréats de poursuivre leurs études à l'ENIM et l'échange d'expériences et d'expertises via celui des enseignants et des stagiaires, s'assignant ainsi de leur procurer la possibilité de s'enquérir des nouveautés caractérisant le domaine de l'ingénierie et contraignant, par conséquent l'ingénieur à développer, en perpétuité, ses compétences et de les investir dans le développement de l'entité ou de l'institution au sein de laquelle il est appelé à évoluer, et à travers la contribution au développement économique de son pays.
M. Rezg, quant à lui, a procédé à la présentation de la ville de Metz qui abrite l'ENIM et qui se situe au carrefour de l'Europe, au centre de la grande région et qui jouit d'un patrimoine naturel et architectural de grande richesse. Réputée de cité de la communication et des nouvelles technologies, cette ville compte près de 105.000 habitants, trois campus universitaires et six grandes écoles, accueillant près de 20.000 étudiants. Il a procédé, par la suite, à la présentation de l'ENIM, ayant formé depuis sa création 5.238 ingénieurs. La grande école de Lorraine forme, pour sa part, 800 ingénieurs par an. Et en chiffres, il a évoqué qu'au sein de l'ENIM, évoluent, actuellement, près de 1.000 élèves, dont 130 étrangers par an et dont 200 partent, au terme de chaque année, à l'étranger en vue d'y poursuivre leurs études. Cette école compte aussi 76 enseignants, 115 vacataires, 54 autres internationaux et 250 tuteurs industriels en France et 120 à l'étranger. Bref, cette école constitue un arsenal important et une plate-forme en matière de formation d'ingénieurs.
M. Padilla, rappelant le rôle décisif de la qualité de la formation dans le rendement de l'ingénieur. Cet ingénieur qui se veut hautement qualifié, est appelé, aujourd'hui plus que jamais, à être armé du savoir-faire lui permettant de faire face aux conjonctures surgissant en perpétuité et qui puissent nuire tantôt superficiellement, tantôt profondément au tissu économique mondial, comme est le cas de l'actuelle crise économique et financière ayant paralysé une multitude de secteurs productifs et ayant entraîné une diminution du pouvoir d'achat de la population mondiale.
Dans une vision étalée sur les 20 ans avenir, Padilla insiste sur l'optimisation de la formation tant sur le plan qualitatif que sur le plan quantitatif. Cette optimisation se résume, notamment, dans la qualité, la productivité et le dynamisme. Il a soulevé, dans ce contexte, le déficit enregistré en matière du nombre des ingénieurs formés, à travers le monde, au terme de chaque année, n'excédant pas les 2.000.000 d'ingénieurs et dans cette nouvelle vision, l'ENIM compte contribuer à la réalisation de l'objectif opérationnel qui est la formation d'au moins 3.000.000 ingénieurs par an. Les lacunes, a-t-il déclaré, sont trop signifiantes et se manifestent dans le manque d'innovation en matière de formation.
Aussi, a-t-il ajouté, des initiatives ont été prises dans ce sens. Parmi elles figure la mise en place du ''Master'' de logistique et de la double diplômation en polytechnique. L'ISIAM, tirant profit de cette coopération sera intégré dans le cadre de l'ingénierie internationale. Aussi, a-t-il ajouté, 5 lauréats de l'ISIAM auront l'opportunité, au terme de chaque année, d'être accueillis par l'ENIM.
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I. Majdouline, ayant procédé à l'ouverture de la cérémonie a cédé la parole à M. Bouslikhane qui, au cours d'une allocution qu'il a prononcée à cette occasion, a procédé à l'énumération des avancées de l'ISIAM d'Agadir, depuis son ouverture, il y a déjà vingt ans, comme il a rappelé celles de la coopération avec l'ENIM au terme des dix dernières années écoulées, débauchant dans l'optimisation du cursus destiné à la formation des élèves ingénieurs évoluant au sein de ces écoles et résidant dans la programmation, au fil des années, d'options leur permettant de se doter d'une synergie de compétences et dans la création, bien effectivement, de nouveaux programmes de ''Master''. Il a, ainsi, rappelé que l'Ecole polytechnique, opérationnelle depuis 2004, prodigue une formation de qualité ayant permis à ses élèves l'acquisition d'une multitude de compétences leur permettant de décider, de diriger un groupe, de créer et de piloter des chantiers et des projets.
