Les scrutins ont pu avoir lieu dans 15 arrondissements de la ville de Casablanca. Le scrutin dans le 16e arrondissement a été reporté pour lundi prochain (6 juillet).
En effet, le seul arrondissement dont les élections du bureau ont été ajournées est celui de Sbata.
Sept partis politiques se sont réparti les présidences des 15 arrondissements où le scrutin a eu lieu. En termes de nombre de présidences remportées dans la métropole, le parti du président du conseil de la ville, l'Union Constitutionnelle (UC), se place en tête du peloton. Il a décroché quatre présidences : Hay Mohammadi (Abdelaziz Nacer), Sidi Bernoussi (Mohamed Dahi), Ben M'sick (Mohamed Joudar) et Mers Sultan (Houcine Hadaoui). Il espère ajouter un cinquième arrondissement à son compte dans le quartier de Sbata où les élections ont été reportées à lundi prochain. A signaler que là, le ministre istiqlalien, Karim Ghellab, est également donné favori face au candidat de l'UC, Mohamed Massoudi. Le parti du cheval s'est allié dans les différents arrondissements avec le Parti de la Justice et du Développement (PJD), le Rassemblement national des indépendants (RNI). Parfois, il s'est allié avec le Parti de l'Istiqlal (PI), c'est le cas à Hay Mohammadi, et avec le Front des forces démocratiques (FFD).
Ce dernier parti, n'a, par ailleurs, remporté aucune présidence ni vice-présidence. Après l'UC, vient en deuxième position le PJD qui a pu décrocher trois présidences. Il s'agit des Roches Noires, (Abderrahim Ouatas), Moulay Rachid (Mustapha Haya) et Hay Hassani (Najib Amor). Le parti de la lampe misait beaucoup sur l'arrondissement de Maârif qu'il voulait remporter.
Mais il a été pris de court par le parti de la balance dont l'ancien président de cet arrondissement, Ahmed Kadiri, qui bénéficiait déjà de neuf sièges, a su attirer vers lui les conseillers du Parti Authenticité et Modernité (PAM) sur lesquels comptait l'ancien parlementaire Abdessamad Haikar, le candidat pjdiste. Ainsi, en plus du Maârafi, l'Istiqlal s'est également assuré la présidence de l'arrondissement d'Anfa. L'istiqlalienne Yasmina Badou, qui n'a pas eu de rivales (Mbarka Bouaida du RNI et Bassima Hakaoui, qui étaient attendues pour lui faire face, ne se sont pas présentées), va rempiler à la tête de cet arrondissement, dont elle est également députée. En ce qui concerne le PAM, comme nous l'avions déjà annoncé, ses candidats avaient bien assuré leur majorité.
En effet, sans grande surprise, ils ont remporté la présidence de Sidi Moumen (Ahmed Brija) avec Marhani (du PJD comme premier vice-président) et de Sidi Othmane (Hadadi Mohamed). Le parti de la colombe a pu, lui aussi, remporter la présidence de deux arrondissements. Et ce, grâce au président sortant du conseil de la région, Chafik Benkirane, qui a eu la présidence de l'arrondissement de Ain Chock. A Ain Sebaâ, c'est grâce à Aziz Benomar dont le nom avait circulé, à un certain temps, comme concurrent, au nom du RNI, de Mohamed Sajid pour la mairie. La surprise de ces élections, après le coup porté par l'Istiqlal au PJD dans la circonscription de Maârif, reste ce qui est arrivé dans l'arrondissement de Sidi Belyout.
L'ancien président, Alaoui Moulay Youssef, membre de l'UC, ne s'est pas présenté, alors qu'il était donné grand favori. Là, l'alliance constituée par l'UC, le PJD et l'Union Socialiste des forces populaires (USFP) a permis à l'usfpéiste, Kamal Dissaoui, de préserver l'honneur du parti de la rose dans la métropole. Pour sa part, le Harraki, Said Hassbane, a sauvé la face de son parti, le Mouvement Populaire, dans l'arrondissement d'El-Fida-Derb Sultan.
