Etait-ce prémonitoire? À peine quelques jours seulement avant l'avènement de la saison vénérée par toutes les créatures, El Mehdi est né le 17 mars 1981 dans la ville de la marguerite et de la marjolaine, Kénitra, entre océan, fleuve, réserve naturelle et forêt... On pouvait déjà lire sur l'une des affiches ayant présenté l'une de ses expositions organisées à l'Institut français – Espace Balzac de Kénitra «les belles couleurs du printemps que le brouillard, issu de l'Atlantique et des méandres de Sebou, voile parfois, et que l'esprit omniprésent des chênes et des glands de la Maâmora attise et purifie parfois, qui lui avaient insufflé le désir de peindre. Les études qu'El Mehdi put suivre, pour quelques temps à l'Ecole des Arts plastiques «Les Orangers» à Rabat, l'amenèrent à se chercher un style et une voie. Si les circonstances et le manque de moyens financiers l'ont contraint à arrêter ses études, le jeune artiste-peintre n'a pas cédé... En autodidacte nourrissant rêve et ambition, il a fait de la peinture sa raison d'être».
En effet, quand on regarde les tableaux d'El Mehdi, on ne peut qu'être subjugué par son talent et sa touche conférant à son travail un statut tout à fait particulier. Cette originalité n'est pas le fruit du hasard. C'était l'art figuratif qui le préparait déjà à l'impressionnisme et à l'art abstrait, sans que disparaissent pour autant ces liens et affinités entre les différents styles. En effet, comme cela a été souligné par certains amateurs d'arts plastiques, dans les compositions de notre jeune artiste, oniriques et vaporeuses, les motifs ne sont pas seulement prétexte, mais servent à traduire mœurs et idées, selon une appréciation non seulement de peintre mais encore d'homme. Chez Ichar, la création est une éternelle négociation entre le réel et l'imaginaire. El Mehdi Ichar, à l'instar des grands artistes, notamment ceux imprégnés par l'art orientaliste, excelle aussi dans l'art du portrait. Ses portraits sont parfois méditation ''à la menthe'', parfois l'expression de cette énergie dont sont pourvus les hommes et les chevaux, parfois l'espace et la traduction de scènes inhérentes au quotidien (au souk, comme dans les ruelles qui gardent malgré tout la beauté d'antan; les mains embellies au henné comme celles qui tiennent des instruments de musique séculaires), à l'instantané, comme si c'était pour fixer l'aspect fugitif des choses et du temps à la fois.
L'artiste-peintre a déjà à son actif plusieurs expositions que ce soit au Maroc ou à l'étranger. C'est ainsi qu'il a participé à une exposition collective au Théâtre Mohammed V à Rabat le 22/10/2002, puis au Festival des jeunes artistes de cette ville les 15, 16 et 17 décembre 2005, et a également exposé ses œuvres à l'hôtel d'Europe le 08/8/2003 et à l'hôtel Maâmora à Kénitra le 11/8/2006. Il a participé encore à «La journée de la joie des couleurs à Rabat le 21/8/2008, au Théâtre Mohammed V, le 23/2/2008 et à la fameuse salle d'exposition de Bab Rouah également de Rabat. Le 19/03/2008, il a présenté ses œuvres à la galerie ''Grain De Sésame'' le 23/02/2009 Exposition Collective - Parcours d'artiste, édition 2009 chez Herman et Alphonsina Boonen - Rabat (Initiative de la délégation Wollonie-Bruxelles au Maroc avec l'appui du ministère de la Culture marocain). A l'étranger, il a participé à l'«Exposition collective 2009 - Festiv'Halles au Faouete-Bretagne-France».
Pour donner une dimension plus créative et plus vaste à cette voie à laquelle il souhaite entièrement se consacrer, El Mehdi rêve lucidement de continuer ses études dans le domaine de l'art décoratif, visiter les musées internationaux et y exposer ses peintures... C'est pour lui, comme il le dit et revendique, l'appel de l'art, qui ne peut être que synonyme de liberté, de paix et d'amour.
Actuellement, El Mehdi donne des cours de peinture et de danse à l'Institut français–Espace Balzac de Kénitra.
En effet, quand on regarde les tableaux d'El Mehdi, on ne peut qu'être subjugué par son talent et sa touche conférant à son travail un statut tout à fait particulier. Cette originalité n'est pas le fruit du hasard. C'était l'art figuratif qui le préparait déjà à l'impressionnisme et à l'art abstrait, sans que disparaissent pour autant ces liens et affinités entre les différents styles. En effet, comme cela a été souligné par certains amateurs d'arts plastiques, dans les compositions de notre jeune artiste, oniriques et vaporeuses, les motifs ne sont pas seulement prétexte, mais servent à traduire mœurs et idées, selon une appréciation non seulement de peintre mais encore d'homme. Chez Ichar, la création est une éternelle négociation entre le réel et l'imaginaire. El Mehdi Ichar, à l'instar des grands artistes, notamment ceux imprégnés par l'art orientaliste, excelle aussi dans l'art du portrait. Ses portraits sont parfois méditation ''à la menthe'', parfois l'expression de cette énergie dont sont pourvus les hommes et les chevaux, parfois l'espace et la traduction de scènes inhérentes au quotidien (au souk, comme dans les ruelles qui gardent malgré tout la beauté d'antan; les mains embellies au henné comme celles qui tiennent des instruments de musique séculaires), à l'instantané, comme si c'était pour fixer l'aspect fugitif des choses et du temps à la fois.
L'artiste-peintre a déjà à son actif plusieurs expositions que ce soit au Maroc ou à l'étranger. C'est ainsi qu'il a participé à une exposition collective au Théâtre Mohammed V à Rabat le 22/10/2002, puis au Festival des jeunes artistes de cette ville les 15, 16 et 17 décembre 2005, et a également exposé ses œuvres à l'hôtel d'Europe le 08/8/2003 et à l'hôtel Maâmora à Kénitra le 11/8/2006. Il a participé encore à «La journée de la joie des couleurs à Rabat le 21/8/2008, au Théâtre Mohammed V, le 23/2/2008 et à la fameuse salle d'exposition de Bab Rouah également de Rabat. Le 19/03/2008, il a présenté ses œuvres à la galerie ''Grain De Sésame'' le 23/02/2009 Exposition Collective - Parcours d'artiste, édition 2009 chez Herman et Alphonsina Boonen - Rabat (Initiative de la délégation Wollonie-Bruxelles au Maroc avec l'appui du ministère de la Culture marocain). A l'étranger, il a participé à l'«Exposition collective 2009 - Festiv'Halles au Faouete-Bretagne-France».
Pour donner une dimension plus créative et plus vaste à cette voie à laquelle il souhaite entièrement se consacrer, El Mehdi rêve lucidement de continuer ses études dans le domaine de l'art décoratif, visiter les musées internationaux et y exposer ses peintures... C'est pour lui, comme il le dit et revendique, l'appel de l'art, qui ne peut être que synonyme de liberté, de paix et d'amour.
Actuellement, El Mehdi donne des cours de peinture et de danse à l'Institut français–Espace Balzac de Kénitra.
