Cela, alors que le festival lui est destiné en premier lieu.
Sur scène, les musiciens de l'Orchestre dirigé par Mustafa Regragui, qui y ont pris place depuis un bon moment, commencent à se préparer, puis à s'impatienter, tout comme le public qui se fait de plus en plus nombreux. Et comme les retardataires ont toujours tort, les invités de marque ont raté le début de la soirée.
Une soirée qui a démarré en beauté avec une belle voix qui a fait le bonheur des amateurs du « tarab » authentique. Hatim Idar, jeune ambassadeur de la chanson marocaine au Liban, a subjugué le public avec son interprétation et sa forte présence sur scène.
Les jeunes artistes se sont ensuite succédé, aussi talentueux les uns que les autres. En solo ou en duo, Taha Ilias, Meryem Benmir, Houda Saad, Moâtaz, Laïla Gouchi, Noureddine Taïbi, Hajar Adnane, Saad Lamjarred ou encore Imane Karkibou ont offert au public des moments de pur plaisir avec des chansons tirées du patrimoine musical maghrébin. Tous habillés par la jeune styliste Samira Haddouchi, ils ont éblouis par leur voix mais aussi par leur élégance. La création avait aussi sa place dans cette fête. Elle porte pour nom « Ya beni l'Inssan» et est signée Azeddine Mountassir. Les paroles sont de Rachid Boulaayoun.
Après cet hommage rendu à la chanson maghrébine classique, la place a été cédée à celle populaire et à ses rythmes déchaînés avec une figure emblématique du genre. Hajja Hamdaouia, attendue par tous a été le point d'orgue de la soirée. Infatigable et toujours aussi dynamique, la grande artiste a vite conquis le public. Avec ses chansons, aussi bien celles qui chantent l'amour que celles engagées, elle a séduit ses milliers de fans.
Dans le même registre, Haj Abdelmoughit a clôturé la soirée avec les sonorités typiques d'une «Aïta » qui porte ses propres empreintes. Celui qui a été classé parmi les premiers dans le monde du "marsaoui" a fait vivre aux spectateurs des moments inoubliables.
Le rideau est donc tombé sur cette manifestation qui célèbre la musique authentique. Vivement la troisième édition !
Sur scène, les musiciens de l'Orchestre dirigé par Mustafa Regragui, qui y ont pris place depuis un bon moment, commencent à se préparer, puis à s'impatienter, tout comme le public qui se fait de plus en plus nombreux. Et comme les retardataires ont toujours tort, les invités de marque ont raté le début de la soirée.
Une soirée qui a démarré en beauté avec une belle voix qui a fait le bonheur des amateurs du « tarab » authentique. Hatim Idar, jeune ambassadeur de la chanson marocaine au Liban, a subjugué le public avec son interprétation et sa forte présence sur scène.
Les jeunes artistes se sont ensuite succédé, aussi talentueux les uns que les autres. En solo ou en duo, Taha Ilias, Meryem Benmir, Houda Saad, Moâtaz, Laïla Gouchi, Noureddine Taïbi, Hajar Adnane, Saad Lamjarred ou encore Imane Karkibou ont offert au public des moments de pur plaisir avec des chansons tirées du patrimoine musical maghrébin. Tous habillés par la jeune styliste Samira Haddouchi, ils ont éblouis par leur voix mais aussi par leur élégance. La création avait aussi sa place dans cette fête. Elle porte pour nom « Ya beni l'Inssan» et est signée Azeddine Mountassir. Les paroles sont de Rachid Boulaayoun.
Après cet hommage rendu à la chanson maghrébine classique, la place a été cédée à celle populaire et à ses rythmes déchaînés avec une figure emblématique du genre. Hajja Hamdaouia, attendue par tous a été le point d'orgue de la soirée. Infatigable et toujours aussi dynamique, la grande artiste a vite conquis le public. Avec ses chansons, aussi bien celles qui chantent l'amour que celles engagées, elle a séduit ses milliers de fans.
Dans le même registre, Haj Abdelmoughit a clôturé la soirée avec les sonorités typiques d'une «Aïta » qui porte ses propres empreintes. Celui qui a été classé parmi les premiers dans le monde du "marsaoui" a fait vivre aux spectateurs des moments inoubliables.
Le rideau est donc tombé sur cette manifestation qui célèbre la musique authentique. Vivement la troisième édition !
