«C'est bon de voir que le pétrole ne s'échappe plus dans le golfe du Mexique», a déclaré jeudi le vice-président de BP, Kent Wells. «Nous démarrons tout juste le test», a-t-il toutefois mis en garde, ajoutant qu'il était trop tôt pour dire si le puits avait été définitivement bouché.
«Il est encore trop tôt pour clamer victoire et il reste encore beaucoup de travail à faire», a commenté de son côté le gouverneur de Louisiane, Bobby Jindal.BP a commencé jeudi le test visant à évaluer la résistance du puits à l'origine de la pire marée noire de l'histoire des Etats-Unis, provoquée par l'explosion, le 20 avril, puis le naufrage, le 22 avril, de la plateforme Deepwater Horizon au large des côtes de Louisiane (sud). Cette opération sert à vérifier, en mesurant la pression, si le puits peut être scellé sans risque de nouvelles fuites ailleurs dans le coffrage de l'installation, qui descend à 4 km de profondeur sous terre.
«C'est un signe positif», s'est réjoui le président Barack Obama. «Nous sommes toujours dans une phase de test», a-t-il toutefois mis en garde. «Dans quelques jours cela pourrait être encore plus encourageant, mais non, ne crions pas encore victoire», a dit de son côté Doug Suttles, le directeur d'exploitation de BP.M. Obama, qui est régulièrement tenu informé des progrès des opérations, a dit qu'il s'exprimerait à nouveau vendredi. M. Wells a précisé que l'écoulement de pétrole avait été stoppé lorsque la dernière des trois valves d'un nouveau dispositif avait été fermée vers 19H25 GMT, mais que les ingénieurs du groupe restaient vigilants afin de repérer toute fuite éventuelle. Le test doit permettre de déterminer si le nouvel entonnoir géant posé lundi sur la fuite peut entrer en fonction.
Ce nouveau dispositif est censé récupérer l'intégralité du pétrole qui s'échappe du puits ou, selon un autre scénario, stopper définitivement la marée noire. «Le test de résistance du puits MC252 a débuté aujourd'hui» (vendredi), avait indiqué auparavant BP. Le test «va durer au moins 6 heures et pourrait durer jusqu'à 48 heures», avait ajouté le groupe.
Le groupe britannique insiste sur le fait que ce nouveau dispositif n'a encore jamais été déployé «à cette profondeur et dans ces conditions».
«Il est encore trop tôt pour clamer victoire et il reste encore beaucoup de travail à faire», a commenté de son côté le gouverneur de Louisiane, Bobby Jindal.BP a commencé jeudi le test visant à évaluer la résistance du puits à l'origine de la pire marée noire de l'histoire des Etats-Unis, provoquée par l'explosion, le 20 avril, puis le naufrage, le 22 avril, de la plateforme Deepwater Horizon au large des côtes de Louisiane (sud). Cette opération sert à vérifier, en mesurant la pression, si le puits peut être scellé sans risque de nouvelles fuites ailleurs dans le coffrage de l'installation, qui descend à 4 km de profondeur sous terre.
«C'est un signe positif», s'est réjoui le président Barack Obama. «Nous sommes toujours dans une phase de test», a-t-il toutefois mis en garde. «Dans quelques jours cela pourrait être encore plus encourageant, mais non, ne crions pas encore victoire», a dit de son côté Doug Suttles, le directeur d'exploitation de BP.M. Obama, qui est régulièrement tenu informé des progrès des opérations, a dit qu'il s'exprimerait à nouveau vendredi. M. Wells a précisé que l'écoulement de pétrole avait été stoppé lorsque la dernière des trois valves d'un nouveau dispositif avait été fermée vers 19H25 GMT, mais que les ingénieurs du groupe restaient vigilants afin de repérer toute fuite éventuelle. Le test doit permettre de déterminer si le nouvel entonnoir géant posé lundi sur la fuite peut entrer en fonction.
Ce nouveau dispositif est censé récupérer l'intégralité du pétrole qui s'échappe du puits ou, selon un autre scénario, stopper définitivement la marée noire. «Le test de résistance du puits MC252 a débuté aujourd'hui» (vendredi), avait indiqué auparavant BP. Le test «va durer au moins 6 heures et pourrait durer jusqu'à 48 heures», avait ajouté le groupe.
Le groupe britannique insiste sur le fait que ce nouveau dispositif n'a encore jamais été déployé «à cette profondeur et dans ces conditions».
