Sept candidats sont en lice pour le poste du président de la Fédération royale marocaine de rugby. Les adhérents éliront le successeur à Saïd Bouhajeb dont le mandat arrive à terme. Ce dernier est candidat à sa propre succession. Il devra faire face à six autres candidats (Koutbi, Jefoui, Bougja, Raji, Nkhili, Boujoula du MCO).
Sept candidatures, donc logiquement sept programmes différents à moins que l'on retrouve des candidatures «fantaisistes», estiment d'aucuns. Certes, le président sortant a effectué un grand travail à la tête de la fédération : la mise en place d'un championnat de jeunes (minimes et cadets, c'est une nouveauté dans le rugby au Maroc !), le rugby à 7 (hommes et dames), la création des écoles de rugby, ainsi que des terrains qui sont équipés d'éclairage, du gazon et des infrastructures résidentielle… tels Nador, Témara, Kelâat Sraghnas, Casablanca… Mais cela n'est pas suffisant aux yeux des autres candidats. Certains d'entre eux veulent aller encore plus loin pour faire de cette discipline l'un des sports phares au Maroc. Les alliances en coulisse ont déjà commencé, mais l'issue de cette élection reste incertaine.
Et contrairement aux rumeurs qui ont circulé le week-end dernier et le début de cette semaine, la fédération n'a rejeté aucune candidature. Toutes les personnes qui ont déposé leurs dossiers à temps avec un entête du club auquel elle appartient et avec la signature du président du club ont été admises. Parmi les chantiers urgents auxquels doit s'atteler le nouveau président, on citera, entre autres, la création d'une ligue professionnelle ; l'instauration d'un championnat avec un système de montée et de descente, chose qui ne se fait pas actuellement ; la mise en place des ligues régionales ; l'instauration d'un nouveau plan média pour promouvoir la discipline et la recherche de nouveaux sponsors pour renflouer les caisses. Autant de chantiers qui en disent long sur les travaux d'Hercule auxquels doivent s'attaquer le futur président et son team. Autant dire que l'assemblée générale ressemble aux assises aux allures de mises au point, de moment de rendre des comptes et d'instants de faire le bilan avant que les adhérents renouvellent ou non leur confiance au président sortant.
Sept candidatures, donc logiquement sept programmes différents à moins que l'on retrouve des candidatures «fantaisistes», estiment d'aucuns. Certes, le président sortant a effectué un grand travail à la tête de la fédération : la mise en place d'un championnat de jeunes (minimes et cadets, c'est une nouveauté dans le rugby au Maroc !), le rugby à 7 (hommes et dames), la création des écoles de rugby, ainsi que des terrains qui sont équipés d'éclairage, du gazon et des infrastructures résidentielle… tels Nador, Témara, Kelâat Sraghnas, Casablanca… Mais cela n'est pas suffisant aux yeux des autres candidats. Certains d'entre eux veulent aller encore plus loin pour faire de cette discipline l'un des sports phares au Maroc. Les alliances en coulisse ont déjà commencé, mais l'issue de cette élection reste incertaine.
Et contrairement aux rumeurs qui ont circulé le week-end dernier et le début de cette semaine, la fédération n'a rejeté aucune candidature. Toutes les personnes qui ont déposé leurs dossiers à temps avec un entête du club auquel elle appartient et avec la signature du président du club ont été admises. Parmi les chantiers urgents auxquels doit s'atteler le nouveau président, on citera, entre autres, la création d'une ligue professionnelle ; l'instauration d'un championnat avec un système de montée et de descente, chose qui ne se fait pas actuellement ; la mise en place des ligues régionales ; l'instauration d'un nouveau plan média pour promouvoir la discipline et la recherche de nouveaux sponsors pour renflouer les caisses. Autant de chantiers qui en disent long sur les travaux d'Hercule auxquels doivent s'attaquer le futur président et son team. Autant dire que l'assemblée générale ressemble aux assises aux allures de mises au point, de moment de rendre des comptes et d'instants de faire le bilan avant que les adhérents renouvellent ou non leur confiance au président sortant.