Ce dernier vient de lancer la commercialisation nationale d'une première tranche du résidentiel, soit 6 blocs d'appartements et 15 villas. A cette occasion, Cédric Bredoux, directeur commercial de ce projet d'envergure, en a présenté les composantes, samedi, sur site, autour d'une large maquette : un hôtel de luxe, un golf 18 trous, un centre commercial et des résidences (pour logement principal comme secondaire). La première phase du projet (résidentiel du côté de la mer et 9 trous du golf) sera finalisée vers décembre 2010. Le reste est prévu 2 ans après. L'investissement global de Tanjah Beach & Golf Resort est d'environ 4 milliards de dirhams.
Poursuivant sa stratégie de développement, cette fois en tandem avec le promoteur immobilier espagnol Gilmar (détenteur de 30%), Addoha, chargé aussi de la construction de Tanjah Beach & Golf Resort, fait état de 250 appartements « réservés » par des étrangers, en qualité de résidences secondaires, pour retraités et autres investisseurs. C'est ainsi que des irlandais, espagnols (80 ventes à Madrid et Marbella), français et anglais ont déjà effectué les versements correspondants à leurs acquisitions bien avant de signer les accords. Notons qu'Addoha prospecte aussi les marchés russe et belge.
Pour séduire, le groupe a investi une superficie de 205 hectares, soigneusement placé sur la côte atlantique, à 10 minutes de Tanger (17 km au sud-ouest sur la route de Rabat) et à seulement 5 km de son aéroport international, au voisinage immédiat de concurrents pas des moindres, dont les projets « Tinja » d'Emaar et « Houara » de Qatari Diar. C'est la zone d'expansion touristique naturelle de Tanger où il y aura beaucoup d'hôtels et une forte affluence touristique. Des kilomètres de sable fin et un cadre de vie idyllique où golfs, lagunes et mer feront partie intégrante du quotidien. Tanger revêt une dimension géographique et culturelle exceptionnelle. Aujourd'hui, cette cité balnéaire et portuaire est résolument tournée vers l'avenir, c'est le 2e pôle d'activité du Maroc, une région attractive au niveau économique mais aussi touristique, de référence pour une cible nationale et internationale.
Sur une superficie de 3,6 hectares et d'une capacité de 700 chambres, l'hôtel 5* prévu dans le cadre de Tanjah Beach & Golf Resort est déjà confié à un bureau d'étude tandis que « les négociations se poursuivent pour lui en désigner une marque et un gestionnaire de renommée », affirme Cédric Bredoux. Il ajoute que le centre commercial est aussi en étude, « afin de créer des locaux adaptés à la demande, en espace et design ». Le projet prévoit un aquaparc, un spa, 6 courts de tennis, des beach clubs, une discothèque, des kiosques, des restaurants,…
D'une architecture contemporaine fortement inspirée de « Tanger - La blanche », l'ensemble immobilier est composé d'un habitat haut standing diversifié mêlant résidences, villas individuelles et petits collectifs, harmonieusement disséminés autour du golf (tiers du terrain), des piscines ou offrant une vue sur la plage. A partir de 1.290.000 DH et au prix moyen de 15.000 DH/m2, les appartements (R+2 et R+3) arborent avec élégance sur des surfaces allant de 80 à 100 m2 (terrasse de 30 m2), entourés d'espaces verts, avec parking privatifs.
Les promoteurs proposent un financement incitatif à 100% avec un taux fixe exceptionnel de 4,25% sur les 10 premières années. A partir de 4.300.000 DH, les villas (R+1) avec piscine, isolées (entre 600 et 1000 m2) ou jumelées (400 à 460 m2), répondent à de hauts standards de luxe et de confort, avec en prime une nature renversante. Les îlots (naturels et artificiels) qu'intégre le parcours du golf donnent une meilleure vue à toutes les constructions. Une promenade devrait longer jusqu'à l'aéroport. Accès séparés, six rondpoints, des passages piétons et des pompes devraient optimiser la circulation. En étude, l'option de rediriger la RN.
