La phobie sociale rendrait une personne plus exposée au risque d'une dépression. C'est ce qui ressort en effet de plusieurs études menées au Canada et en Allemagne sur des personnes souffrant de phobie sociale. Cette forme pathologique d'anxiété peut ainsi se transformer en un obstacle majeur pour bien de personnes. Peur maladive, timidité excessive, peur d'affronter la foule, impossibilité de parler en public… Ce sont là autant de signes de la phobie sociale.
Ainsi, les personnes souffrant de cette phobie sont, selon les chercheurs, huit fois plus nombreuses à se plaindre de problèmes dans leur travail ou dans leurs vies personnelles. De même, elles ont trois fois plus de risques de souffrir de dépression. D'une manière générale, les personnes souffrant de ce type de phobie se montraient moins satisfaites de la qualité de leurs vies. Cette peur pathologique provoque ainsi de nombreux problèmes, qu'ils soient d'ordre professionnel ou privé.
Les scientifiques ont également découvert que cette phobie est également responsable de nombreux échecs scolaires parmi les élèves. Ils ont en effet constaté que ceux qui souffraient de cette forme d'anxiété avaient plus souvent que les autres redoublé une classe ou arrêté leurs études plus tôt. Cette situation s'explique notamment par la peur de prendre la parole devant un groupe chez les élèves phobiques puisqu'ils ont peur d'être évalués de manière négative par l'entourage, d'être critiqué, etc.
Dans certains cas, le simple fait d'être dans une salle de classe, entouré d'une dizaine de personnes, peut entraîner une anxiété qui se répercute sur l'écoute et l'apprentissage. Certes, il est normal d'avoir le trac avant de prendre la parole ou d'être intimidé face à des inconnus, mais lorsque la peur devient chronique et insurmontable, on parle alors de phobie sociale qui peut devenir un véritable handicap. En général, cela entraîne des réactions d'évitement des situations qui peuvent amener à une prise de parole en public.
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Ainsi, les personnes souffrant de cette phobie sont, selon les chercheurs, huit fois plus nombreuses à se plaindre de problèmes dans leur travail ou dans leurs vies personnelles. De même, elles ont trois fois plus de risques de souffrir de dépression. D'une manière générale, les personnes souffrant de ce type de phobie se montraient moins satisfaites de la qualité de leurs vies. Cette peur pathologique provoque ainsi de nombreux problèmes, qu'ils soient d'ordre professionnel ou privé.
Les scientifiques ont également découvert que cette phobie est également responsable de nombreux échecs scolaires parmi les élèves. Ils ont en effet constaté que ceux qui souffraient de cette forme d'anxiété avaient plus souvent que les autres redoublé une classe ou arrêté leurs études plus tôt. Cette situation s'explique notamment par la peur de prendre la parole devant un groupe chez les élèves phobiques puisqu'ils ont peur d'être évalués de manière négative par l'entourage, d'être critiqué, etc.
Dans certains cas, le simple fait d'être dans une salle de classe, entouré d'une dizaine de personnes, peut entraîner une anxiété qui se répercute sur l'écoute et l'apprentissage. Certes, il est normal d'avoir le trac avant de prendre la parole ou d'être intimidé face à des inconnus, mais lorsque la peur devient chronique et insurmontable, on parle alors de phobie sociale qui peut devenir un véritable handicap. En général, cela entraîne des réactions d'évitement des situations qui peuvent amener à une prise de parole en public.
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