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Sous les applaudissements et les cris de ses fans qui ont investi la magnifique Place Mohammed VI, Marcel a gratifié un public connaisseur, venu apprécier à sa juste valeur des poèmes célèbres dont "Ma mère", "Rita", "Vols de pigeons", "J'aime tes mouvements" et "Un chant dans mon âme" du regretté Mahmoud Darwich. Décoré en 2008, à l'occasion de la Fête du Trône, du Wissam alaouite du mérite intellectuel, Marcel Kahlifa est né en 1950 au Liban, au sein d'une famille chrétienne maronite, dans le petit village d'Amchit près de Beyrouth.
Marcel, qui a été élevé dans une ambiance oecuménique, a ensuite étudié le luth (Oud) au Conservatoire national de musique de Beyrouth, dont il sort diplômé en 1971 avant d'y enseigner bientôt comme professeur. En 1976, il fonde son ensemble Al Mayadin, qui l'accompagnera tout au long de sa riche carrière musicale et avec lequel il va connaître rapidement le succès, avec des chansons telles que : "Oummi" ( Ma Mère), "Rita w'al-Bondoqiya" (Rita et le fusil) et "Jawaz As-Safar" (Passeport) inspirées des textes du grand poète palestinien Mahmoud Darwich.
Cette relation avec ce grand homme de lettres et ardent défenseur de la cause palestinienne va être l'un des éléments clés de l'inspiration musicale et artistique de Marcel Khalifa. Les tournées internationales s'enchaînent, autant au Proche-Orient qu'en Occident avec le Festival de Baâlbeck, de Beit Eddine (Liban), de Carthage et de Hammamat (Tunisie), Opéra du Caire, de ReOrient Festival (Suède), de World Music Festival de San Francisco (USA), de Wellington Music Festival (Nouvelle Zélande), de Kennedy Center à Washington, de "Royal Festival Hall", et de "Queen Elizabeth Hall" à Londres. Instrumentiste remarquable et créateur de grand talent, Marcel Khalifa a composé, ces dernières années, des oeuvres plutôt instrumentales telles que "Le Concerto Andalus", "La Symphonie du Retour" et "l'Elégie de l'Orient". Artiste lucide et farouchement indépendant, Marcel Khalifa est un homme qui n'a cessé d'exprimer son amour de la liberté et de la vérité.
Les compositions de Marcel Khalifa ont été jouées par plusieurs orchestres notamment l'Orchestre symphonique de Kiev, l'Orchestre du conservatoire de Boulogne Billancourt, The San Francisco Chambre Orchestra, l'Orchestre de la ville de Tunis et l'Absolute Ensemble. Le Festival d'Al Hoceima, qui a perpétué cette année l'esprit de dialogue et de rapprochement entre les peuples du pourtour méditerranéen qu'il s'est assigné comme objectif, s'impose désormais comme espace de création et d'échange, riche de sa diversité où la culture amazighe côtoie les cultures méditerranéenes.
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Marcel, qui a été élevé dans une ambiance oecuménique, a ensuite étudié le luth (Oud) au Conservatoire national de musique de Beyrouth, dont il sort diplômé en 1971 avant d'y enseigner bientôt comme professeur. En 1976, il fonde son ensemble Al Mayadin, qui l'accompagnera tout au long de sa riche carrière musicale et avec lequel il va connaître rapidement le succès, avec des chansons telles que : "Oummi" ( Ma Mère), "Rita w'al-Bondoqiya" (Rita et le fusil) et "Jawaz As-Safar" (Passeport) inspirées des textes du grand poète palestinien Mahmoud Darwich.
Cette relation avec ce grand homme de lettres et ardent défenseur de la cause palestinienne va être l'un des éléments clés de l'inspiration musicale et artistique de Marcel Khalifa. Les tournées internationales s'enchaînent, autant au Proche-Orient qu'en Occident avec le Festival de Baâlbeck, de Beit Eddine (Liban), de Carthage et de Hammamat (Tunisie), Opéra du Caire, de ReOrient Festival (Suède), de World Music Festival de San Francisco (USA), de Wellington Music Festival (Nouvelle Zélande), de Kennedy Center à Washington, de "Royal Festival Hall", et de "Queen Elizabeth Hall" à Londres. Instrumentiste remarquable et créateur de grand talent, Marcel Khalifa a composé, ces dernières années, des oeuvres plutôt instrumentales telles que "Le Concerto Andalus", "La Symphonie du Retour" et "l'Elégie de l'Orient". Artiste lucide et farouchement indépendant, Marcel Khalifa est un homme qui n'a cessé d'exprimer son amour de la liberté et de la vérité.
Les compositions de Marcel Khalifa ont été jouées par plusieurs orchestres notamment l'Orchestre symphonique de Kiev, l'Orchestre du conservatoire de Boulogne Billancourt, The San Francisco Chambre Orchestra, l'Orchestre de la ville de Tunis et l'Absolute Ensemble. Le Festival d'Al Hoceima, qui a perpétué cette année l'esprit de dialogue et de rapprochement entre les peuples du pourtour méditerranéen qu'il s'est assigné comme objectif, s'impose désormais comme espace de création et d'échange, riche de sa diversité où la culture amazighe côtoie les cultures méditerranéenes.
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