Porté par l'association «Nouas», un organisme de conseil et de formation à Montpellier et l'association « Agence internationale pour le développement économique et sociale» (AIDES) à Casablanca, ce programme de coopération international a aussi pour objectif de mobiliser la diaspora marocaine pour participer au développement de son pays d'origine. Les opérateurs engagés dans ce projet d'intégration professionnelle des jeunes chômeurs devront être capables de repérer ces personnes sans emploi, de les accueillir et de réaliser avec chaque individu un premier diagnostic.
Une démarche de finalisation d'un projet professionnel avec chaque candidat sera réalisée. Elle peut aboutir à deux conclusions : soit ce jeune est en mesure de proposer sa compétence auprès d'un employeur en tant que salarié, soit il envisage de créer son propre emploi via la création d'une micro-entreprise coopérative. Une troisième alternative peut être envisagée avec le chercheur d'emploi et qui consiste à la reprise d'une formation qualifiante. «Au démarrage, nous allons former des professionnels pour accompagner ces demandeurs d'emploi ici au Maroc. Pour ce faire, nous allons sélectionner neuf opérateurs issus des régions de Settat, Fès et Tétouan. Dans ces trois zones, beaucoup de diplômés chômeurs sont candidats à l'immigration. Nous nous appuierons pour l'accompagnement des jeunes diplômés sur un réseau d'experts ayant migré, afin qu'ils partagent leur expérience avec les jeunes», a expliqué Abdelhak Harraga, directeur de «Nouas». L'autre axe principal de ce projet, c'est l'accompagnement des entreprises locales ayant des difficultés à recruter des collaborateurs qualifiés.
Ces sociétés seront accompagnées dans leur démarche de recrutement en procédant à des mises en relation avec les jeunes diplômés suivis par les organismes d'accompagnement. «Notre projet propose deux innovations.
La première consiste au dispositif lui-même unique et qui correspond à un accompagnement global comme un guichet unique pouvant répondre aux différents profils de candidats (salarié ou entrepreneur). Quant à la deuxième, il s'agit de la nouvelle compétence du chargé de mission relation-entreprise, qui possède à la fois la capacité de valider le projet du candidat et de mobiliser les sociétés en ciblant les métiers», a ajouté M. Harraga.
Parmi les opérateurs engagés dans ce programme, il y a l'Entraide nationale à Settat, l'association ATIL de microcrédit à Tétouan, etc.
Chaque opérateur devrait désigner quatre chargés de mission, dont chacun devrait accueillir le candidat et l'accompagner dans son projet professionnel. «La prochaine étape du programme consiste à former des chargés de mission. Celle-ci se déroulera entre mai et juin prochains en vu d'acquérir les compétences nécessaires des actions du programme. Après, nous allons nous mobiliser auprès des opérateurs pour sélectionner les jeunes et étudier les éventualités de financement des projets de création d'entreprise», a souligné Mohamed Asri, président d'Aides.
Une démarche de finalisation d'un projet professionnel avec chaque candidat sera réalisée. Elle peut aboutir à deux conclusions : soit ce jeune est en mesure de proposer sa compétence auprès d'un employeur en tant que salarié, soit il envisage de créer son propre emploi via la création d'une micro-entreprise coopérative. Une troisième alternative peut être envisagée avec le chercheur d'emploi et qui consiste à la reprise d'une formation qualifiante. «Au démarrage, nous allons former des professionnels pour accompagner ces demandeurs d'emploi ici au Maroc. Pour ce faire, nous allons sélectionner neuf opérateurs issus des régions de Settat, Fès et Tétouan. Dans ces trois zones, beaucoup de diplômés chômeurs sont candidats à l'immigration. Nous nous appuierons pour l'accompagnement des jeunes diplômés sur un réseau d'experts ayant migré, afin qu'ils partagent leur expérience avec les jeunes», a expliqué Abdelhak Harraga, directeur de «Nouas». L'autre axe principal de ce projet, c'est l'accompagnement des entreprises locales ayant des difficultés à recruter des collaborateurs qualifiés.
Ces sociétés seront accompagnées dans leur démarche de recrutement en procédant à des mises en relation avec les jeunes diplômés suivis par les organismes d'accompagnement. «Notre projet propose deux innovations.
La première consiste au dispositif lui-même unique et qui correspond à un accompagnement global comme un guichet unique pouvant répondre aux différents profils de candidats (salarié ou entrepreneur). Quant à la deuxième, il s'agit de la nouvelle compétence du chargé de mission relation-entreprise, qui possède à la fois la capacité de valider le projet du candidat et de mobiliser les sociétés en ciblant les métiers», a ajouté M. Harraga.
Parmi les opérateurs engagés dans ce programme, il y a l'Entraide nationale à Settat, l'association ATIL de microcrédit à Tétouan, etc.
Chaque opérateur devrait désigner quatre chargés de mission, dont chacun devrait accueillir le candidat et l'accompagner dans son projet professionnel. «La prochaine étape du programme consiste à former des chargés de mission. Celle-ci se déroulera entre mai et juin prochains en vu d'acquérir les compétences nécessaires des actions du programme. Après, nous allons nous mobiliser auprès des opérateurs pour sélectionner les jeunes et étudier les éventualités de financement des projets de création d'entreprise», a souligné Mohamed Asri, président d'Aides.
