La joie est la première des impressions qui se dégage de cette marée humaine assemblée dans le parc du Stade de Oujda dés le coucher du soleil de ce jeudi 22 juillet pour assister au concert d'ouverture du festival.
De tout âge est le public. Et de différents genres artistiques est le programme de cette première soirée. Ainsi, les organisateurs ont mis en honneur cette année les régions du Maroc. Avec deux styles musicaux différents, Maalim Kasri et Raïssa Tachenouit sont venus fêter avec les Oujdis la diversité unique du répertoire musical marocain. Hamid Kasri, dans une première production à Oujda a été ébloui par le public.
Le violoniste Amir Ali a accompagné Kasri dans une fusion qui cherche à perpétuer le genre « Guenaoui ».
Hamid Kasri a excellé et séduit avec sa voix timbrée des chants « Guenaoui ». Le public a répété avec Maalam des chansons comme « Molay Ahmed », « Aicha Hamdochia » et d'autres fameuses chansons. Quelques minutes avant la montée en scène de Hamid Kasri, Raissa Tachinouit a brûlé la scène en compagnie de sa troupe.
Raissa a fait des concerts dans les quatre coins du monde. Il suffit de dire que cette fille du Souss a été honorée d'une médaille de reconnaissance et de mérite au Japon.
De fait, ces deux maîtres de la musique, l'un Guenaoui et l'autre Amazigh ont accordé leurs instruments et ils ont décidé de marquer leur passage au festival du Rai par un duo. Les mélodies choisies ne sont pas moins méritantes. Ils fredonnaient avec le public «Laâyoune Ainiya» et «Moajizat El Hassan ».
Chanteur amplement aimé et apprécié, Reda Taliani a clôturé le concert. Cette soirée a donné un avant-goût au reste du festival.
Cette année, la 4e édition du FIR portera fièrement les couleurs des musiques des régions. Une véritable rencontre des genres et des générations. Ainsi, le festival célèbre les musiques des régions tout en restant fidèle à son patrimoine musical original, le raï. D'autres styles seront honorés lors de cette édition, en l'occurence la musique amazighe et la musique gnaouie. Le FIR célébrera également une région internationale : l'Andalousie qui est invitée d'honneur de cette édition, à travers l'ambassade d'Espagne au Maroc, le ministère de la Culture en Espagne et la Fondation Des Trois Cultures basée à Séville.
De tout âge est le public. Et de différents genres artistiques est le programme de cette première soirée. Ainsi, les organisateurs ont mis en honneur cette année les régions du Maroc. Avec deux styles musicaux différents, Maalim Kasri et Raïssa Tachenouit sont venus fêter avec les Oujdis la diversité unique du répertoire musical marocain. Hamid Kasri, dans une première production à Oujda a été ébloui par le public.
Le violoniste Amir Ali a accompagné Kasri dans une fusion qui cherche à perpétuer le genre « Guenaoui ».
Hamid Kasri a excellé et séduit avec sa voix timbrée des chants « Guenaoui ». Le public a répété avec Maalam des chansons comme « Molay Ahmed », « Aicha Hamdochia » et d'autres fameuses chansons. Quelques minutes avant la montée en scène de Hamid Kasri, Raissa Tachinouit a brûlé la scène en compagnie de sa troupe.
Raissa a fait des concerts dans les quatre coins du monde. Il suffit de dire que cette fille du Souss a été honorée d'une médaille de reconnaissance et de mérite au Japon.
De fait, ces deux maîtres de la musique, l'un Guenaoui et l'autre Amazigh ont accordé leurs instruments et ils ont décidé de marquer leur passage au festival du Rai par un duo. Les mélodies choisies ne sont pas moins méritantes. Ils fredonnaient avec le public «Laâyoune Ainiya» et «Moajizat El Hassan ».
Chanteur amplement aimé et apprécié, Reda Taliani a clôturé le concert. Cette soirée a donné un avant-goût au reste du festival.
Le FIR célèbre les régions
Le Festival international du Raï dispose d'une ligne éditoriale artistique fondée sur l'ancrage de la musique Raï dans la région et son ouverture sur d'autres genres musicaux contemporains. Evènement populaire par excellence, le FIR s'adresse à toutes les franges de la population.Cette année, la 4e édition du FIR portera fièrement les couleurs des musiques des régions. Une véritable rencontre des genres et des générations. Ainsi, le festival célèbre les musiques des régions tout en restant fidèle à son patrimoine musical original, le raï. D'autres styles seront honorés lors de cette édition, en l'occurence la musique amazighe et la musique gnaouie. Le FIR célébrera également une région internationale : l'Andalousie qui est invitée d'honneur de cette édition, à travers l'ambassade d'Espagne au Maroc, le ministère de la Culture en Espagne et la Fondation Des Trois Cultures basée à Séville.
