Cet engagement a été concrétisé récemment à Casablanca où le représentant de l'Unicef a procédé à la signature de deux conventions dans ce sens.
La première convention, signée entre l'Unicef et le cabinet Capital consulting tend à promouvoir la culture des droits de l'enfant en renforçant les capacités des intervenants dans ce domaine et à soutenir les actions du programme de coopération (2007-2011) entre le Maroc et l'Unicef.
Capital Consulting s'est engagé également à soutenir l'Unicef et ses partenaires, en réalisant des missions à titre gratuit en faveur de cette cause, en aidant à l'amélioration des capacités de l'Unicef dans les domaines d'expertise du cabinet et en apportant son appui à toutes les actions jugées utiles en matière de promotion des droits des enfants.
Quant à la deuxième convention signée entre l'Unicef et Casanet, filiale de Maroc Telecom, elle consiste en la promotion des droits de l'enfant, à travers son site Menara qui sera doté d'un portail dédié aux enfants et aux adolescents. Baptisé Menara junior, ce nouveau né traduit l'engagement de la filiale de Maroc Telecom pour la sensibilisation des jeunes et leurs familles à la culture des droits de l'enfant.
"L'Unicef est convaincu du rôle majeur que peuvent jouer les médias pour l'engagement de tous les acteurs et parties, famille, société civile, gouvernement, élus et jeunes eux-mêmes pour que les droits de l'enfant dans leur totalité soient respectés et mis en œuvre", souligne pour sa part Aloys Kamuragiye, le représentant de l'Unicef au Maroc.
Avec les nouvelles technologies, dit-il, les médias se démocratisent, deviennent de plus en plus accessibles et permettent surtout aux jeunes non pas seulement d'en devenir consommateurs passifs mais surtout d'en être acteurs actifs. A noter que le document de la convention prévoit également d'impliquer les enfants et les jeunes dans les processus de changement de comportement et dans les campagnes de mobilisation sociale par rapport à des thématiques qui seront communément identifiées.
Par ailleurs, la conclusion de ce partenariat qui couvre la période 2010 – 2011, date de la fin de l'actuel cycle de coopération entre le Royaume du Maroc et l'Unicef, tend à mettre en relief le rôle des médias en tant que vecteurs pour la promotion de la participation des enfants et des jeunes et la vulgarisation de la culture des droits de manière générale et des droits de l'enfant de manière particulière. Pour sa part, Amine Trabelsi, Président directeur général de Casanet a indiqué que “Internet est aujourd'hui un outil de connaissances pour nos enfants qui leur permet non seulement d'accéder à l'information, mais aussi d'y réagir.
C'est pourquoi nous pensons qu'en tant que média basé sur les nouvelles technologies, il est de notre devoir d'offrir à nos jeunes internautes un espace dédié où ils peuvent s'exprimer, s'informer et se divertir en toute sécurité.
Nous joignons nos efforts à ceux de toutes les parties qui entreprennent de promouvoir les droits de l'enfant, et la signature aujourd'hui de cette convention avec l'Unicef en est une parfaite illustration.”
Ce programme de Coopération ambitionne la mise en place d'un environnement digne au profit des enfants, ainsi que la réalisation des objectifs du Millénaire pour le Développement et la réduction du nombre de personnes vivant sous le seuil de vulnérabilité.
La convention prévoit notamment d'impliquer les enfants et les jeunes dans les processus de changement de comportement et dans les campagnes de mobilisation sociale par rapport à des thématiques qui seront communément identifiées.
Ces normes fondamentales que l'on appelle aussi les droits de l'homme définissent des droits et des libertés essentiels que les gouvernements doivent respecter. Elles se fondent sur le respect de la dignité et de la valeur de chaque individu, indépendamment de sa race, de sa couleur, de son sexe, de sa langue, de sa religion, de ses opinions, de son origine, de sa fortune, de sa naissance ou de ses facultés, et s'appliquent donc à chaque être humain, partout dans le monde. Ces droits sont assortis de l'obligation, à la fois pour les gouvernements et les individus, de ne pas empiéter sur les droits des autres. Ces normes sont à la fois interdépendantes et indivisibles; on ne peut pas garantir certains droits en laissant de côté ou en sacrifiant d'autres droits.
La première convention, signée entre l'Unicef et le cabinet Capital consulting tend à promouvoir la culture des droits de l'enfant en renforçant les capacités des intervenants dans ce domaine et à soutenir les actions du programme de coopération (2007-2011) entre le Maroc et l'Unicef.
