Ce commandant d'escadron des forces aériennes du Nigéria, désigné au sein de la Minurso en 2004, s'est couvert de ridicule. Certes, les démolitions ont eu lieu mais ces opérations s'inscrivaient dans le cadre d'une dynamique globale des autorités visant à promouvoir les conditions de vie des habitants.
Ainsi, chaque famille recensée a bénéficié d'un lot de terrain de 120m2, d'une aide financière, d'un accompagnement social et d'un appui technique et d'ingénierie à titre gratuit pour construire des logements décents dotés d'une architecture harmonieuse. L'opération de relogement des habitants qu'à connue la ville de Laâyoune s'est inscrite également dans le sillage des opérations précédentes lancées immédiatement après l'aménagement de Hay El Kassam en 1983 et qui ont permis le relogement de 400 familles.
Ces opérations se sont poursuivies de 2003 à 2005 en vue du relogement de 3 051 familles dans le cadre des programmes « Al Aouda » et « Al Wahda ».
Ces opérations ont été entraînées par la destruction des bidonvilles de Lahouhoum, Sidi Bouya et Taâoune. A la faveur de cet effort exceptionnel dans le domaine de l'habitat, le défi de l'éradication des bidonvilles est devenu une réalité qui a eu un impact considérable sur le paysage urbain et architectural de la ville.
Le nouveau programme d'habitat, qui a englobé la dernière opération de relogement des habitants des camps de Laâyoune, comprend 23 000 lots de terrain.
Il comporte trois opérations, le tout s'inscrivant dans le cadre de la création de deux pôles consistant en la construction de 50 900 unités de logements au bénéfice de 250 000 personnes à l'horizon 2018.
Ajoutons à cela que l'année 2008 a consacré Laâyoune, la première ville du Royaume « ville sans bidonvilles». Mieux, l'ONU a attribué son prix 2010 pour l'habitat au Maroc en signe de reconnaissance du travail accompli par le Royaume dans le domaine de l'amélioration des conditions de vie des couches vulnérables dans les villes. C'est le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki Moon, qui l'a annoncé à S.M. le Roi Mohammed VI lors de leur entretien en marge du sommet sur les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) à New York.
Et toujours à New York et plus cocasse encore, c'est Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères algérien, qui en rencontrant jeudi dernier Christopher Ross, envoyé spécial de Ban Ki Moon, sollicite ce dernier pour une reprise des négociations sur le différend bilatéral régional (confirmation de partie prenante).
Sa présence à New York a surpris plus d'un puisque l'on attendait le Premier ministre qui s'est fait discret ces derniers temps pour représenter le président Bouteflika. Surprenante sa présence car au lendemain de son passage aux Etats-Unis, l'Algérie a figuré dans la liste noire des 14 pays dont les citoyens sont soumis à des mesures supplémentaires de contrôle sécuritaire et ce, suite à la tentative d'attentat le 25 décembre 2009 par un Nigérian de 23 ans. Lors de son entrevue avec le médiateur onusien au fait du dossier du terrorisme qui prévaut dans le Sahel, le diplomate en chef algérien aurait certainement omis de discuter de l'enlèvement de Mustapha Ould Salma Ould Sidi Mouloud arrêté à son retour aux camps de Tindouf.
Une attitude plus que normale car tant que le sort de ce dernier ne sera pas connu, il est évident qu'une reprise éventuelle de toute forme de discussion sera rejetée par toutes les voix qui votent pour la liberté d'expression. Des voix qui se sont, enfin fait entendre, tel l'exemple que Madame la présidente de l'Association canarienne des victimes du terrorisme (Acavite), Lucia Jimenez.
Les Canariens victimes des actes de terrorisme du polisario dans les années 70 et 80 avaient demandé mercredi dernier devant le Congrès des députés espagnol, à ce que leur cas soit inclus dans la nouvelle loi sur la protection de l'ensemble des victimes du terrorisme en Espagne.
Ainsi, le nouveau texte modifie la loi de 1999 relative à la solidarité avec les victimes du terrorisme qui ne mentionnait pas les assassinats, enlèvements et disparitions commis par les mercenaires algéropolisariens. Et pour simple rappel, en juin dernier, en présence des souverains espagnols, de sénateurs, de plusieurs ministres et des présidents du Tribunal constitutionnel et du Conseil général du pouvoir judiciaire, lors d'une cérémonie, l'association Acavite a obtenu une reconnaissance institutionnelle en Espagne lors de la cérémonie en hommage aux victimes du terrorisme.
