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Pourquoi le RNI a exprimé son étonnement après l'utilisation de son nom dans l'affaire de l'ancien député arrêté alors que ce dernier appartenait vraiment à votre parti ?
Nous avons estimé, à la lecture de la dépêche de la MAP, que l'information n'était pas aussi innocente qu'elle ne le paraissait. Nous sommes en pleine période électorale et le fait de mentionner le nom du RNI dans une affaire de trafic de drogue dénote d'une volonté de nuire qui ne trompe personne.
Pourquoi une telle précision, alors que l'intéressé a quitté le RNI il y a plus de sept ans et s'est même présenté aux dernières élections législatives sous la couleur d'un autre parti politique ? Vous savez, nous avons toujours choisi de nous élever au-dessus des attaques dont nous faisions l'objet, aussi mesquine soit-elle. Mais il est également de notre devoir d'expliquer à nos militants et militantes à l'opinion publique marocaine, les tenants et les aboutissants de ces attaques.
Pour quelles raisons vous avez exclu le concerné en 2002 de votre parti alors qu'il était un parlementaire sous votre couleur ?
Nous l'avons exclu justement car plusieurs militants nous avaient fait part de leurs soupçons quant à ses activités. Depuis, cet homme n'a plus eu aucun contact avec le RNI. Prétendre le contraire c'est justement faire preuve d'acharnement gratuit contre notre parti. Et nous sommes, désormais, prêts à nous défendre par tous les moyens légaux. Je n'accepterais jamais que l'honneur des militants et militantes du RNI soit terni.
Comment, selon vous, les partis politiques peuvent-ils assainir leurs rangs et moraliser, ainsi, la vie politique ?
La vigilance est le maitre mot dans la vie politique et partisane. L'assainissement des formations politiques commence par l'injection continuelle de sang neuf et de jeunes compétences.
Mais également par la valorisation des cadres et militants existants. Le RNI a justement suivi cette voie depuis son 4ème congrès qui fait date dans les annales politiques du Maroc. C'est la première fois qu'un président de parti est élu de manière totalement démocratique par les militants et à l'issue d'une campagne électorale totalement transparente. Cet acquis historique est considéré comme une victoire pour notre démocratie interne.
Nous avons estimé, à la lecture de la dépêche de la MAP, que l'information n'était pas aussi innocente qu'elle ne le paraissait. Nous sommes en pleine période électorale et le fait de mentionner le nom du RNI dans une affaire de trafic de drogue dénote d'une volonté de nuire qui ne trompe personne.
Pourquoi une telle précision, alors que l'intéressé a quitté le RNI il y a plus de sept ans et s'est même présenté aux dernières élections législatives sous la couleur d'un autre parti politique ? Vous savez, nous avons toujours choisi de nous élever au-dessus des attaques dont nous faisions l'objet, aussi mesquine soit-elle. Mais il est également de notre devoir d'expliquer à nos militants et militantes à l'opinion publique marocaine, les tenants et les aboutissants de ces attaques.
Pour quelles raisons vous avez exclu le concerné en 2002 de votre parti alors qu'il était un parlementaire sous votre couleur ?
Nous l'avons exclu justement car plusieurs militants nous avaient fait part de leurs soupçons quant à ses activités. Depuis, cet homme n'a plus eu aucun contact avec le RNI. Prétendre le contraire c'est justement faire preuve d'acharnement gratuit contre notre parti. Et nous sommes, désormais, prêts à nous défendre par tous les moyens légaux. Je n'accepterais jamais que l'honneur des militants et militantes du RNI soit terni.
Comment, selon vous, les partis politiques peuvent-ils assainir leurs rangs et moraliser, ainsi, la vie politique ?
La vigilance est le maitre mot dans la vie politique et partisane. L'assainissement des formations politiques commence par l'injection continuelle de sang neuf et de jeunes compétences.
Mais également par la valorisation des cadres et militants existants. Le RNI a justement suivi cette voie depuis son 4ème congrès qui fait date dans les annales politiques du Maroc. C'est la première fois qu'un président de parti est élu de manière totalement démocratique par les militants et à l'issue d'une campagne électorale totalement transparente. Cet acquis historique est considéré comme une victoire pour notre démocratie interne.
