Connexion
Cette année encore, la ville ocre, ses habitants et ses visiteurs ont rendez-vous avec les stars, les strass et les films représentant les quatre coins du monde. Tout est déjà en place pour que la ville ocre déclare encore une fois sa flamme pour le septième art : Tapis rouge à l'entrée du palais des congrès, écran géant sur la place de Jamaâ El-Fna, dispositifs de sécurité draconienne... La grande messe du cinéma continuera à faire vibrer les cœurs des cinéphiles jusqu'au 12 décembre prochain. Ces derniers sont attendus par un programme alléchant qui prévoit hommages, projections, compétition, master-class…
La compétition, volet important du menu du festival, opposera quinze films représentant les nationalités du monde pour élire à la fin les opus primés qui recevront quatre prix, en l'occurrence l'Etoile d'Or/Grand Prix, le Prix du jury et les Prix d'interprétations masculine et féminine. «Nous avons cherché, dans nos voyages, des auteurs manifestant le désir d'ancrer leurs récits dans la réalité d'un monde où s'offre la possibilité d'une transcendance, d'un changement, permettant aux spectateurs le plaisir de l'espoir», indique la Fondation du FIFM. Parmi les productions en lice pour les prix du FIFM, le film marocain « The man who sold the world », réalisé par les jeunes frères Swel et Imad Noury.
Ces opus seront départagés par un jury présidé cette édition par le cinéaste iranien Abbas Kiarostami, qui a notamment été récompensé par une Palme d'Or au Festival de Cannes 1997 pour «Le Goût de la Cerise».
Du côté des cinémas honorés, le choix de ce 9e FIFM est tombé sur le cinéma coréen qui, avec cent ans d'existence, est aujourd'hui l'un des plus dynamiques au monde. Avec le renouvellement de ses auteurs, genres et réalisateurs, ce cinéma est devenu actuellement un moteur à l'échelle du continent asiatique. Ses hommes dont IM Kwon-taek Park Chan-wook, Kim Ki-duk, … ont accédé à une renommée internationale. Les jeunes auteurs comme Na Hong-jin ne sont pas en reste et l'avenir est prometteur.
Comme à l'accoutumée, le festival honorera également les grandes figures du cinéma international. On cite la star du cinéma britannique Sir Ben Kingsley, le grand Christopher Walken, le serbe Emir Kusturica et le jeune marocain Saïd Taghmaoui qui a réussi à tracer son chemin sûrement vers Hollywood.
-----------------------------------------------------------------
Le Festival International du Film de Marrakech a la volonté d'encourager l'ensemble des professionnels du cinéma à adopter la technique de l'audio-description, notamment la Société nationale de radiodiffusion et de télévision (SNRT), les chaînes télévisées et les sociétés de production marocaines. L'avènement de la TNT, est cependant un élément pratique pour élargir la programmation de films pour mal et non-voyants, pouvant désormais accéder à la culture cinématographique.
La compétition, volet important du menu du festival, opposera quinze films représentant les nationalités du monde pour élire à la fin les opus primés qui recevront quatre prix, en l'occurrence l'Etoile d'Or/Grand Prix, le Prix du jury et les Prix d'interprétations masculine et féminine. «Nous avons cherché, dans nos voyages, des auteurs manifestant le désir d'ancrer leurs récits dans la réalité d'un monde où s'offre la possibilité d'une transcendance, d'un changement, permettant aux spectateurs le plaisir de l'espoir», indique la Fondation du FIFM. Parmi les productions en lice pour les prix du FIFM, le film marocain « The man who sold the world », réalisé par les jeunes frères Swel et Imad Noury.
Ces opus seront départagés par un jury présidé cette édition par le cinéaste iranien Abbas Kiarostami, qui a notamment été récompensé par une Palme d'Or au Festival de Cannes 1997 pour «Le Goût de la Cerise».
Du côté des cinémas honorés, le choix de ce 9e FIFM est tombé sur le cinéma coréen qui, avec cent ans d'existence, est aujourd'hui l'un des plus dynamiques au monde. Avec le renouvellement de ses auteurs, genres et réalisateurs, ce cinéma est devenu actuellement un moteur à l'échelle du continent asiatique. Ses hommes dont IM Kwon-taek Park Chan-wook, Kim Ki-duk, … ont accédé à une renommée internationale. Les jeunes auteurs comme Na Hong-jin ne sont pas en reste et l'avenir est prometteur.
Comme à l'accoutumée, le festival honorera également les grandes figures du cinéma international. On cite la star du cinéma britannique Sir Ben Kingsley, le grand Christopher Walken, le serbe Emir Kusturica et le jeune marocain Saïd Taghmaoui qui a réussi à tracer son chemin sûrement vers Hollywood.
-----------------------------------------------------------------
Cinéma pour mal et non-voyants
Suite au franc succès qu'à connu le projet du cinéma en audio-description en 2008, le Président de la Fondation, Son Altesse Royale le Prince Moulay Rachid a exprimé sa volonté de pérenniser le projet, qui sera un des importants rendez-vous du Festival dans les prochaines éditions.Le Festival International du Film de Marrakech a la volonté d'encourager l'ensemble des professionnels du cinéma à adopter la technique de l'audio-description, notamment la Société nationale de radiodiffusion et de télévision (SNRT), les chaînes télévisées et les sociétés de production marocaines. L'avènement de la TNT, est cependant un élément pratique pour élargir la programmation de films pour mal et non-voyants, pouvant désormais accéder à la culture cinématographique.
