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La seule ! Pour un club qui a dépensé plus de 13 millions de DH, le résultat est décourageant. Un même club a dépensé, juste un peu plus et pourtant il a atteint l'objectif qu'il s'est fixé. Les juniors du Moghreb de Fès dont on dit le plus grand bien ont réussi à sauver une saison dans laquelle le comité a mis tous les espoirs. 13 millions de DH et un seul titre chez les juniors, c'est maigre comme récompense ! Mais cela peut-être également une grande satisfaction. Les Fassi n'auront pas peur pour leur club à l'avenir. Pas moins de 5 joueurs se sont fait remarquer par leur talent et méritent de défendre les couleurs du MAS seniors.
Ils trépignent d'impatience de jouer en équipe première. Ce qui laisse croire que beaucoup de seniors se verront remplacer par des jeunes qui transpirent la fraîcheur, l'enthousiasme et la fougue. Cette saison, Badou Zaki a fait monter pas moins de 5 ou 6 joueurs en équipe première du Wydad. Et lorsque le club avait perdu certains de ses titulaires, il a trouvé en ces juniors le meilleur atout. Barakat, Mamadou, Lemsen, Zaïdi en défense, Zidoune, Skouma, Ajwadi au milieu, Abdelghani dit «Ghani» en attaque ; des jeunes que nul n'a regretté lorsqu'ils ont été appelés lors de rencontres décisives par Fakhreddine. Le MAS a, également, de atouts loin d'être négligeables !
Le comité, mais surtout, le président écumait de rage ! Plus d'un milliard de centimes pour recevoir une récompense loin d'être à la hauteur des attentes. «Le MAS est le seul club où les joueurs ne doivent que le salaire du mois d'avril», révèle-t-il.
Si les joueurs ne doivent rien, pourquoi n'ont-ils pas fait leur devoir ? Pourquoi la direction technique n'a-t-elle pas imposé sa façon de voir ? On l'accuse même de céder au bras de fer des joueurs. Mais ce qui ressort de cette situation confuse est que tout le mode endosse la responsabilité de ce que l'on peut appeler «un échec». Pas seulement les joueurs ou la direction technique, mais également le président Marouane Bennani et son comité. Le président dont nous avons beaucoup loué les qualités sur ces mêmes colonnes avait fait des largesses envers les joueurs et leur coach ! Il a cru bien faire, mais les résultats sont venus à l'inverse.
Des recrutements à la hauteur, des salaires et primes payés du chargé du matériel jusqu'au chauffeur de bus en passant par le personnel administratif, celui des encadreurs des jeunes… nul ne doit rien peut-être que s'il avait laissé traîner les problèmes pécuniaires, les choses n'en seraient pas à la recherche de la 6e, 7e ou 8e place ; comme c'est le cas du classement du MAS (s'il gagne, fait match nul ou perd contre le FUS). En tous les cas, des rumeurs en provenance du côté du comité du club fanion de la ville aux 12 siècles de civilisation, Fès, affirment que beaucoup de têtes vont tomber ! Et ce, tant du côté des joueurs que celui du comité. Ne resteront que ceux dont le MAS est au centre de leurs préoccupations.
Le public, tant de Fès que celui du Maroc, verra des jeunes qui auront leur mot à dire lors du championnat du Maroc de 2011. Ils seront de la lignée des Labied, Moulay Driss, Boutayeb, Hazzaz, Zahraoui, Guezzar, Tazi, Sadni, Achhabi…, des joueurs inoubliables.
Ils trépignent d'impatience de jouer en équipe première. Ce qui laisse croire que beaucoup de seniors se verront remplacer par des jeunes qui transpirent la fraîcheur, l'enthousiasme et la fougue. Cette saison, Badou Zaki a fait monter pas moins de 5 ou 6 joueurs en équipe première du Wydad. Et lorsque le club avait perdu certains de ses titulaires, il a trouvé en ces juniors le meilleur atout. Barakat, Mamadou, Lemsen, Zaïdi en défense, Zidoune, Skouma, Ajwadi au milieu, Abdelghani dit «Ghani» en attaque ; des jeunes que nul n'a regretté lorsqu'ils ont été appelés lors de rencontres décisives par Fakhreddine. Le MAS a, également, de atouts loin d'être négligeables !
Le comité, mais surtout, le président écumait de rage ! Plus d'un milliard de centimes pour recevoir une récompense loin d'être à la hauteur des attentes. «Le MAS est le seul club où les joueurs ne doivent que le salaire du mois d'avril», révèle-t-il.
Si les joueurs ne doivent rien, pourquoi n'ont-ils pas fait leur devoir ? Pourquoi la direction technique n'a-t-elle pas imposé sa façon de voir ? On l'accuse même de céder au bras de fer des joueurs. Mais ce qui ressort de cette situation confuse est que tout le mode endosse la responsabilité de ce que l'on peut appeler «un échec». Pas seulement les joueurs ou la direction technique, mais également le président Marouane Bennani et son comité. Le président dont nous avons beaucoup loué les qualités sur ces mêmes colonnes avait fait des largesses envers les joueurs et leur coach ! Il a cru bien faire, mais les résultats sont venus à l'inverse.
Des recrutements à la hauteur, des salaires et primes payés du chargé du matériel jusqu'au chauffeur de bus en passant par le personnel administratif, celui des encadreurs des jeunes… nul ne doit rien peut-être que s'il avait laissé traîner les problèmes pécuniaires, les choses n'en seraient pas à la recherche de la 6e, 7e ou 8e place ; comme c'est le cas du classement du MAS (s'il gagne, fait match nul ou perd contre le FUS). En tous les cas, des rumeurs en provenance du côté du comité du club fanion de la ville aux 12 siècles de civilisation, Fès, affirment que beaucoup de têtes vont tomber ! Et ce, tant du côté des joueurs que celui du comité. Ne resteront que ceux dont le MAS est au centre de leurs préoccupations.
Le MAS des jeunes !
Par leur victoire en finale du championnat du Maroc, sur les jeunes de la JSM, les juniors du MAS ont rassuré tout Fès ! Ils ont démontré que le club fassi peut compter sur ses fils puisque les recrues n'ont pas été en mesure de défendre le maillot des «Tigres».Le public, tant de Fès que celui du Maroc, verra des jeunes qui auront leur mot à dire lors du championnat du Maroc de 2011. Ils seront de la lignée des Labied, Moulay Driss, Boutayeb, Hazzaz, Zahraoui, Guezzar, Tazi, Sadni, Achhabi…, des joueurs inoubliables.
