Synonyme étincelant de joie, la musique d'Ahidous est un hymne rythmé à la vie dans ses détails. Cette romance dansante a dorénavant un festival qui lui est consacré. Cet événement baptisé le festival d'Aït Ishaq se perpétuera pour rendre hommage à la musique Amazigh du moyen- Atlas.
En effet, les visiteurs de la région de Khénifra pourront goûter à un éventail coloré de troupes Amazigh. Du 14 au 17 juillet, l'ensemble des associations de la région de Khénifra ainsi que la commune d'Aït Ishaq invitent les fans d'Ahidous de bouger le temps du festival sur des mélodies ancestrales.
De nombreux groupes se produiront tous les soirs. Si le bal sera ouvert par la troupe d'Ahidous d'Aït Ishaq, les autres groupes et troupes ne seront pas moins attractifs. Ahidous d'Aït Ishaq cédera la place à Smail et Khalid de la ville de khénifra qui exhiberont leur style innovant de chant amazigh.
Et ainsi de suite jusqu'à satisfaire chez les mélomanes des chants du moyen Atlas la soif de voir ce produire des artistes locaux excellents dans des airs qui traduisent la générosité d'une nature et la richesse d'une culture. En effet, l'Ahidous est connu pour être le divertissement préféré des amazighs du centre marocain. C'est un moyen d'expression complet et vivant. On le danse à l'occasion de toutes les festivités et même, l'été, après la moisson.
De la sorte, les organisateurs de ce festival cautionnent sur la multitude des troupes et leur diversité. Les trois soirées seront une jonction d'artistes et une rencontre avec le public. Ils se produiront pour témoigner et régénérer un art nichant au centre marocain. D'une manière plus intact, le festival a pour objectif de faire connaître cette danse qu'est l'Ahidous.
Cette même danse traditionnelle dans laquelle hommes et femmes, coude à coude, forment des rondes souples et ondulantes. Leurs mouvements sont accompagnés de chants rythmés par "le bendir".
Selon les tribus, les danseurs se mettent en cercle, ou en demi-cercle. La danse s'exécute sur deux rangs se faisant face, hommes seuls, femmes seules, ou, hommes et femmes alternés. Ainsi, étroitement serrés, épaule contre épaule, ils forment un bloc. Ceci dit, ce choix d'alternance et de partage rattrape l'égalité de l'exécution. La danse est rythmée par des battements de mains.
Le plus attractif en cette danse c'est que les mouvements sont collectifs. Il s'agit d'un piétinement, d'un tremblement qui se propage. De en temps ce mouvement est entrecoupé d'ondulations larges semblables à ces coups de vent sur les champs de blés. De fait, avec cette aisance dans le mouvement, ces femmes et ces hommes témoignent d'un sens du rythme mémorable. Toutefois, tous faisant presque toujours le même geste en même temps, c'est surtout un ensemble de juxtaposition que l'Ahidous présente.
Par ailleurs, et pour admettre aux pionniers d'Ahidous l'effort qu'ils ont fournis pour préserver ce genre musicale, le festival d'Aït Ishaq rend hommage à des personnalités artistiques de la région. De telle façon, une vénération chaleureuse s'adressera à la prestigieuse Hadda Ouïkki, à Hadda Abbou, et enfin à Moha Oulwali. Au même temps des prix seront remis aux meilleures tentes, aux meilleurs groupes de Fantasia, aux meilleurs poètes Amazighs et aux meilleurs élèves du Baccalauréat 2010 à Aït Ishaq. Une exposition de l'artisanat local s'organisera en parallèle au festival. L'art pictural sera au rendez- vous aussi, une exposition de tableaux de peinture parrainée par l'Association Washma Khénifra se tiendra tout au long du festival. L'ensemble de ces activités se dérouleront pour faire du volet culturel un levier de croissance.
De la sorte, il va plus loin que l'hommage rendu aux chants du moyen-Atlas. L'événement engage les habitants. Au programme des tournois de pétanque, des matchs de football, pour garçons et également pour filles, des concours culturels et enfin des visites aux différentes associations pour dévoiler leurs labeurs et s'ouvrir au grand public. Pour clôturer ces activités, le festival va remettre des trophées et des médailles aux multiples participants.
En effet, les visiteurs de la région de Khénifra pourront goûter à un éventail coloré de troupes Amazigh. Du 14 au 17 juillet, l'ensemble des associations de la région de Khénifra ainsi que la commune d'Aït Ishaq invitent les fans d'Ahidous de bouger le temps du festival sur des mélodies ancestrales.
