Plus d'un mois après avoir été retenu suite à un appel d'offres international, en consortium avec Nareva, filiale du groupe ONA, pour la construction du parc de Tarfaya, l'un des futurs grands parcs éoliens du Maroc, le groupe International Power ne perd pas de temps. Philippe Cox, directeur général du groupe britannique, a effectué une visite de travail au Maroc, les 18 et 19 octobre, au cours de laquelle il a rencontré la ministre de l'Energie, des Mines, de l'Eau et de l'Environnement, Amina Benkhadra, le directeur général de l'ONE, Ali Fassi Fihri, le top management de Nareva, filiale de l'ONA et partenaire de IP sur ce projet ainsi que d'autres responsables. Les discussions ont porté sur les détails techniques du projet de construction du parc de Tarfaya et sur d'autres possibilités futures de partenariat. Notons à cet égard que le même consortium (Nareva-International Power) a soumissionné pour l'appel d'offres relatif à la construction d'un autre parc éolien de 1.200 Mégawatts dans la ville de Safi.
«L'arrivée de Power International dans le secteur de la production électrique au Maroc est très positive vu que ce groupe est considéré comme pionnier dans ce domaine au niveau mondial. De plus, sa collaboration avec la société marocaine Nareva ouvrira la porte à un partenariat fructueux dans le domaine de l'énergie au Maroc qui connaît un grand développement», a déclaré Amina Benkhadra, à cette occasion.
Pour sa part, l'ambassadeur britannique au Maroc, Tim Morris, a affirmé que «l'entrée de IP sur le marché marocain est un changement qualitatif et profond pour l'industrie britannique qui vient en réponse aux efforts du Maroc en matière d'encouragement des investissements étrangers dans le domaine de l'énergie et dans d'autres secteurs». Il a également ajouté, à cette occasion, que «le gouvernement britannique s'est engagé à encourager la mise en place de ponts entre les sociétés britanniques et leurs partenaires marocains. Nul doute que le succès de ces partenariats encouragerait les autres investisseurs à se concentrer sur le marché marocain caractérisé par un dynamisme et une ouverture exceptionnelle».
A rappeler que le parc éolien de Tarfaya, d'une capacité de 300 Mégawatts à mettre en service en 2012, devra coûter 500 millions de dollars. Cette station de production qui devra démarrer en 2011 en produisant 200 MW au début et augmenter ensuite la production pour atteindre les objectifs visés, contribuera à la mise en œuvre de la nouvelle politique nationale énergétique qui cadre avec la vision royale qui octroie une place de choix pour les énergies renouvelables dans le bouquet électrique national.
Notons aussi qu'en plus du parc éolien de Tarfaya, cinq grands sites ont été identifiés, au vu de leur gisement éolien exceptionnel. Il s'agit en l'occurrence de Tanger II, Koudia Baida II (Tétouan), Taza, Tiskrad (Laâyoune) et Boujdour. Ce programme permettra, in fine, d'économiser annuellement 1,5 million de TEP, soit 750 millions de dollars par an, d'éviter l'émission de 5,6 millions de tonnes de CO2 par an. Le premier parc éolien sera mis en service en 2014 et la totalité du programme le sera en 2020, précise l'Office national de l'électricité.
«L'arrivée de Power International dans le secteur de la production électrique au Maroc est très positive vu que ce groupe est considéré comme pionnier dans ce domaine au niveau mondial. De plus, sa collaboration avec la société marocaine Nareva ouvrira la porte à un partenariat fructueux dans le domaine de l'énergie au Maroc qui connaît un grand développement», a déclaré Amina Benkhadra, à cette occasion.
Pour sa part, l'ambassadeur britannique au Maroc, Tim Morris, a affirmé que «l'entrée de IP sur le marché marocain est un changement qualitatif et profond pour l'industrie britannique qui vient en réponse aux efforts du Maroc en matière d'encouragement des investissements étrangers dans le domaine de l'énergie et dans d'autres secteurs». Il a également ajouté, à cette occasion, que «le gouvernement britannique s'est engagé à encourager la mise en place de ponts entre les sociétés britanniques et leurs partenaires marocains. Nul doute que le succès de ces partenariats encouragerait les autres investisseurs à se concentrer sur le marché marocain caractérisé par un dynamisme et une ouverture exceptionnelle».
A rappeler que le parc éolien de Tarfaya, d'une capacité de 300 Mégawatts à mettre en service en 2012, devra coûter 500 millions de dollars. Cette station de production qui devra démarrer en 2011 en produisant 200 MW au début et augmenter ensuite la production pour atteindre les objectifs visés, contribuera à la mise en œuvre de la nouvelle politique nationale énergétique qui cadre avec la vision royale qui octroie une place de choix pour les énergies renouvelables dans le bouquet électrique national.
Notons aussi qu'en plus du parc éolien de Tarfaya, cinq grands sites ont été identifiés, au vu de leur gisement éolien exceptionnel. Il s'agit en l'occurrence de Tanger II, Koudia Baida II (Tétouan), Taza, Tiskrad (Laâyoune) et Boujdour. Ce programme permettra, in fine, d'économiser annuellement 1,5 million de TEP, soit 750 millions de dollars par an, d'éviter l'émission de 5,6 millions de tonnes de CO2 par an. Le premier parc éolien sera mis en service en 2014 et la totalité du programme le sera en 2020, précise l'Office national de l'électricité.