Après ces élections, les différents arrondissements peuvent reprendre leur vie normale. Place à l'action.
En effet, le seul arrondissement dont les élections du bureau ont été ajournées est celui de Sbata.
Sept partis politiques se sont réparti les présidences des 15 arrondissements où le scrutin a eu lieu. En termes de nombre de présidences remportées dans la métropole, le parti du président du conseil de la ville, l'Union Constitutionnelle (UC), se place en tête du peloton. Il a décroché quatre présidences : Hay Mohammadi (Abdelaziz Nacer), Sidi Bernoussi (Mohamed Dahi), Ben M'sick (Mohamed Joudar) et Mers Sultan (Houcine Hadaoui). Il espère ajouter un cinquième arrondissement à son compte dans le quartier de Sbata où les élections ont été reportées à lundi prochain. A signaler que là, le ministre istiqlalien, Karim Ghellab, est également donné favori face au candidat de l'UC, Mohamed Massoudi. Le parti du cheval s'est allié dans les différents arrondissements avec le Parti de la Justice et du Développement (PJD), le Rassemblement national des indépendants (RNI). Parfois, il s'est allié avec le Parti de l'Istiqlal (PI), c'est le cas à Hay Mohammadi, et avec le Front des forces démocratiques (FFD).
Ce dernier parti, n'a, par ailleurs, remporté aucune présidence ni vice-présidence. Après l'UC, vient en deuxième position le PJD qui a pu décrocher trois présidences. Il s'agit des Roches Noires, (Abderrahim Ouatas), Moulay Rachid (Mustapha Haya) et Hay Hassani (Najib Amor). Le parti de la lampe misait beaucoup sur l'arrondissement de Maârif qu'il voulait remporter.
Mais il a été pris de court par le parti de la balance dont l'ancien président de cet arrondissement, Ahmed Kadiri, qui bénéficiait déjà de neuf sièges, a su attirer vers lui les conseillers du Parti Authenticité et Modernité (PAM) sur lesquels comptait l'ancien parlementaire Abdessamad Haikar, le candidat pjdiste. Ainsi, en plus du Maârafi, l'Istiqlal s'est également assuré la présidence de l'arrondissement d'Anfa. L'istiqlalienne Yasmina Badou, qui n'a pas eu de rivales (Mbarka Bouaida du RNI et Bassima Hakaoui, qui étaient attendues pour lui faire face, ne se sont pas présentées), va rempiler à la tête de cet arrondissement, dont elle est également députée. En ce qui concerne le PAM, comme nous l'avions déjà annoncé, ses candidats avaient bien assuré leur majorité.
En effet, sans grande surprise, ils ont remporté la présidence de Sidi Moumen (Ahmed Brija) avec Marhani (du PJD comme premier vice-président) et de Sidi Othmane (Hadadi Mohamed). Le parti de la colombe a pu, lui aussi, remporter la présidence de deux arrondissements. Et ce, grâce au président sortant du conseil de la région, Chafik Benkirane, qui a eu la présidence de l'arrondissement de Ain Chock. A Ain Sebaâ, c'est grâce à Aziz Benomar dont le nom avait circulé, à un certain temps, comme concurrent, au nom du RNI, de Mohamed Sajid pour la mairie. La surprise de ces élections, après le coup porté par l'Istiqlal au PJD dans la circonscription de Maârif, reste ce qui est arrivé dans l'arrondissement de Sidi Belyout.
L'ancien président, Alaoui Moulay Youssef, membre de l'UC, ne s'est pas présenté, alors qu'il était donné grand favori. Là, l'alliance constituée par l'UC, le PJD et l'Union Socialiste des forces populaires (USFP) a permis à l'usfpéiste, Kamal Dissaoui, de préserver l'honneur du parti de la rose dans la métropole. Pour sa part, le Harraki, Said Hassbane, a sauvé la face de son parti, le Mouvement Populaire, dans l'arrondissement d'El-Fida-Derb Sultan.
Après ces élections, les différents arrondissements peuvent reprendre leur vie normale. Place à l'action.
