Une clôture inoubliable qui a réuni ‘Si Hamid' avec le saxophoniste Vincent Mascart, le claviériste Scott Kinsey, le guitariste Nguyen Lë, le magnifique tromboniste Daniel Zimmerman, le percussionniste-batteur Karim Ziad, le pianiste et flûtiste David Aubaile. Ce dernier a déjà collaboré avec des artistes africains, tels Ferhat, Sapho, Fadela et Sahraoui,B'nat Houaryat, Oumou Sangar et d'autres. Hamid El Kasri et ses compagnons ont enflammé la scène de Moulay El Hassan. Il a fait vibré sous les rythmes de son ‘Hajouj' les mélomanes venus nombreux des quatre coins du monde. Avec sa voix, d'ailleurs l'une des plus belles voix parmi les mâalams gnaouis il a charmé le public par ses interprétations. Entouré des musiciens de taille, ses Kouyous qui jouent les krakebs et chantent en chœur et des refrains, il a enchaîné avec Al Hamdochia, Boulila, Salaban…. Une foule importante a commencé à chanter avec lui ses immortels morceaux, qui avaient un autre goût avec la touche des autres musiciens issus de milieux divers : Jazz, Blues, et d'autres variantes musicales. Comme à l'accoutumée, le fils de Ksar El kébir a étonné encore une fois, son public en interprétant l'hymne de la marche verte et la chanson patriotique de Jil Jilala Laâyoun âynia.
Le mâalam gnaoui, le plus célèbre de sa génération avec une notoriété qui dépasse les autres, a présenté des chansons de son dernier album Yobadi'.
A noter que ‘Si Hamid', pous les plus proches, est né en 1961. Il s'est initié dès son jeune âge à l'art ancestral du Gnaoua et surtout à cet instrument de quelques gammes, et à quatre cordes, à percussion apparenté à la basse. Ce mâalam, hors pair, a exporté la musique gnaouie vers d'autres contrées et d'autres cieux. En première partie du concert de la clôture, la formation Iguidar a présenté des rythmes du répertoire berbère. Ce groupe s'inspire largement des expériences des groupes phares des années 70, tel Izenzaren. La troupe d'Iguidar est composée de cinq musiciens de fusion. Ils ont réussi à créer leur propre style, accorder la musique traditionnelle de Souss et proposer une musique contemporaine.
Le mâalam gnaoui, le plus célèbre de sa génération avec une notoriété qui dépasse les autres, a présenté des chansons de son dernier album Yobadi'.
A noter que ‘Si Hamid', pous les plus proches, est né en 1961. Il s'est initié dès son jeune âge à l'art ancestral du Gnaoua et surtout à cet instrument de quelques gammes, et à quatre cordes, à percussion apparenté à la basse. Ce mâalam, hors pair, a exporté la musique gnaouie vers d'autres contrées et d'autres cieux. En première partie du concert de la clôture, la formation Iguidar a présenté des rythmes du répertoire berbère. Ce groupe s'inspire largement des expériences des groupes phares des années 70, tel Izenzaren. La troupe d'Iguidar est composée de cinq musiciens de fusion. Ils ont réussi à créer leur propre style, accorder la musique traditionnelle de Souss et proposer une musique contemporaine.
