Cet évènement a eu plus d'importance que prévu. Pourquoi ? Car le programme MBA-ENPC-EHTP, accrédité depuis le 19 janvier 2004 par l'Association mondiale des MBA, dispensé à temps partiel, vient d'être renforcé par une nouvelle formule à plein temps. C'est ce qui a été annoncé à l'occasion de cette cérémonie.
Beaucoup de candidats s'expatrient pour revenir avec un certificat MBA de prestige. D'ailleurs, ce genre de diplôme est prisé tant par les étudiants que par les recruteurs.
Consciente de cette demande, l'Ecole Hassania des travaux publics (EHTP) avait, depuis 1998, mis sur pied, en partenariat avec l'Ecole nationale des ponts et chaussées (ENPC) un programme pour développer des formations MBA. Il faut rappeler que ce programme est né sous l'impulsion de Abdelaziz Meziane Belfkih, conseiller de S.M. le Roi, dans le but de former des cadres marocains de très haut niveau. Le MBA a ainsi été développé entre deux grandes institutions de formation de renom, l'EHTP et l'ENPC de Paris. Au vu de la réussite du programme de MBA (Master of Business Administration) à temps partiel, les deux institutions ont poussé leur partenariat un peu plus loin. En effet, ceci vient d'être couronné par un nouveau partenariat entre les deux institutions. Elles
ont annoncé le lancement du MBA Full.
Un programme de formation continue bi-continentale. Ce nouveau MBA dont la première promotion démarrera en septembre prochain est conçu de manière à ce que son programme soit dispensé dans deux sites : l'EHTP de Casablanca et la School of international management de l'ENPC à Paris. « De part sa nature, ce nouveau programme affiche ainsi clairement sa vocation à accueillir des participants marocains, mais également ceux en provenance de différents pays africains, européens, américains et asiatiques », souligne Dalil Guendouz, directeur de l'EHTP. Le MBA proposé par le EHTP-ENPC est un programme à temps plein qui durera 15 mois, selon la formule 6-5-4. C'est-à-dire que les six premiers mois de la formation seront dispensés à Casablanca, les cinq suivant à Paris et les quatre derniers mois de la formation seront dispensés de nouveau à Casablanca. Ce MBA se propose de donner aux participants la possibilité d'un développement personnel et une évolution professionnelle.
L'avantage de cet MBA c'est qu'il prône une formation d'excellence, d'un standard international.
C'est pourquoi il est un peu élitiste et s'adresse à de hauts cadres à fort potentiel. Hors son côté élitiste, cette formation ne concerne que les anglophones car elle sera dispensée en anglais par des spécialistes marocains, nord-américains, européens et japonais, qui seront choisis par les deux partenaires.Si l'handicap de la langue peut être dépassé, il reste un autre obstacle, celui du coût excessif de cette formation. « La qualité de la formation a un coût.
Les participants devront payer 20 mille euros », nous a déclaré Tawfik Jellassi, doyen de l'ENPC School of international management. Par ailleurs, tenait-il à nous préciser, cette nouvelle formation ne signifie pas l'arrêt du programme de MBA (Master of Business Administration) dispensé à temps partiel et qui est mis en place depuis 1998. Par ailleurs, le lancement de la nouvelle version du MBA à plein temps sera très sélectif et démarrera avec une vingtaine de participants qui seront choisi par concours.
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L'ENPC, pour sa part, a été créée en 1747 comme première école d'ingénieurs au monde, en vue de la création d'un corps d'ingénieurs d'élite français. L'ENPC est célèbre pour avoir formé des inventeurs tels que Louis Vicat, le créateur de « l'or gris » ou ciment, et Philippe Lebon, la première personne ayant employé avec succès le gaz « artificiel » comme moyen d'éclairage à grande échelle.
La School of international management de l'ENPC a été créée en 1988 pour offrir une formation en MBA. La philosophie de l'ENPC School of international management découle de la conviction de l'école que dans le monde d'aujourd'hui, la réussite managériale ne peut se concrétiser sans une grande ouverture à la diversité culturelle et un engagement fort pour les valeurs morales.
