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Soit quelque 3500 km plus au Sud, dans cet Oukaïmeden hissé non sans orgueil sur des cimes de près de 3000 m d'altitude, austère et – cela ne s'est jamais vu non plus depuis des lustres – écrasé de neige et devenu inhospitalier même ! Ils ont transformé la Coupe de l'Info en fête de la neige de la presse française.
La compétition initiale, prévue depuis plusieurs mois et impliquant un certain nombre d'entre eux, passionnés de ski, est devenue un moment de grande communion. Faute non de neige, mais de trop de neige ! Celle-ci a eu sa revanche, parce qu'elle ne s'est pas interrompue un seul instant, les obligeant à se calfeutrer d'abord dans le splendide site du Kenzi, à simuler une Coupe de ski, à découvrir ensuite le Toubkal et le plus haut mont d'Afrique après le Kilimandjaro. L'ambiance confraternelle, dans le Haut Atlas couvert d'un épais et blanc manteau, a dissipé la désillusion de ne pas pouvoir skier, elle a chassé aussi la déception inattendue d'une authentique Coupe de ski, reportée seulement pour cause d'impraticabilité de la piste, mais non annulée…
Ainsi, faisant contre mauvaise fortune bon cœur, la cinquantaine de journalistes de chaînes de télévision, de radios et de la presse écrite de France, - ces visages emblématiques, dont certains sont attachés par leur naissance ou des liens au Maroc - ont-ils simplement séjourné à l'Oukaïmeden et à Marrakech. S'ils n'ont pas skié, ils ont découvert en revanche une région et ses habitants. Ils ont échangé quelques mots avec Nawal Moutawakil, ministre de la Jeunesse et des Sports, qui, en dépit des difficultés d'accès sur les hauteurs de l'Ouka, prenant son courage à deux mains, y a tout de même fait le déplacement pour les saluer, leur souhaiter la bienvenue et honorer un événement sportif français majeur.
Dès le premier jour de leur arrivée, un vendredi, un accueil chaleureux leur a été réservé par les autorités de la ville, les dirigeants du Centre régional du tourisme (CRT), les représentants du ministère du Tourisme, du ministère de la Jeunesse et des Sports, de l'ONMT, de la Fédération royale marocaine de ski et montagne (FRMSM), la population et certains confrères marocains. Initialement, le programme de séjour des cinquante confrères devait comporter deux grands axes : le challenge de ski, inscrit par ailleurs dans le Trophée Moulay Rachid et un débat dédié à l'information en ligne, réunissant les journalistes français et leur confrères marocains, organisé conjointement par le ministère de la Communication, France 24 et 2M, parrainé aussi par Maroc Télécom et l'hôtel Sofitel. Ce débat, qui a eu lieu dimanche 8 février, a réuni autour de Sylvain Attal, journaliste à France 24, un certain nombre d'experts et de journalistes.
Le débat a été transmis sur les canaux de France 24.com, 2M et Menara.ma.Dès leur arrivée à l'aéroport Marrakech Ménara, vendredi, les journalistes français, conduits par Karine Fauvet, journaliste à la chaîne et visage qui nous est cher de LCI, également organisatrice et productrice de l'événement, veillant jour et nuit au grain pour le succès de l'opération, ont senti le ton chaleureux et convivial du Comité d'accueil à la tête duquel se trouvaient, outre plusieurs personnalités, Mme Zakia Abou Ibrahimi, ancienne directrice de programmation de TF1 Pub, représentante de «France 24» au Maroc, tout à son admirable engagement, coordinatrice dévouée au Maroc de l'événement «Coupe de l'Info». Marrakech recevait ainsi – sans doute pour la première fois sous cette forme – une délégation de ce qu'il y a de plus emblématique des journalistes de la presse française. Ils étaient ainsi groupés sous le même signe de la confraternité sportive, certes, mais sous l'emblème d'une cité magique appelée Marrakech.
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Ce point, en particulier, aura focalisé d'ailleurs l'attention dans le discours que Karine Fauvet a prononcé lors du dîner de gala, offert par l'ONMT dans le cadre traditionnel de «Dar Tanjia» le samedi 7 février. Elle a déclaré notamment que «la Coupe de l'Info nous a encore mieux rapprochés et tracé pour nous la ligne de confluence, entre le Haut Atlas mythique et la ville de Paris.
Elle a réduit la distance géographique et humaine». Et d'ajouter : «Ce moment de communion et de partage s'inscrit également dans une tradition d'amitié profonde et ancienne entre la France et le Maroc».
