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La capitale française a abrité, hier, un événement de portée significative. Il constitue une étape dans le renforcement de l'activité du secteur national du tourisme et celui de l'immobilier. Il donne surtout la mesure des effets vertueux des joint-ventures : la signature du partenariat stratégique de développement de projets touristiques et immobiliers entre le Groupe français «Pierre & Vacances» (P&V) et, à travers ses filiales CGI et Madaef, le groupe CDG. L'accord a été signé en présence de Mohamed Boussaïd, ministre du Tourisme, et Mustapha Bakkoury, directeur général de la CDG, et Gérard Brémond, président de P&V. Traduisant la volonté des deux groupes de renforcer les synergies en ce domaine, adossé également sur leur expertise et la longue expérience dont ils jouissent, l'accord vise une dynamisation du secteur.
Il renforce également, et c'est l'un des aspects majeurs, la confiance des deux parties qui ont choisi de maintenir leur engagement et d'investir. Le groupe P&V investit au Maroc, en dépit d'une conjoncture de crise. Cela signifie qu'il reconnaît indubitablement le potentiel et les opportunités du Royaume. Il cible aussi un segment dont le moins que l'on puisse dire est qu'il constitue une niche en pleine croissance, celle du tourisme familial, du tourisme d'affaires, qui plus est, à travers toutes les régions du pays : Marrakech, Agadir, Tanger, Rabat, et Casablanca. A lui seul, le montant de l'investissement programmé à l'horizon 2012 est significatif : 2,4 milliards de dirhams, et ce n'est que la première phase d'une coopération qui ira sans cesse croissant.
Le groupe Pierre & Vacances, implanté depuis quarante ans dans les domaines du tourisme et de l'immobilier, se prévaut de pas moins de 7 millions de touristes et engrange un chiffre d'affaires annuel de 1,5 milliard d'euros. Son alliance avec la CDG, principal investisseur public national, constitue en effet un levier certain pour la promotion de ce secteur à double dimension, le tourisme et l'immobilier. Si l'on s'en tient à la convention de partenariat qui vient d'être finalisé à Paris, la CGI et Pierre & Vacances s'engagent à réaliser d'ici 5 ans un vaste projet de 3.000 maisons et appartements avec l'objectif de 15.000 lits, axé aussi sur 4 modèles d'offres touristiques : L'Oasis Eco Resort sur 50 ha, projet structuré autour d'espaces aqualudiques paysagés et similaires en tous points aux résidences Pierre & Vacances-Résidences MGM, catégorie 5 étoiles ; Pierre & Vacances, catégorie 4 étoiles, enfin Maeva, 3 étoiles.
Il est prévu également des résidences de tourisme dans les régions touristiques principales, des résidences urbaines Adagio City Aparthotel et Orion international dans les villes, enfin des résidences seniors sous le label « Les Senioriales ».
Pour mener à bien ce vaste projet, les partenaires français et marocain ont mis sur pied deux entités : une société foncière et d'exploitation touristique comprenant comme actionnaires Madaef, à hauteur de 85%, et Pierre & Vacances Maroc, à 15%. Ensuite une société de promotion immobilière détenue à 50/50 par la CGI et Pierre & Vacances Maroc.
C'est un verrouillage pertinent, c'est aussi la manifestation la plus éloquente d'une volonté partagée de porter la synergie au-delà d'un contexte déterminé par la conjoncture. Il n'est pas jusqu'à l'aspect environnemental qui n'ait été pris en compte de manière pertinente par les deux partenaires, mettant à profit l'expérience – et surtout son alliance avec l'une des grandes associations mondiales de défenses de la nature, WWF – pour promouvoir un tourisme et un développement durables. On ne peut non plus s'empêcher de mettre en exergue la valeur ajoutée d'un tel partenariat multidimensionnel, en termes d'impact économique, de création d'emplois, d'acquisition d'expériences, de savoir-faire en matière de commercialisation, de gestion touristique et, ce qui n'est jamais le moindre domaine, l'animation et la gestion d'espaces de loisirs, celle-ci en constituant le talon d'Achille…
La CGI se positionne ainsi sur un pôle d'activité majeur, elle y apporte à la fois des projets structurants et des partenaires internationaux de taille. Qu'elle se lie, en l'occurrence, à un groupe comme Pierre & Vacances dont personne n'ignore le poids – il emploie pas moins de 9000 personnes –, la dimension internationale et l'expérience dans le domaine du tourisme et de l'immobilier, témoigne d'une vision ambitieuse. Elle assume une grande part d'édification d'un secteur national viable, fiable et porteur de valeur ajoutée et de croissance. Le partenariat finalisé entre la CGI et le groupe P&V, outre une confiance renouvelée, illustre de toute évidence la conviction des deux partenaires d'aller de l'avant et mettre en commun les savoir-faire, les expériences, les fonds et la gouvernance.
Transcendant les mauvais augures sur les effets de la crise internationale et son impact sur l'activité économique marocaine, le partenariat réalisé à Paris est aussi un exemple de complémentarité entre l'un des grands privés français et un groupe marocain. Le Maroc offre, dans ce contexte, un cadre idoine, juridique, financier, social et humain et peut se prévaloir, à juste titre, d'une ouverture vers l'extérieur à nulle autre pareille dans la région. En témoignent les accords de libre-échange signés avec les Etats-Unis, avec l'Union européenne comme aussi la libéralisation du ciel, l'Open Sky, qui favorise à coup sûr l'émergence des low-cost et la multiplication des chiffres de visiteurs.
