Il n'est autre que le petit fils d'un certain Django Reinhardt et pourtant, avec la tête bien sur les épaules, le jeune guitariste est simple, modeste et souriant avec le public fassi. Entouré de deux side-men de luxe, l'organiste Florent Gac et le batteur Yoann Serra, le très attendu David Reinhardt a rayonné sur la scène de la majestueuse salle d'Al Batha. Grâce à sa technique au point, son lyrisme et son émotion, David a séduit les mélomanes présents dans ce premier concert intitulé «The way of heart ». Son sens du swing et sa légèreté ont fait de lui un parfait guide des spectateurs dans ce chemin du cœur haut en couleurs et parsemé de Jazz méditerranéen.
A Fès, le nominé aux Django d'Or a exhibé toutes ses qualités évidentes d'un jeune passionné par le Jazz. De l'autre côté, les spectateurs timides au départ, ne se sont pas empêchés d'intégrer ce petit monde musical très animé par l'entrée sur scène du bassiste Jean-Marc Jerat et du saxophoniste Olivier Temime. Le quintette met donc le feu sur scène et les mélomanes en redemandent davantage. Grand habitué des scènes prestigieuses, Fès est une nouvelle escale pour lui. Il déclare « C'est un plaisir pour moi de venir jouer dans cette ville, symbole de richesse culturelle et d'histoire.»
Le guitariste, véritable star de la soirée, a présenté au public un cocktail alléchant qui réunit le meilleur de ses compositions, mais aussi les plus célèbres des standards du Jazz international. A chacune des notes jouées, il transmet, avec amour, fierté et détermination, l'héritage de ses aïeuls et poursuit la route familiale. Cependant, le trio de David ne se contente pas d'empiler les clichés musicaux inhérents au jazz manouche, il apporte sa propre pierre à l'édifice avec des couleurs actuelles. Le trio a un style bien à lui. C'est vrai que lorsqu'on s'appelle Reinhardt, on naît avec une guitare à la main.
Alors qu'il jouait dès l'âge de six ans avec son père, Babik Rainhardt, l'homme de 23 ans dévoile aujourd'hui son propre style qu'il a su développer au fil des concerts, des tournées et des albums enregistrés.
Le petit prince, David Reinhardt, au vingt-et-unième siècle, nous propose le meilleur de la tradition djangophile en créant son propre langage.
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A Fès, le nominé aux Django d'Or a exhibé toutes ses qualités évidentes d'un jeune passionné par le Jazz. De l'autre côté, les spectateurs timides au départ, ne se sont pas empêchés d'intégrer ce petit monde musical très animé par l'entrée sur scène du bassiste Jean-Marc Jerat et du saxophoniste Olivier Temime. Le quintette met donc le feu sur scène et les mélomanes en redemandent davantage. Grand habitué des scènes prestigieuses, Fès est une nouvelle escale pour lui. Il déclare « C'est un plaisir pour moi de venir jouer dans cette ville, symbole de richesse culturelle et d'histoire.»
Le guitariste, véritable star de la soirée, a présenté au public un cocktail alléchant qui réunit le meilleur de ses compositions, mais aussi les plus célèbres des standards du Jazz international. A chacune des notes jouées, il transmet, avec amour, fierté et détermination, l'héritage de ses aïeuls et poursuit la route familiale. Cependant, le trio de David ne se contente pas d'empiler les clichés musicaux inhérents au jazz manouche, il apporte sa propre pierre à l'édifice avec des couleurs actuelles. Le trio a un style bien à lui. C'est vrai que lorsqu'on s'appelle Reinhardt, on naît avec une guitare à la main.
Alors qu'il jouait dès l'âge de six ans avec son père, Babik Rainhardt, l'homme de 23 ans dévoile aujourd'hui son propre style qu'il a su développer au fil des concerts, des tournées et des albums enregistrés.
Le petit prince, David Reinhardt, au vingt-et-unième siècle, nous propose le meilleur de la tradition djangophile en créant son propre langage.
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