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Ceux qui visitent le complexe Mohamed Benjelloun où le grand club casablancais a élu domicile depuis des lustres se rendent compte de l'activité qui y règne. C'est une véritable fourmilière qui commence dès qu'on met les pieds dans le complexe.
Un embellissement des murs par l'artiste marocain de renom, El Ghattas, puis ces édifices qui sont en train de sortir de la terre comme des champignons. Il y a également la construction du Centre de formation, le revêtement du terrain en gazon synthétique, la construction des bancs joliment confectionnés pour permettre aux jeunes du Wydad de suivre l'évolution de leur progéniture en toute quiétude.
L'intérêt pour la confection d'une équipe compétitive n'a pas occulté l'attention grandissante pour l'infrastructure. Après les recrutements d'un bon nombre de joueurs qui ont fait les beaux jours de leurs clubs, le comité du Wydad et son président El Akram se sont évertués à rendre le complexe Mohamed Benjelloun un endroit digne de la grandeur du WAC. Non seulement, il fallait embellir mais également construire.
A l'instar des grandes équipes internationales, le comité du prestigieux club bidaoui veut faire de ce complexe (le premier du genre dans l'histoire du sport marocain !), une enceinte accueillante où les parents puissent suivre l'évolution de leurs rejetons dans des conditions optimales.
Pour les pratiquants et visiteurs, il est important que ces derniers puissent trouver un espace sportif dont on pourrait être fier. Pas uniquement sur le plan configuration mais également sur les champs de jeu qui requièrent une attention soutenue.
La construction du Centre de formation n'est pas une chose aisée. Le coût onéreux de ces aménagements ne pose pas de problèmes puisque le maître de céans, Abdelilah El Akram, est là pour parer aux urgences financières et prendre les décisions qui permettent au club d'avancer.
Le reste du travail, c'est le comité qui s'en charge.
Le relationship, les recrutements, les jeunes, l'Ecole, la discipline… autant de domaines où chacun des membres apporte son eau à un moulin qui tourne à plein régime. Toute cette effervescence, cette restructure, cette volonté de faire du Wydad, un club qui mérite bien le nom de «Wydad El Oumma» qui intéresse l'ensemble du comité est à même de grossir le rang des annonceurs qui apportent, chaque jour, leur soutien au grand club casablancais.
D'ailleurs, beaucoup de sponsors demeurent sur les rangs attendant l'opportunité de pénétrer la «Citadelle Rouge». Car qui, d'autre que le Wydad, pourrait mieux véhiculer leur image de marque ?
De El Akram à Saïd Naciri (rien à voir avec l'acteur !), en passant par Idriss Benhima, Driss Slaoui, Ali Benjelloun, Hamid Hosni, Othmane El Alami, Salaheddine Chenguiti, Maati Warit Abdelkader Kadiri, Noureddine Benkirane ou encore Mohamed El Batouli, l'objectif est le même : maintenir le Wydad, et pour toujours, comme le club phare du football marocain.
Un embellissement des murs par l'artiste marocain de renom, El Ghattas, puis ces édifices qui sont en train de sortir de la terre comme des champignons. Il y a également la construction du Centre de formation, le revêtement du terrain en gazon synthétique, la construction des bancs joliment confectionnés pour permettre aux jeunes du Wydad de suivre l'évolution de leur progéniture en toute quiétude.
L'intérêt pour la confection d'une équipe compétitive n'a pas occulté l'attention grandissante pour l'infrastructure. Après les recrutements d'un bon nombre de joueurs qui ont fait les beaux jours de leurs clubs, le comité du Wydad et son président El Akram se sont évertués à rendre le complexe Mohamed Benjelloun un endroit digne de la grandeur du WAC. Non seulement, il fallait embellir mais également construire.
A l'instar des grandes équipes internationales, le comité du prestigieux club bidaoui veut faire de ce complexe (le premier du genre dans l'histoire du sport marocain !), une enceinte accueillante où les parents puissent suivre l'évolution de leurs rejetons dans des conditions optimales.
Pour les pratiquants et visiteurs, il est important que ces derniers puissent trouver un espace sportif dont on pourrait être fier. Pas uniquement sur le plan configuration mais également sur les champs de jeu qui requièrent une attention soutenue.
La construction du Centre de formation n'est pas une chose aisée. Le coût onéreux de ces aménagements ne pose pas de problèmes puisque le maître de céans, Abdelilah El Akram, est là pour parer aux urgences financières et prendre les décisions qui permettent au club d'avancer.
Le reste du travail, c'est le comité qui s'en charge.
Le relationship, les recrutements, les jeunes, l'Ecole, la discipline… autant de domaines où chacun des membres apporte son eau à un moulin qui tourne à plein régime. Toute cette effervescence, cette restructure, cette volonté de faire du Wydad, un club qui mérite bien le nom de «Wydad El Oumma» qui intéresse l'ensemble du comité est à même de grossir le rang des annonceurs qui apportent, chaque jour, leur soutien au grand club casablancais.
D'ailleurs, beaucoup de sponsors demeurent sur les rangs attendant l'opportunité de pénétrer la «Citadelle Rouge». Car qui, d'autre que le Wydad, pourrait mieux véhiculer leur image de marque ?
De El Akram à Saïd Naciri (rien à voir avec l'acteur !), en passant par Idriss Benhima, Driss Slaoui, Ali Benjelloun, Hamid Hosni, Othmane El Alami, Salaheddine Chenguiti, Maati Warit Abdelkader Kadiri, Noureddine Benkirane ou encore Mohamed El Batouli, l'objectif est le même : maintenir le Wydad, et pour toujours, comme le club phare du football marocain.