De nombreux groupes se produiront tous les soirs. Si le bal sera ouvert par la troupe d'Ahidous d'Aït Ishaq, les autres groupes et troupes ne seront pas moins attractifs. Ahidous d'Aït Ishaq cédera la place à Smail et Khalid de la ville de khénifra qui exhiberont leur style innovant de chant amazigh.
Et ainsi de suite jusqu'à satisfaire chez les mélomanes des chants du moyen Atlas la soif de voir ce produire des artistes locaux excellents dans des airs qui traduisent la générosité d'une nature et la richesse d'une culture. En effet, l'Ahidous est connu pour être le divertissement préféré des amazighs du centre marocain. C'est un moyen d'expression complet et vivant. On le danse à l'occasion de toutes les festivités et même, l'été, après la moisson.
De la sorte, les organisateurs de ce festival cautionnent sur la multitude des troupes et leur diversité. Les trois soirées seront une jonction d'artistes et une rencontre avec le public. Ils se produiront pour témoigner et régénérer un art nichant au centre marocain. D'une manière plus intact, le festival a pour objectif de faire connaître cette danse qu'est l'Ahidous.
Cette même danse traditionnelle dans laquelle hommes et femmes, coude à coude, forment des rondes souples et ondulantes. Leurs mouvements sont accompagnés de chants rythmés par "le bendir".
Selon les tribus, les danseurs se mettent en cercle, ou en demi-cercle. La danse s'exécute sur deux rangs se faisant face, hommes seuls, femmes seules, ou, hommes et femmes alternés. Ainsi, étroitement serrés, épaule contre épaule, ils forment un bloc. Ceci dit, ce choix d'alternance et de partage rattrape l'égalité de l'exécution. La danse est rythmée par des battements de mains.
Le plus attractif en cette danse c'est que les mouvements sont collectifs. Il s'agit d'un piétinement, d'un tremblement qui se propage. De en temps ce mouvement est entrecoupé d'ondulations larges semblables à ces coups de vent sur les champs de blés. De fait, avec cette aisance dans le mouvement, ces femmes et ces hommes témoignent d'un sens du rythme mémorable. Toutefois, tous faisant presque toujours le même geste en même temps, c'est surtout un ensemble de juxtaposition que l'Ahidous présente.
Par ailleurs, et pour admettre aux pionniers d'Ahidous l'effort qu'ils ont fournis pour préserver ce genre musicale, le festival d'Aït Ishaq rend hommage à des personnalités artistiques de la région. De telle façon, une vénération chaleureuse s'adressera à la prestigieuse Hadda Ouïkki, à Hadda Abbou, et enfin à Moha Oulwali. Au même temps des prix seront remis aux meilleures tentes, aux meilleurs groupes de Fantasia, aux meilleurs poètes Amazighs et aux meilleurs élèves du Baccalauréat 2010 à Aït Ishaq. Une exposition de l'artisanat local s'organisera en parallèle au festival. L'art pictural sera au rendez- vous aussi, une exposition de tableaux de peinture parrainée par l'Association Washma Khénifra se tiendra tout au long du festival. L'ensemble de ces activités se dérouleront pour faire du volet culturel un levier de croissance.
«Ait Ishak» plus qu'un festival
Le festival d'Ait Ishak est une initiative de l'association Atlas Réseau Avenir. Cette édition est également soutenue par toutes les associations de la région de Khénifra. Le but du festival est de contribuer à travers le volet culturel au développement économique et social de la ville et de la région. De la sorte, il va plus loin que l'hommage rendu aux chants du moyen-Atlas. L'événement engage les habitants. Au programme des tournois de pétanque, des matchs de football, pour garçons et également pour filles, des concours culturels et enfin des visites aux différentes associations pour dévoiler leurs labeurs et s'ouvrir au grand public. Pour clôturer ces activités, le festival va remettre des trophées et des médailles aux multiples participants. «Ait Ishak» plus qu'un festival Le festival d'Ait Ishak est une initiative de l'association Atlas Réseau Avenir. Cette édition est également soutenue par toutes les associations de la région de Khénifra. Le but du festival est de contribuer à travers le volet culturel au développement économique et social de la ville et de la région.De la sorte, il va plus loin que l'hommage rendu aux chants du moyen-Atlas. L'événement engage les habitants. Au programme des tournois de pétanque, des matchs de football, pour garçons et également pour filles, des concours culturels et enfin des visites aux différentes associations pour dévoiler leurs labeurs et s'ouvrir au grand public. Pour clôturer ces activités, le festival va remettre des trophées et des médailles aux multiples participants.