Enfin, le golf Tanjah Beach & Golf Resort devrait rapidement endosser une réputation internationale. Surplombant l'océan Atlantique, composé de palmiers, de sable, et d'obstacles d'eau, ce parcours de 18 trous propose un dessin varié et alterne les trous plats, courts, vallonnés, longs sur plus de 70 hectares. Un club house et un bar accueillant recevront des golfeurs du monde entier pour des moments de détente privilégiés. L'imperméabilisation du golf est « très importante » et l'étude faite, lui correspondant, est « très couteuse », estime le directeur commercial.
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Poursuivant sa stratégie de développement, cette fois en tandem avec le promoteur immobilier espagnol Gilmar (détenteur de 30%), Addoha, chargé aussi de la construction de Tanjah Beach & Golf Resort, fait état de 250 appartements « réservés » par des étrangers, en qualité de résidences secondaires, pour retraités et autres investisseurs. C'est ainsi que des irlandais, espagnols (80 ventes à Madrid et Marbella), français et anglais ont déjà effectué les versements correspondants à leurs acquisitions bien avant de signer les accords. Notons qu'Addoha prospecte aussi les marchés russe et belge.
Pour séduire, le groupe a investi une superficie de 205 hectares, soigneusement placé sur la côte atlantique, à 10 minutes de Tanger (17 km au sud-ouest sur la route de Rabat) et à seulement 5 km de son aéroport international, au voisinage immédiat de concurrents pas des moindres, dont les projets « Tinja » d'Emaar et « Houara » de Qatari Diar. C'est la zone d'expansion touristique naturelle de Tanger où il y aura beaucoup d'hôtels et une forte affluence touristique. Des kilomètres de sable fin et un cadre de vie idyllique où golfs, lagunes et mer feront partie intégrante du quotidien. Tanger revêt une dimension géographique et culturelle exceptionnelle. Aujourd'hui, cette cité balnéaire et portuaire est résolument tournée vers l'avenir, c'est le 2e pôle d'activité du Maroc, une région attractive au niveau économique mais aussi touristique, de référence pour une cible nationale et internationale.
Sur une superficie de 3,6 hectares et d'une capacité de 700 chambres, l'hôtel 5* prévu dans le cadre de Tanjah Beach & Golf Resort est déjà confié à un bureau d'étude tandis que « les négociations se poursuivent pour lui en désigner une marque et un gestionnaire de renommée », affirme Cédric Bredoux. Il ajoute que le centre commercial est aussi en étude, « afin de créer des locaux adaptés à la demande, en espace et design ». Le projet prévoit un aquaparc, un spa, 6 courts de tennis, des beach clubs, une discothèque, des kiosques, des restaurants,…
D'une architecture contemporaine fortement inspirée de « Tanger - La blanche », l'ensemble immobilier est composé d'un habitat haut standing diversifié mêlant résidences, villas individuelles et petits collectifs, harmonieusement disséminés autour du golf (tiers du terrain), des piscines ou offrant une vue sur la plage. A partir de 1.290.000 DH et au prix moyen de 15.000 DH/m2, les appartements (R+2 et R+3) arborent avec élégance sur des surfaces allant de 80 à 100 m2 (terrasse de 30 m2), entourés d'espaces verts, avec parking privatifs.
Les promoteurs proposent un financement incitatif à 100% avec un taux fixe exceptionnel de 4,25% sur les 10 premières années. A partir de 4.300.000 DH, les villas (R+1) avec piscine, isolées (entre 600 et 1000 m2) ou jumelées (400 à 460 m2), répondent à de hauts standards de luxe et de confort, avec en prime une nature renversante. Les îlots (naturels et artificiels) qu'intégre le parcours du golf donnent une meilleure vue à toutes les constructions. Une promenade devrait longer jusqu'à l'aéroport. Accès séparés, six rondpoints, des passages piétons et des pompes devraient optimiser la circulation. En étude, l'option de rediriger la RN.
Enfin, le golf Tanjah Beach & Golf Resort devrait rapidement endosser une réputation internationale. Surplombant l'océan Atlantique, composé de palmiers, de sable, et d'obstacles d'eau, ce parcours de 18 trous propose un dessin varié et alterne les trous plats, courts, vallonnés, longs sur plus de 70 hectares. Un club house et un bar accueillant recevront des golfeurs du monde entier pour des moments de détente privilégiés. L'imperméabilisation du golf est « très importante » et l'étude faite, lui correspondant, est « très couteuse », estime le directeur commercial.
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