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« La prochaine édition qui accueillera des films nationaux et étrangers sera compétitive. Elle est le début d'un festival appelé à se dérouler chaque année», a indiqué Danny Sarazin, directrice du FIFALE, lors d'une conférence de presse, mercredi 24 novembre à Rabat.
Pour ce faire, les organisateurs de ce rendez-vous international cinématographique envisagent de signer des accords avec plusieurs partenaires publics et privés pour les impliquer dans le financement à long terme de cette initiative. Abdelkrim Bennani, président de l'association Ribat El Fath pour le développement durable, initiatrice de ce festival, a saisi cette occasion pour inviter le cinéaste Nicolas Vanier à s'associer à son équipe en tant que membre du comité d'honneur ou technique du FIFALE. « Au Maroc, il existe une grande richesse naturelle qu'il faut montrer via des films. Je suis honoré par cette invitation et accepte de partager votre nouvelle aventure. Ce festival ne demande pas beaucoup d'argent. Il faut savoir qu'aujourd'hui, il existe deux catégories de film : des longs-métrages à grand budget ou à petit budget», a répondu le réalisateur du film « Loup », projeté lors de cette 6e édition du FIFALE.
L'histoire du film le « Loup » est née de la rencontre de Nicolas Vanier avec une famille de nomades éleveurs de rennes. Au cours de sa longue traversée de la Sibérie en 199, cet aventurier français a partagé la vie de ces nomades pendant près d'un an se déplaçant avec eux à dos de rennes ou juché sur un traîneau. Il a alors pu constater le lien très fort unissant ces hommes à leur territoire, avec lequel ils vivent en parfaite harmonie et qu'ils partagent avec les loups, qu'ils haïssent et vénèrent à la fois.
Pour avoir toutes les informations sur la prochaine édition de ce festival, un site internet sera lancé à la fin de la semaine prochaine et qui se transformera par la suite en un portail environnemental. La 7e édition sera l'occasion pour le Haut commissariat aux Eaux et Forêts et à la lutte contre la désertification pour présenter tous ses projets de sauvegarde de la faune ainsi que le projet du nouveau zoo de Rabat. Par ailleurs, il a été aussi un appel aux réalisateurs marocains d'investir dans le film animalier. D'ailleurs, un cinéaste marocain réalise déjà un film sur la cigogne qui se sédentarise.
Pour ce faire, les organisateurs de ce rendez-vous international cinématographique envisagent de signer des accords avec plusieurs partenaires publics et privés pour les impliquer dans le financement à long terme de cette initiative. Abdelkrim Bennani, président de l'association Ribat El Fath pour le développement durable, initiatrice de ce festival, a saisi cette occasion pour inviter le cinéaste Nicolas Vanier à s'associer à son équipe en tant que membre du comité d'honneur ou technique du FIFALE. « Au Maroc, il existe une grande richesse naturelle qu'il faut montrer via des films. Je suis honoré par cette invitation et accepte de partager votre nouvelle aventure. Ce festival ne demande pas beaucoup d'argent. Il faut savoir qu'aujourd'hui, il existe deux catégories de film : des longs-métrages à grand budget ou à petit budget», a répondu le réalisateur du film « Loup », projeté lors de cette 6e édition du FIFALE.
L'histoire du film le « Loup » est née de la rencontre de Nicolas Vanier avec une famille de nomades éleveurs de rennes. Au cours de sa longue traversée de la Sibérie en 199, cet aventurier français a partagé la vie de ces nomades pendant près d'un an se déplaçant avec eux à dos de rennes ou juché sur un traîneau. Il a alors pu constater le lien très fort unissant ces hommes à leur territoire, avec lequel ils vivent en parfaite harmonie et qu'ils partagent avec les loups, qu'ils haïssent et vénèrent à la fois.
Pour avoir toutes les informations sur la prochaine édition de ce festival, un site internet sera lancé à la fin de la semaine prochaine et qui se transformera par la suite en un portail environnemental. La 7e édition sera l'occasion pour le Haut commissariat aux Eaux et Forêts et à la lutte contre la désertification pour présenter tous ses projets de sauvegarde de la faune ainsi que le projet du nouveau zoo de Rabat. Par ailleurs, il a été aussi un appel aux réalisateurs marocains d'investir dans le film animalier. D'ailleurs, un cinéaste marocain réalise déjà un film sur la cigogne qui se sédentarise.
