Durant trois jours, les 22, 23 et 24 avril, ils ont informé les collégiens sur la problématique du handicap, sa prise en charge et surtout comment traiter cette partie de la population. Deux psychologues de l'APAEI ont expliqué aux étudiants du collège Anatole France, les moyens et difficultés d'adaptation ou d'apprentissage des enfants inadaptés mentaux pour les sensibiliser sur l'acte de solidarité avec ces petits citoyens qui ont souvent du mal à s'intégrer. L'APAEI a mené cette réflexion avec une volonté d'expliquer l'importance du soutien de la famille, des amis et de toute la société pour les enfants à besoins spécifiques. Un objectif réussi selon les responsables de l'association, «Les élèves, les professeurs et les cadres administratifs de cet établissement ont bien compris cette problématique ».
A travers cette initiative, l'APAEI vise à renforcer ses relations avec les établissements externes et participe au développement du sens de la solidarité et de la citoyenneté des collégiens et des étudiants.
En abordant des établissements externes, cet organisme veut aussi participer dans le processus national du développement de solidarité et de citoyenneté. Ce genre d'actions, ne peut qu'être bénéfique pour Les enfants à besoins spécifiques. Ces derniers ont besoin qu'on identifie et favorise les conditions de réussite de leur intégration en milieux ordinaires notamment les écoles et non d'en limiter l'accès.
En effet, l'intégration des enfants handicapés doit tenir compte de la diversité de leur soucis de la vie et des besoins particuliers de tous et chacun. Pour prouver leur capacité d'adaptation, ces petits font preuve de beaucoup de créativité et de talents. Ainsi, les jeunes filles du centre d'aide psychologique et d'insertion sociale (CAPIS) qui ont présenté le 23 avril dans le cadre de l'activité menée par l'APAEI, leurs travaux d'objet d'art, aux visiteurs ainsi qu'une pièce de théâtre. Il est à noter que le CAPIS assure la prise en charge thérapeutique pédagogique et professionnelle des filles qui présentent les différents types de handicap mental à partir de 12 ans. Les jeunes garçons du centre d'aide psychologique et d'insertion sociale à Dar Bouazza ont également fait apprécier leur sens de citoyenneté. Le 24 avril, ils ont participé au sein de l'Ecole nationale de commerce et de gestion de Casablanca à l'événement ʺGreen Touch˝ organisé à l'occasion de la Journée de la Terre.
Les jeunes de l'APAAEI ont participé aux activités présentées par l'Ecole nationale. Ils ont présenté leurs objets d'art qui ont été admirés par les visiteurs du stand. Par ces activités externes, l'APAEI cherche à sensibiliser et informer les citoyens sur la problématique d uhandicap.
L'APAEI dispose aussi d'une sous-location de plusieurs parcelles de terrain de la ferme qu'elle exploite en location de la Direction des domaines, à Dar Bouâzza. Par ailleurs, cette association d'utilité publique possède des revenus fixes qui proviennent du secrétariat d'Etat ou du ministère de tutelle chargé de l'Enfance, de la Famille et de l'Action sociale. Cet organisme prend à sa charge plus de 185 enfants inadaptés. L'association reçoit également de l'argent de la CNOPS, des FAR, des amicales de plusieurs organismes publics et semi-publics et des entreprises privées.
A travers cette initiative, l'APAEI vise à renforcer ses relations avec les établissements externes et participe au développement du sens de la solidarité et de la citoyenneté des collégiens et des étudiants.
En abordant des établissements externes, cet organisme veut aussi participer dans le processus national du développement de solidarité et de citoyenneté. Ce genre d'actions, ne peut qu'être bénéfique pour Les enfants à besoins spécifiques. Ces derniers ont besoin qu'on identifie et favorise les conditions de réussite de leur intégration en milieux ordinaires notamment les écoles et non d'en limiter l'accès.
En effet, l'intégration des enfants handicapés doit tenir compte de la diversité de leur soucis de la vie et des besoins particuliers de tous et chacun. Pour prouver leur capacité d'adaptation, ces petits font preuve de beaucoup de créativité et de talents. Ainsi, les jeunes filles du centre d'aide psychologique et d'insertion sociale (CAPIS) qui ont présenté le 23 avril dans le cadre de l'activité menée par l'APAEI, leurs travaux d'objet d'art, aux visiteurs ainsi qu'une pièce de théâtre. Il est à noter que le CAPIS assure la prise en charge thérapeutique pédagogique et professionnelle des filles qui présentent les différents types de handicap mental à partir de 12 ans. Les jeunes garçons du centre d'aide psychologique et d'insertion sociale à Dar Bouazza ont également fait apprécier leur sens de citoyenneté. Le 24 avril, ils ont participé au sein de l'Ecole nationale de commerce et de gestion de Casablanca à l'événement ʺGreen Touch˝ organisé à l'occasion de la Journée de la Terre.
Les jeunes de l'APAAEI ont participé aux activités présentées par l'Ecole nationale. Ils ont présenté leurs objets d'art qui ont été admirés par les visiteurs du stand. Par ces activités externes, l'APAEI cherche à sensibiliser et informer les citoyens sur la problématique d uhandicap.
L'association en bref
Créée en 1972, l'APAEI a pour mission d'encadrer les handicapés légers, à l'origine, mais aussi les enfants autistes, psychotiques et trisomiques 21. Les enfants bénéficiaires de l'association ont besoin de l'encadrement de pédopsychiatres, psychomotriciens ainsi que d'autres éducateurs et moniteurs spécialisés. Les revenus de l'APAEI proviennent des cotisations de ses membres et des frais de scolarité des enfants qu'elle prend en charge et qui varient entre 1.000 et 2.500 DH par mois. L'association perçoit également des revenus locatifs provenant d'un centre commercial à Hay Inara.L'APAEI dispose aussi d'une sous-location de plusieurs parcelles de terrain de la ferme qu'elle exploite en location de la Direction des domaines, à Dar Bouâzza. Par ailleurs, cette association d'utilité publique possède des revenus fixes qui proviennent du secrétariat d'Etat ou du ministère de tutelle chargé de l'Enfance, de la Famille et de l'Action sociale. Cet organisme prend à sa charge plus de 185 enfants inadaptés. L'association reçoit également de l'argent de la CNOPS, des FAR, des amicales de plusieurs organismes publics et semi-publics et des entreprises privées.