Beaucoup de candidats s'expatrient pour revenir avec un certificat MBA de prestige. D'ailleurs, ce genre de diplôme est prisé tant par les étudiants que par les recruteurs.
Consciente de cette demande, l'Ecole Hassania des travaux publics (EHTP) avait, depuis 1998, mis sur pied, en partenariat avec l'Ecole nationale des ponts et chaussées (ENPC) un programme pour développer des formations MBA. Il faut rappeler que ce programme est né sous l'impulsion de Abdelaziz Meziane Belfkih, conseiller de S.M. le Roi, dans le but de former des cadres marocains de très haut niveau. Le MBA a ainsi été développé entre deux grandes institutions de formation de renom, l'EHTP et l'ENPC de Paris. Au vu de la réussite du programme de MBA (Master of Business Administration) à temps partiel, les deux institutions ont poussé leur partenariat un peu plus loin. En effet, ceci vient d'être couronné par un nouveau partenariat entre les deux institutions. Elles
ont annoncé le lancement du MBA Full.
Un programme de formation continue bi-continentale. Ce nouveau MBA dont la première promotion démarrera en septembre prochain est conçu de manière à ce que son programme soit dispensé dans deux sites : l'EHTP de Casablanca et la School of international management de l'ENPC à Paris. « De part sa nature, ce nouveau programme affiche ainsi clairement sa vocation à accueillir des participants marocains, mais également ceux en provenance de différents pays africains, européens, américains et asiatiques », souligne Dalil Guendouz, directeur de l'EHTP. Le MBA proposé par le EHTP-ENPC est un programme à temps plein qui durera 15 mois, selon la formule 6-5-4. C'est-à-dire que les six premiers mois de la formation seront dispensés à Casablanca, les cinq suivant à Paris et les quatre derniers mois de la formation seront dispensés de nouveau à Casablanca. Ce MBA se propose de donner aux participants la possibilité d'un développement personnel et une évolution professionnelle.
L'avantage de cet MBA c'est qu'il prône une formation d'excellence, d'un standard international.
C'est pourquoi il est un peu élitiste et s'adresse à de hauts cadres à fort potentiel. Hors son côté élitiste, cette formation ne concerne que les anglophones car elle sera dispensée en anglais par des spécialistes marocains, nord-américains, européens et japonais, qui seront choisis par les deux partenaires.Si l'handicap de la langue peut être dépassé, il reste un autre obstacle, celui du coût excessif de cette formation. « La qualité de la formation a un coût.
Les participants devront payer 20 mille euros », nous a déclaré Tawfik Jellassi, doyen de l'ENPC School of international management. Par ailleurs, tenait-il à nous préciser, cette nouvelle formation ne signifie pas l'arrêt du programme de MBA (Master of Business Administration) dispensé à temps partiel et qui est mis en place depuis 1998. Par ailleurs, le lancement de la nouvelle version du MBA à plein temps sera très sélectif et démarrera avec une vingtaine de participants qui seront choisi par concours.
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Qui sont les deux partenaires ?
Fondée en 1971, l'EHTP est un établissement public sous tutelle du ministère de l'Equipement et du Transport ayant pour mission la formation initiale des ingénieurs, la formation continue et la recherche scientifique. Chaque année, plus d'un millier de cadres supérieurs fréquentent l'EHTP pour suivre des séminaires de formation continue.L'ENPC, pour sa part, a été créée en 1747 comme première école d'ingénieurs au monde, en vue de la création d'un corps d'ingénieurs d'élite français. L'ENPC est célèbre pour avoir formé des inventeurs tels que Louis Vicat, le créateur de « l'or gris » ou ciment, et Philippe Lebon, la première personne ayant employé avec succès le gaz « artificiel » comme moyen d'éclairage à grande échelle.
La School of international management de l'ENPC a été créée en 1988 pour offrir une formation en MBA. La philosophie de l'ENPC School of international management découle de la conviction de l'école que dans le monde d'aujourd'hui, la réussite managériale ne peut se concrétiser sans une grande ouverture à la diversité culturelle et un engagement fort pour les valeurs morales.