Il a jouté que le cadre partenarial, inspiré de cette convention et déterminé à travers son élaboration et, également, à travers son opérationnalisation, est axé sur la délocalisation de l'Ecole polytechnique, l'offre de possibilités aux lauréats de poursuivre leurs études à l'ENIM et l'échange d'expériences et d'expertises via celui des enseignants et des stagiaires, s'assignant ainsi de leur procurer la possibilité de s'enquérir des nouveautés caractérisant le domaine de l'ingénierie et contraignant, par conséquent l'ingénieur à développer, en perpétuité, ses compétences et de les investir dans le développement de l'entité ou de l'institution au sein de laquelle il est appelé à évoluer, et à travers la contribution au développement économique de son pays.
M. Rezg, quant à lui, a procédé à la présentation de la ville de Metz qui abrite l'ENIM et qui se situe au carrefour de l'Europe, au centre de la grande région et qui jouit d'un patrimoine naturel et architectural de grande richesse. Réputée de cité de la communication et des nouvelles technologies, cette ville compte près de 105.000 habitants, trois campus universitaires et six grandes écoles, accueillant près de 20.000 étudiants. Il a procédé, par la suite, à la présentation de l'ENIM, ayant formé depuis sa création 5.238 ingénieurs. La grande école de Lorraine forme, pour sa part, 800 ingénieurs par an. Et en chiffres, il a évoqué qu'au sein de l'ENIM, évoluent, actuellement, près de 1.000 élèves, dont 130 étrangers par an et dont 200 partent, au terme de chaque année, à l'étranger en vue d'y poursuivre leurs études. Cette école compte aussi 76 enseignants, 115 vacataires, 54 autres internationaux et 250 tuteurs industriels en France et 120 à l'étranger. Bref, cette école constitue un arsenal important et une plate-forme en matière de formation d'ingénieurs.
M. Padilla, rappelant le rôle décisif de la qualité de la formation dans le rendement de l'ingénieur. Cet ingénieur qui se veut hautement qualifié, est appelé, aujourd'hui plus que jamais, à être armé du savoir-faire lui permettant de faire face aux conjonctures surgissant en perpétuité et qui puissent nuire tantôt superficiellement, tantôt profondément au tissu économique mondial, comme est le cas de l'actuelle crise économique et financière ayant paralysé une multitude de secteurs productifs et ayant entraîné une diminution du pouvoir d'achat de la population mondiale.
Dans une vision étalée sur les 20 ans avenir, Padilla insiste sur l'optimisation de la formation tant sur le plan qualitatif que sur le plan quantitatif. Cette optimisation se résume, notamment, dans la qualité, la productivité et le dynamisme. Il a soulevé, dans ce contexte, le déficit enregistré en matière du nombre des ingénieurs formés, à travers le monde, au terme de chaque année, n'excédant pas les 2.000.000 d'ingénieurs et dans cette nouvelle vision, l'ENIM compte contribuer à la réalisation de l'objectif opérationnel qui est la formation d'au moins 3.000.000 ingénieurs par an. Les lacunes, a-t-il déclaré, sont trop signifiantes et se manifestent dans le manque d'innovation en matière de formation.
Aussi, a-t-il ajouté, des initiatives ont été prises dans ce sens. Parmi elles figure la mise en place du ''Master'' de logistique et de la double diplômation en polytechnique. L'ISIAM, tirant profit de cette coopération sera intégré dans le cadre de l'ingénierie internationale. Aussi, a-t-il ajouté, 5 lauréats de l'ISIAM auront l'opportunité, au terme de chaque année, d'être accueillis par l'ENIM.
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