Il convient de souligner, les chiffres et les projets le démontrent, que le secteur du tourisme et, en filigrane, celui de l'immobilier s'inscrivent plutôt dans une culture de mobilisation certaine. Celle de la CGI en l'occurrence, qui a lancé de grands chantiers comme Chrifya à Marrakech, Marsa à Tanger, le futuriste centre multiculturel à Rabat et la Marina à Casablanca, s'articule sur une conviction : l'innovation et la valorisation des opportunités pour rendre la destination Maroc plus attrayante, la pertinence, la profession de foi sont les atouts majeurs qui anticipent sur les prochaines années.
Il renforce également, et c'est l'un des aspects majeurs, la confiance des deux parties qui ont choisi de maintenir leur engagement et d'investir. Le groupe P&V investit au Maroc, en dépit d'une conjoncture de crise. Cela signifie qu'il reconnaît indubitablement le potentiel et les opportunités du Royaume. Il cible aussi un segment dont le moins que l'on puisse dire est qu'il constitue une niche en pleine croissance, celle du tourisme familial, du tourisme d'affaires, qui plus est, à travers toutes les régions du pays : Marrakech, Agadir, Tanger, Rabat, et Casablanca. A lui seul, le montant de l'investissement programmé à l'horizon 2012 est significatif : 2,4 milliards de dirhams, et ce n'est que la première phase d'une coopération qui ira sans cesse croissant.
Le groupe Pierre & Vacances, implanté depuis quarante ans dans les domaines du tourisme et de l'immobilier, se prévaut de pas moins de 7 millions de touristes et engrange un chiffre d'affaires annuel de 1,5 milliard d'euros. Son alliance avec la CDG, principal investisseur public national, constitue en effet un levier certain pour la promotion de ce secteur à double dimension, le tourisme et l'immobilier. Si l'on s'en tient à la convention de partenariat qui vient d'être finalisé à Paris, la CGI et Pierre & Vacances s'engagent à réaliser d'ici 5 ans un vaste projet de 3.000 maisons et appartements avec l'objectif de 15.000 lits, axé aussi sur 4 modèles d'offres touristiques : L'Oasis Eco Resort sur 50 ha, projet structuré autour d'espaces aqualudiques paysagés et similaires en tous points aux résidences Pierre & Vacances-Résidences MGM, catégorie 5 étoiles ; Pierre & Vacances, catégorie 4 étoiles, enfin Maeva, 3 étoiles.
Il est prévu également des résidences de tourisme dans les régions touristiques principales, des résidences urbaines Adagio City Aparthotel et Orion international dans les villes, enfin des résidences seniors sous le label « Les Senioriales ».
Pour mener à bien ce vaste projet, les partenaires français et marocain ont mis sur pied deux entités : une société foncière et d'exploitation touristique comprenant comme actionnaires Madaef, à hauteur de 85%, et Pierre & Vacances Maroc, à 15%. Ensuite une société de promotion immobilière détenue à 50/50 par la CGI et Pierre & Vacances Maroc.
C'est un verrouillage pertinent, c'est aussi la manifestation la plus éloquente d'une volonté partagée de porter la synergie au-delà d'un contexte déterminé par la conjoncture. Il n'est pas jusqu'à l'aspect environnemental qui n'ait été pris en compte de manière pertinente par les deux partenaires, mettant à profit l'expérience – et surtout son alliance avec l'une des grandes associations mondiales de défenses de la nature, WWF – pour promouvoir un tourisme et un développement durables. On ne peut non plus s'empêcher de mettre en exergue la valeur ajoutée d'un tel partenariat multidimensionnel, en termes d'impact économique, de création d'emplois, d'acquisition d'expériences, de savoir-faire en matière de commercialisation, de gestion touristique et, ce qui n'est jamais le moindre domaine, l'animation et la gestion d'espaces de loisirs, celle-ci en constituant le talon d'Achille…
La CGI se positionne ainsi sur un pôle d'activité majeur, elle y apporte à la fois des projets structurants et des partenaires internationaux de taille. Qu'elle se lie, en l'occurrence, à un groupe comme Pierre & Vacances dont personne n'ignore le poids – il emploie pas moins de 9000 personnes –, la dimension internationale et l'expérience dans le domaine du tourisme et de l'immobilier, témoigne d'une vision ambitieuse. Elle assume une grande part d'édification d'un secteur national viable, fiable et porteur de valeur ajoutée et de croissance. Le partenariat finalisé entre la CGI et le groupe P&V, outre une confiance renouvelée, illustre de toute évidence la conviction des deux partenaires d'aller de l'avant et mettre en commun les savoir-faire, les expériences, les fonds et la gouvernance.
Transcendant les mauvais augures sur les effets de la crise internationale et son impact sur l'activité économique marocaine, le partenariat réalisé à Paris est aussi un exemple de complémentarité entre l'un des grands privés français et un groupe marocain. Le Maroc offre, dans ce contexte, un cadre idoine, juridique, financier, social et humain et peut se prévaloir, à juste titre, d'une ouverture vers l'extérieur à nulle autre pareille dans la région. En témoignent les accords de libre-échange signés avec les Etats-Unis, avec l'Union européenne comme aussi la libéralisation du ciel, l'Open Sky, qui favorise à coup sûr l'émergence des low-cost et la multiplication des chiffres de visiteurs.
Il convient de souligner, les chiffres et les projets le démontrent, que le secteur du tourisme et, en filigrane, celui de l'immobilier s'inscrivent plutôt dans une culture de mobilisation certaine. Celle de la CGI en l'occurrence, qui a lancé de grands chantiers comme Chrifya à Marrakech, Marsa à Tanger, le futuriste centre multiculturel à Rabat et la Marina à Casablanca, s'articule sur une conviction : l'innovation et la valorisation des opportunités pour rendre la destination Maroc plus attrayante, la pertinence, la profession de foi sont les atouts majeurs qui anticipent sur les prochaines années.
