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Les sportifs nationaux seront engagés dans 5 disciplines : athlétisme, boxe, judo, tennis de table et football Concernant, l'équipe de la boxe, la direction technique a retenu neuf boxeurs. Il s'agit d'Adil Bella (69 kg), Badreddine Haddioui (60 kg) et Ahmad Barki (75 kg), et les vice-champions d'Afrique Redouane Bouchtouk (48 kg) et Mohamed El Machhabi (64 kg). Cette équipe est entrée en concentration, dés jeudi dernier, au Liban en attendant d'aborder les choses sérieuses.
En parallèle, les autres fédérations engagées dans ces jeux continuent de peaufiner leur préparation.
C'est le cas de la sélection de football des moins de 21 ans qui est entrée dans un nouveau stage de concentration au centre national de Maâmoura sous la houlette du tandem Mustapha El Haddaoui-Abdellah El Idrissi. Au programme de ces Jeux, sept compétitions sportives : athlétisme, football des moins de 21 ans basket-ball féminin, tennis de table, judo, boxe et le beach-volley.
Les Jeux de la Francophonie, c'est aussi une manifestation culturelle. 7 concours culturels sont en lice : chanson, danse, sculpture, peinture, photographie, conte et littérature. Le Maroc sera, également, présent dans le volet artistique de ces Jeux avec notamment le groupe musical «Kelma» qui représentera le Royaume dans la catégorie du chant, la troupe «Fleur d'orange» conduite par Hind Benali en danse, l'artiste Cheikh Zidor, en peinture, Othmane Fekraoui, en sculpture, et Mouhcine Terrar en photographie.
Evénement unique en son genre, les Jeux de la Francophonie réunissent, tous les quatre ans, les jeunes sportifs et artistes venus des pays Francophones.
Il est à signaler que le Maroc a accueilli la première édition en 1989. Quelque 39 nations, 900 athlètes et 600 artistes étaient en compétition. Grand rendez-vous de la jeunesse francophone des cinq continents, ces Jeux ont lieu tous les 4 ans. Placés sous le signe de la solidarité, de la diversité et de l'excellence, ils allient compétitions sportives et concours culturels. Ils permettent à des milliers d'artistes et d'athlètes de se rencontrer, d'offrir le meilleur d'eux-mêmes, donnant ainsi libre cours à l'expression des cultures de l'espace francophone dans leur diversité. Créés lors du Sommet des chefs d'État et de gouvernement en 1987 à Québec, les Jeux de la Francophonie ont été accueillis tour à tour par Rabat (Maroc, 1989), Paris (France, 1994), Antananarivo (Madagascar, 1997), Ottawa-Hull (Canada, Québec, 2001) et Niamey (Niger, 2005). L'Organisation internationale de la Francophonie compte 68 États et gouvernements, dont 13 observateurs.
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Ces jeux, qui sont organisés tous les 4 ans, mettent aux prises les représentants des pays membres de la Francophonie.
En parallèle, les autres fédérations engagées dans ces jeux continuent de peaufiner leur préparation.
C'est le cas de la sélection de football des moins de 21 ans qui est entrée dans un nouveau stage de concentration au centre national de Maâmoura sous la houlette du tandem Mustapha El Haddaoui-Abdellah El Idrissi. Au programme de ces Jeux, sept compétitions sportives : athlétisme, football des moins de 21 ans basket-ball féminin, tennis de table, judo, boxe et le beach-volley.
Les Jeux de la Francophonie, c'est aussi une manifestation culturelle. 7 concours culturels sont en lice : chanson, danse, sculpture, peinture, photographie, conte et littérature. Le Maroc sera, également, présent dans le volet artistique de ces Jeux avec notamment le groupe musical «Kelma» qui représentera le Royaume dans la catégorie du chant, la troupe «Fleur d'orange» conduite par Hind Benali en danse, l'artiste Cheikh Zidor, en peinture, Othmane Fekraoui, en sculpture, et Mouhcine Terrar en photographie.
Evénement unique en son genre, les Jeux de la Francophonie réunissent, tous les quatre ans, les jeunes sportifs et artistes venus des pays Francophones.
Il est à signaler que le Maroc a accueilli la première édition en 1989. Quelque 39 nations, 900 athlètes et 600 artistes étaient en compétition. Grand rendez-vous de la jeunesse francophone des cinq continents, ces Jeux ont lieu tous les 4 ans. Placés sous le signe de la solidarité, de la diversité et de l'excellence, ils allient compétitions sportives et concours culturels. Ils permettent à des milliers d'artistes et d'athlètes de se rencontrer, d'offrir le meilleur d'eux-mêmes, donnant ainsi libre cours à l'expression des cultures de l'espace francophone dans leur diversité. Créés lors du Sommet des chefs d'État et de gouvernement en 1987 à Québec, les Jeux de la Francophonie ont été accueillis tour à tour par Rabat (Maroc, 1989), Paris (France, 1994), Antananarivo (Madagascar, 1997), Ottawa-Hull (Canada, Québec, 2001) et Niamey (Niger, 2005). L'Organisation internationale de la Francophonie compte 68 États et gouvernements, dont 13 observateurs.
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Historique
C'est lors du deuxième Sommet de la Francophonie qui s'est tenu à Québec en 1987 qu'il a été décidé de créer les Jeux de la Francophonie. La mission de la mise en place de ces Jeux a été confiée à la Conférence des ministres de la Jeunesse et des Sports des pays d'expression française (CONFEJES). La première édition s'est déroulée en 1989 dans deux villes marocaines : Casablanca et Rabat.Ces jeux, qui sont organisés tous les 4 ans, mettent aux prises les représentants des pays membres de la Francophonie.
