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Le Royaume s'emploie à conforter la participation de la femme à la gestion de la chose publique et à renforcer sa représentativité au sein du gouvernement, du parlement et lors des élections, comme il a le souci d'encourager le tissu associatif des femmes, a indiqué S.A.R. la Princesse Lalla Salma. Cependant, la mise à niveau politique et institutionnelle de la femme reste purement formelle tant qu'elle n'est pas étayée par la promotion de ses droits économiques, sociaux et culturels et par son intégration dans le développement, a rappelé Son Altesse Royale, précisant que c'est en partant de ce constat que Sa Majesté le Roi Mohammed VI a mis en chantier l'Initiative nationale pour le développement humain (INDH). «D'ailleurs, la femme occupe une place de choix dans les projets de l'INDH visant à combattre la pauvreté, la précarité et l'exclusion, avec la participation de toutes les forces vives de la nation, en particulier ses ressources féminines», a-t-elle dit, ajoutant que le Maroc, qui tient à marquer son attachement aux conventions internationales consacrant l'égalité des sexes, s'est employé à mettre au point une stratégie nationale en la matière, notamment en intégrant l'approche genre dans ses différentes politiques publiques.
S.A.R. la Princesse Lalla Salma a réaffirmé, à cette occasion, l'adhésion du Maroc aux efforts que mène l'OFA pour raffermir les liens de solidarité entre les femmes arabes et renforcer leur intégration dans le développement, ajoutant que la conjoncture économique et financière mondiale délicate a eu des effets pervers sur le processus de développement, mais elle a suscité également une prise de conscience aiguë de la nécessité de redresser le système économique en le rendant plus humain et plus équitable à l'égard des populations défavorisées, dont et au premier chef les femmes. S.A.R. la Princesse Lalla Salma a mis l'accent sur la pertinence de la proposition d'inscrire le rôle de la femme dans le développement durable au centre du débat de la 4e réunion du Conseil supérieur de l'Organisation, en s'inspirant des valeurs de la religion islamique tolérante et en restant en phase avec le référentiel universel concernant la protection des droits de l'Homme et de la dignité humaine.
S.A.R. la Princesse Lalla Salma a indiqué également qu'elle souscrit à la proposition de la présidente de l'Organisation, Layla Benali, en faveur de la mise en place, dans le cadre de l'Organisation, d'une «Commission de la femme arabe de droit international humanitaire», réaffirmant le soutien du Maroc à la mise en œuvre d'un tel mécanisme qui est de nature à «contribuer à la protection des femmes victimes de détention arbitraire, d'exil forcé et de conflits régionaux, surtout en Palestine dans sa résistance et sa ténacité».
S.A.R. la Princesse Lalla Salma a réaffirmé, à cette occasion, l'adhésion du Maroc aux efforts que mène l'OFA pour raffermir les liens de solidarité entre les femmes arabes et renforcer leur intégration dans le développement, ajoutant que la conjoncture économique et financière mondiale délicate a eu des effets pervers sur le processus de développement, mais elle a suscité également une prise de conscience aiguë de la nécessité de redresser le système économique en le rendant plus humain et plus équitable à l'égard des populations défavorisées, dont et au premier chef les femmes. S.A.R. la Princesse Lalla Salma a mis l'accent sur la pertinence de la proposition d'inscrire le rôle de la femme dans le développement durable au centre du débat de la 4e réunion du Conseil supérieur de l'Organisation, en s'inspirant des valeurs de la religion islamique tolérante et en restant en phase avec le référentiel universel concernant la protection des droits de l'Homme et de la dignité humaine.
S.A.R. la Princesse Lalla Salma a indiqué également qu'elle souscrit à la proposition de la présidente de l'Organisation, Layla Benali, en faveur de la mise en place, dans le cadre de l'Organisation, d'une «Commission de la femme arabe de droit international humanitaire», réaffirmant le soutien du Maroc à la mise en œuvre d'un tel mécanisme qui est de nature à «contribuer à la protection des femmes victimes de détention arbitraire, d'exil forcé et de conflits régionaux, surtout en Palestine dans sa résistance et sa ténacité».