Ainsi, chaque famille recensée a bénéficié d'un lot de terrain de 120m2, d'une aide financière, d'un accompagnement social et d'un appui technique et d'ingénierie à titre gratuit pour construire des logements décents dotés d'une architecture harmonieuse. L'opération de relogement des habitants qu'à connue la ville de Laâyoune s'est inscrite également dans le sillage des opérations précédentes lancées immédiatement après l'aménagement de Hay El Kassam en 1983 et qui ont permis le relogement de 400 familles.
Ces opérations se sont poursuivies de 2003 à 2005 en vue du relogement de 3 051 familles dans le cadre des programmes « Al Aouda » et « Al Wahda ».
Ces opérations ont été entraînées par la destruction des bidonvilles de Lahouhoum, Sidi Bouya et Taâoune. A la faveur de cet effort exceptionnel dans le domaine de l'habitat, le défi de l'éradication des bidonvilles est devenu une réalité qui a eu un impact considérable sur le paysage urbain et architectural de la ville.
Le nouveau programme d'habitat, qui a englobé la dernière opération de relogement des habitants des camps de Laâyoune, comprend 23 000 lots de terrain.
Il comporte trois opérations, le tout s'inscrivant dans le cadre de la création de deux pôles consistant en la construction de 50 900 unités de logements au bénéfice de 250 000 personnes à l'horizon 2018.
Ajoutons à cela que l'année 2008 a consacré Laâyoune, la première ville du Royaume « ville sans bidonvilles». Mieux, l'ONU a attribué son prix 2010 pour l'habitat au Maroc en signe de reconnaissance du travail accompli par le Royaume dans le domaine de l'amélioration des conditions de vie des couches vulnérables dans les villes. C'est le secrétaire général des Nations unies, Ban Ki Moon, qui l'a annoncé à S.M. le Roi Mohammed VI lors de leur entretien en marge du sommet sur les Objectifs du Millénaire pour le développement (OMD) à New York.
Et toujours à New York et plus cocasse encore, c'est Mourad Medelci, ministre des Affaires étrangères algérien, qui en rencontrant jeudi dernier Christopher Ross, envoyé spécial de Ban Ki Moon, sollicite ce dernier pour une reprise des négociations sur le différend bilatéral régional (confirmation de partie prenante).
Sa présence à New York a surpris plus d'un puisque l'on attendait le Premier ministre qui s'est fait discret ces derniers temps pour représenter le président Bouteflika. Surprenante sa présence car au lendemain de son passage aux Etats-Unis, l'Algérie a figuré dans la liste noire des 14 pays dont les citoyens sont soumis à des mesures supplémentaires de contrôle sécuritaire et ce, suite à la tentative d'attentat le 25 décembre 2009 par un Nigérian de 23 ans. Lors de son entrevue avec le médiateur onusien au fait du dossier du terrorisme qui prévaut dans le Sahel, le diplomate en chef algérien aurait certainement omis de discuter de l'enlèvement de Mustapha Ould Salma Ould Sidi Mouloud arrêté à son retour aux camps de Tindouf.
Une attitude plus que normale car tant que le sort de ce dernier ne sera pas connu, il est évident qu'une reprise éventuelle de toute forme de discussion sera rejetée par toutes les voix qui votent pour la liberté d'expression. Des voix qui se sont, enfin fait entendre, tel l'exemple que Madame la présidente de l'Association canarienne des victimes du terrorisme (Acavite), Lucia Jimenez.
Les Canariens victimes des actes de terrorisme du polisario dans les années 70 et 80 avaient demandé mercredi dernier devant le Congrès des députés espagnol, à ce que leur cas soit inclus dans la nouvelle loi sur la protection de l'ensemble des victimes du terrorisme en Espagne.
Ainsi, le nouveau texte modifie la loi de 1999 relative à la solidarité avec les victimes du terrorisme qui ne mentionnait pas les assassinats, enlèvements et disparitions commis par les mercenaires algéropolisariens. Et pour simple rappel, en juin dernier, en présence des souverains espagnols, de sénateurs, de plusieurs ministres et des présidents du Tribunal constitutionnel et du Conseil général du pouvoir judiciaire, lors d'une cérémonie, l'association Acavite a obtenu une reconnaissance institutionnelle en Espagne lors de la cérémonie en hommage aux victimes du terrorisme.
