Connexion
LE MATIN : Est-ce que vous êtes rétabli de votre blessure contractée lors du match contre le Togo ?
YOUSSEF SEFRI : J'ai été blessé au niveau du tendon. L'examen médical a montré que c'était à cause de la charge des entraînements. Après une semaine de repos, j'ai repris mes entraînements et tout se passe bien maintenant.
Comment s'est passée la concentration de l'équipe nationale avant d'affronter les Eperviers ?
Les préparatifs se sont déroulés dans la plus grande sérénité et les meilleures conditions. La seule chose qu'on regrette, ce sont les blessures de certains joueurs comme Badr Kadouri, Aboucherouane, Et Ahmadi et El Hamdaoui, Michaël Basser. On sait bien la place qu'occupent ces éléments dans la sélection nationale. Leur absence devrait se sentir sur le terrain mais de toute façon, nous n'avons pas le choix. L'essentiel, c'est de revenir de Lomé avec un bon résultat. Sachez qu'une détermination hors normes anime les joueurs décidés à arracher la victoire.
Les noms convoqués pour remplacer les joueurs blessés sont-ils capables de relever le défi ?
Le staff technique a convoqué des joueurs ayant fait leur preuve dans leurs équipes, que ce soit au Maroc ou à l'étranger. La sélection nationale ne se limite pas à 11 personnes. L'effectif d'une équipe peut aller parfois jusqu'à plus de 30 personnes, mais le niveau change d'un joueur à l'autre. Nous souhaitons que ces joueurs soient au rendez-vous. Il ne nous reste pas beaucoup de temps, trois rencontres décisives nous attendent. Chaque joueur est appelé à donner le meilleur de lui-même pour espérer se qualifier au Mondial-2010.
Y aura-il des changements tactiques face au Togo ?
Nous avons passé peu de temps avec le nouveau staff technique. Lorsque deux ou trois joueurs se blessent, nous sommes obligés d'introduire des changements tactiques en tenant compte aussi de l'approche tactique de notre adversaire. La préparation tient compte des points de faiblesse de notre adversaire et de nos points forts. Je peux vous dire que nous sommes assez suffisamment motivés pour aborder les trois rencontres qui restent. Chaque match ressemble à une finale. Nous sommes conscients qu'en Afrique, les conditions de compétition ne sont pas toujours confortables. Que ce soit en termes de météo, d'hébergement, d'arbitrage sans pour autant oublier l'adversaire.
Comment voyez-vous le niveau de l'équipe togolaise ?
C'est une équipe forte regroupant des éléments forts dont certains évoluent dans des championnats européens. Le match sera rude mais nous pensons à nos points forts. Nous avons visionné des séquences de ses rencontres contre le Cameroun et le Maroc. Le Togo a certaines faiblesses qu'on doit exploiter pour ramener un bon résultat. Il ne faut pas non plus oublier qu'il joue à domicile, motivé et favorisé également par son classement confortable au sein du groupe.
Vous croyez encore aux chances de qualification au Mondial-2010 ?
Effectivement, on y croit. Nous resterons combatifs même s'il ne reste que 1% de chances. Cela s'est ressenti dans les efforts fournis lors des entraînements.
Nous gardons notre optimisme malgré l'absence de certains éléments. L'équipe nationale se trouve dans une situation difficile, il y a eu un changement de coach… A cette occasion, je lance un appel aux Marocains et aux médias pour qu'ils redonnent confiance à l'équipe nationale de sorte à ce qu'elle puisse reprendre le moral des grands jours.
YOUSSEF SEFRI : J'ai été blessé au niveau du tendon. L'examen médical a montré que c'était à cause de la charge des entraînements. Après une semaine de repos, j'ai repris mes entraînements et tout se passe bien maintenant.
Comment s'est passée la concentration de l'équipe nationale avant d'affronter les Eperviers ?
Les préparatifs se sont déroulés dans la plus grande sérénité et les meilleures conditions. La seule chose qu'on regrette, ce sont les blessures de certains joueurs comme Badr Kadouri, Aboucherouane, Et Ahmadi et El Hamdaoui, Michaël Basser. On sait bien la place qu'occupent ces éléments dans la sélection nationale. Leur absence devrait se sentir sur le terrain mais de toute façon, nous n'avons pas le choix. L'essentiel, c'est de revenir de Lomé avec un bon résultat. Sachez qu'une détermination hors normes anime les joueurs décidés à arracher la victoire.
Les noms convoqués pour remplacer les joueurs blessés sont-ils capables de relever le défi ?
Le staff technique a convoqué des joueurs ayant fait leur preuve dans leurs équipes, que ce soit au Maroc ou à l'étranger. La sélection nationale ne se limite pas à 11 personnes. L'effectif d'une équipe peut aller parfois jusqu'à plus de 30 personnes, mais le niveau change d'un joueur à l'autre. Nous souhaitons que ces joueurs soient au rendez-vous. Il ne nous reste pas beaucoup de temps, trois rencontres décisives nous attendent. Chaque joueur est appelé à donner le meilleur de lui-même pour espérer se qualifier au Mondial-2010.
Y aura-il des changements tactiques face au Togo ?
Nous avons passé peu de temps avec le nouveau staff technique. Lorsque deux ou trois joueurs se blessent, nous sommes obligés d'introduire des changements tactiques en tenant compte aussi de l'approche tactique de notre adversaire. La préparation tient compte des points de faiblesse de notre adversaire et de nos points forts. Je peux vous dire que nous sommes assez suffisamment motivés pour aborder les trois rencontres qui restent. Chaque match ressemble à une finale. Nous sommes conscients qu'en Afrique, les conditions de compétition ne sont pas toujours confortables. Que ce soit en termes de météo, d'hébergement, d'arbitrage sans pour autant oublier l'adversaire.
Comment voyez-vous le niveau de l'équipe togolaise ?
C'est une équipe forte regroupant des éléments forts dont certains évoluent dans des championnats européens. Le match sera rude mais nous pensons à nos points forts. Nous avons visionné des séquences de ses rencontres contre le Cameroun et le Maroc. Le Togo a certaines faiblesses qu'on doit exploiter pour ramener un bon résultat. Il ne faut pas non plus oublier qu'il joue à domicile, motivé et favorisé également par son classement confortable au sein du groupe.
Vous croyez encore aux chances de qualification au Mondial-2010 ?
Effectivement, on y croit. Nous resterons combatifs même s'il ne reste que 1% de chances. Cela s'est ressenti dans les efforts fournis lors des entraînements.
Nous gardons notre optimisme malgré l'absence de certains éléments. L'équipe nationale se trouve dans une situation difficile, il y a eu un changement de coach… A cette occasion, je lance un appel aux Marocains et aux médias pour qu'ils redonnent confiance à l'équipe nationale de sorte à ce qu'elle puisse reprendre le moral des grands jours.
