Les monuments présentent majestueusement leur stature, s'offrant corps et âme à la contemplation du visiteur pour l'éblouissement de ses sens. Dès qu'il aborde le «héri» à grains, notre invité doit retenir son souffle car le plaisir est immense. Il va de découverte en découverte. Ici, le plan d'eau «souani» aux pieds des remparts centenaires. Plus loin, la place «Mhancha» du Palais royal et les abris sous arcades réservés jadis aux chevaux. Là-bas se dresse «Borj El Ma» qui domine «Assarag», véritable couloir bordé par deux imposantes murailles. Sa curiosité le poussera à découvrir un peu plus loin le pavillon des ambassadeurs, l'esplanade Lalla Aouada, limitée au fond par l'ensemble architectural du tribunal de 1re instance. Tout ce parcours se situe dans la cité impériale de Moulay Ismaïl.
Pour aller sur l'autre versant, au-delà de l'enceinte de la ville impériale, il y a un passage obligé que le piéton doit emprunter. On traverse un square qui se trouve à proximité d'une sorte de pavillon artisanal, fermé depuis quelque temps et dont les abords, en particulier la porte d'accès, sont jonchés de toutes sortes de déchets (excréments entre autres...). Après cette «découverte» désagréable, le visiteur emprunte obligatoirement une sorte de vestibule et fait alors une autre «découverte» plus désagréable encore, car il y a en plus des odeurs nauséabondes qui émanent des lieux. Un certain masque et des lunettes aux verres teintés ne sont donc pas superflus.
Imaginez la réaction des piétons en général et des touristes en particulier qui traversent ce lieu infesté par toutes sortes de détritus; surtout que ce passage conduit directement à la célèbre place Lahdim, une esplanade très visitée, avec ses portes monumentales: Bab Al Mansour, Bab Al Anouar, le musée Dar Jamai... Une intervention des services concernés s'impose et de façon rapide pour mettre fin à cette situation et éliminer le dérangement des sens. Tout ce qui peut donc porter préjudice au développement du tourisme doit être écarté.
Pour aller sur l'autre versant, au-delà de l'enceinte de la ville impériale, il y a un passage obligé que le piéton doit emprunter. On traverse un square qui se trouve à proximité d'une sorte de pavillon artisanal, fermé depuis quelque temps et dont les abords, en particulier la porte d'accès, sont jonchés de toutes sortes de déchets (excréments entre autres...). Après cette «découverte» désagréable, le visiteur emprunte obligatoirement une sorte de vestibule et fait alors une autre «découverte» plus désagréable encore, car il y a en plus des odeurs nauséabondes qui émanent des lieux. Un certain masque et des lunettes aux verres teintés ne sont donc pas superflus.
Imaginez la réaction des piétons en général et des touristes en particulier qui traversent ce lieu infesté par toutes sortes de détritus; surtout que ce passage conduit directement à la célèbre place Lahdim, une esplanade très visitée, avec ses portes monumentales: Bab Al Mansour, Bab Al Anouar, le musée Dar Jamai... Une intervention des services concernés s'impose et de façon rapide pour mettre fin à cette situation et éliminer le dérangement des sens. Tout ce qui peut donc porter préjudice au développement du tourisme doit être écarté.