Capital Consulting s'est engagé également à soutenir l'Unicef et ses partenaires, en réalisant des missions à titre gratuit en faveur de cette cause, en aidant à l'amélioration des capacités de l'Unicef dans les domaines d'expertise du cabinet et en apportant son appui à toutes les actions jugées utiles en matière de promotion des droits des enfants.
Quant à la deuxième convention signée entre l'Unicef et Casanet, filiale de Maroc Telecom, elle consiste en la promotion des droits de l'enfant, à travers son site Menara qui sera doté d'un portail dédié aux enfants et aux adolescents. Baptisé Menara junior, ce nouveau né traduit l'engagement de la filiale de Maroc Telecom pour la sensibilisation des jeunes et leurs familles à la culture des droits de l'enfant.
"L'Unicef est convaincu du rôle majeur que peuvent jouer les médias pour l'engagement de tous les acteurs et parties, famille, société civile, gouvernement, élus et jeunes eux-mêmes pour que les droits de l'enfant dans leur totalité soient respectés et mis en œuvre", souligne pour sa part Aloys Kamuragiye, le représentant de l'Unicef au Maroc.
Avec les nouvelles technologies, dit-il, les médias se démocratisent, deviennent de plus en plus accessibles et permettent surtout aux jeunes non pas seulement d'en devenir consommateurs passifs mais surtout d'en être acteurs actifs. A noter que le document de la convention prévoit également d'impliquer les enfants et les jeunes dans les processus de changement de comportement et dans les campagnes de mobilisation sociale par rapport à des thématiques qui seront communément identifiées.
Par ailleurs, la conclusion de ce partenariat qui couvre la période 2010 – 2011, date de la fin de l'actuel cycle de coopération entre le Royaume du Maroc et l'Unicef, tend à mettre en relief le rôle des médias en tant que vecteurs pour la promotion de la participation des enfants et des jeunes et la vulgarisation de la culture des droits de manière générale et des droits de l'enfant de manière particulière. Pour sa part, Amine Trabelsi, Président directeur général de Casanet a indiqué que “Internet est aujourd'hui un outil de connaissances pour nos enfants qui leur permet non seulement d'accéder à l'information, mais aussi d'y réagir.
C'est pourquoi nous pensons qu'en tant que média basé sur les nouvelles technologies, il est de notre devoir d'offrir à nos jeunes internautes un espace dédié où ils peuvent s'exprimer, s'informer et se divertir en toute sécurité.
Nous joignons nos efforts à ceux de toutes les parties qui entreprennent de promouvoir les droits de l'enfant, et la signature aujourd'hui de cette convention avec l'Unicef en est une parfaite illustration.”
Ce programme de Coopération ambitionne la mise en place d'un environnement digne au profit des enfants, ainsi que la réalisation des objectifs du Millénaire pour le Développement et la réduction du nombre de personnes vivant sous le seuil de vulnérabilité.
La convention prévoit notamment d'impliquer les enfants et les jeunes dans les processus de changement de comportement et dans les campagnes de mobilisation sociale par rapport à des thématiques qui seront communément identifiées.
Mission de l'UNICEF
Défendre les droits des enfants, d'aider à répondre à leurs besoins essentiels et de leur donner davantage d'opportunités de s'épanouir pleinement. À cette fin, l'UNICEF s'appuie sur les dispositions et les principes de la Convention relative aux droits de l'enfant. S'inspirant de différents systèmes juridiques et traditions culturelles, la Convention est un ensemble de normes et d'obligations universellement acceptées et non négociables.Ces normes fondamentales que l'on appelle aussi les droits de l'homme définissent des droits et des libertés essentiels que les gouvernements doivent respecter. Elles se fondent sur le respect de la dignité et de la valeur de chaque individu, indépendamment de sa race, de sa couleur, de son sexe, de sa langue, de sa religion, de ses opinions, de son origine, de sa fortune, de sa naissance ou de ses facultés, et s'appliquent donc à chaque être humain, partout dans le monde. Ces droits sont assortis de l'obligation, à la fois pour les gouvernements et les individus, de ne pas empiéter sur les droits des autres. Ces normes sont à la fois interdépendantes et indivisibles; on ne peut pas garantir certains droits en laissant de côté ou en sacrifiant d'autres droits.