La compétition initiale, prévue depuis plusieurs mois et impliquant un certain nombre d'entre eux, passionnés de ski, est devenue un moment de grande communion. Faute non de neige, mais de trop de neige ! Celle-ci a eu sa revanche, parce qu'elle ne s'est pas interrompue un seul instant, les obligeant à se calfeutrer d'abord dans le splendide site du Kenzi, à simuler une Coupe de ski, à découvrir ensuite le Toubkal et le plus haut mont d'Afrique après le Kilimandjaro. L'ambiance confraternelle, dans le Haut Atlas couvert d'un épais et blanc manteau, a dissipé la désillusion de ne pas pouvoir skier, elle a chassé aussi la déception inattendue d'une authentique Coupe de ski, reportée seulement pour cause d'impraticabilité de la piste, mais non annulée…
Ainsi, faisant contre mauvaise fortune bon cœur, la cinquantaine de journalistes de chaînes de télévision, de radios et de la presse écrite de France, - ces visages emblématiques, dont certains sont attachés par leur naissance ou des liens au Maroc - ont-ils simplement séjourné à l'Oukaïmeden et à Marrakech. S'ils n'ont pas skié, ils ont découvert en revanche une région et ses habitants. Ils ont échangé quelques mots avec Nawal Moutawakil, ministre de la Jeunesse et des Sports, qui, en dépit des difficultés d'accès sur les hauteurs de l'Ouka, prenant son courage à deux mains, y a tout de même fait le déplacement pour les saluer, leur souhaiter la bienvenue et honorer un événement sportif français majeur.
Dès le premier jour de leur arrivée, un vendredi, un accueil chaleureux leur a été réservé par les autorités de la ville, les dirigeants du Centre régional du tourisme (CRT), les représentants du ministère du Tourisme, du ministère de la Jeunesse et des Sports, de l'ONMT, de la Fédération royale marocaine de ski et montagne (FRMSM), la population et certains confrères marocains. Initialement, le programme de séjour des cinquante confrères devait comporter deux grands axes : le challenge de ski, inscrit par ailleurs dans le Trophée Moulay Rachid et un débat dédié à l'information en ligne, réunissant les journalistes français et leur confrères marocains, organisé conjointement par le ministère de la Communication, France 24 et 2M, parrainé aussi par Maroc Télécom et l'hôtel Sofitel. Ce débat, qui a eu lieu dimanche 8 février, a réuni autour de Sylvain Attal, journaliste à France 24, un certain nombre d'experts et de journalistes.
Le débat a été transmis sur les canaux de France 24.com, 2M et Menara.ma.Dès leur arrivée à l'aéroport Marrakech Ménara, vendredi, les journalistes français, conduits par Karine Fauvet, journaliste à la chaîne et visage qui nous est cher de LCI, également organisatrice et productrice de l'événement, veillant jour et nuit au grain pour le succès de l'opération, ont senti le ton chaleureux et convivial du Comité d'accueil à la tête duquel se trouvaient, outre plusieurs personnalités, Mme Zakia Abou Ibrahimi, ancienne directrice de programmation de TF1 Pub, représentante de «France 24» au Maroc, tout à son admirable engagement, coordinatrice dévouée au Maroc de l'événement «Coupe de l'Info». Marrakech recevait ainsi – sans doute pour la première fois sous cette forme – une délégation de ce qu'il y a de plus emblématique des journalistes de la presse française. Ils étaient ainsi groupés sous le même signe de la confraternité sportive, certes, mais sous l'emblème d'une cité magique appelée Marrakech.
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Promotion de la ville
La Coupe de l'Info a été placée sous le signe de la promotion de la ville impériale dont les responsables et les autorités, du tourisme notamment, entendaient assurer la promotion. Comme aussi dans la volonté affichée de consolider les «passerelles d'échanges entre les différents leaders d'opinion en France et au Maroc».Ce point, en particulier, aura focalisé d'ailleurs l'attention dans le discours que Karine Fauvet a prononcé lors du dîner de gala, offert par l'ONMT dans le cadre traditionnel de «Dar Tanjia» le samedi 7 février. Elle a déclaré notamment que «la Coupe de l'Info nous a encore mieux rapprochés et tracé pour nous la ligne de confluence, entre le Haut Atlas mythique et la ville de Paris.
Elle a réduit la distance géographique et humaine». Et d'ajouter : «Ce moment de communion et de partage s'inscrit également dans une tradition d'amitié profonde et ancienne entre la France et le Maroc».
