En uniforme pour une garde de 24 heures à la caserne du commandement régional de Fès-Boulemane ou en effectuant des interventions de lutte contre l'incendie ou de secours, les femmes sapeurs- pompiers de la protection civile exercent leur métier avec courage et rigueur de la même manière que leurs homologues masculins. Elles sont, selon leur grade, à l'accueil de la caserne se chargeant du système de transmission et de l'informatique ou de l'organisation du personnel et du déroulement de la journée comme elles peuvent être sur le terrain affrontant les flammes et les situations de désarroi. Les différentes démonstrations, manœuvres et exercices à l'échelle que ces guerrières du feu, ont effectué avec succès à l'occasion de la journée mondiale de la protection civile, fêtée à la caserne du commandement régional de Fès Boulemane ont démontré une fois encore qu'elles n'ont rien à envier à leurs collègues. Cela leur a valu d'ailleurs les applaudissements des représentants des autorités locales, des personnalités de tout bord et du grand public présent à l'occasion.
Mais outre ce moment festif, le quotidien des sapeurs pompiers femmes ou hommes n'est pas facile. La protection civile est régi comme un corps paramilitaire. Cela implique entre autres les gardes de 24 heures à la caserne, les manœuvres et les épreuves physiques, l'assiduité, la ponctualité, la discipline etc. A cela s'ajoute le fait que les guerriers du feu sont confrontés souvent à des situations difficiles, voire dangereuses où le risque, même calculé, fait partie intégrante des conditions de travail. Il faut de fait, avoir une bonne dose de courage et beaucoup de dévouement et de bravoure pour pouvoir braver les incendies, secourir les personnes en danger et intervenir sur les lieux des accidents. Et sur ce registre, les guerrières du feu n'ont rien à envier à leurs homologues masculins. « Nous sommes présentes au même titre que nos collègues hommes 24 heures d'affilée. Nous travaillons comme eux pendant la journée, nous faisons les mêmes exercices sportifs pour être toujours en forme et nous sommes à l'affut de la sonnerie qui retentit à la caserne pour annoncer une alerte et une intervention de secours et de sauvetage selon les situations», indique Ilham Bassir, sous- officier au commandement régional de la protection civile de la région Fès-Boulemane. Cette jeune guerrière du feu arborant fièrement son uniforme, précise aussi qu'exercer un métier d'homme comme la protection civile et dans un environnement très masculin n'est pas chose aisée.
« Le fait d'être une femme nous impose de faire beaucoup d'efforts surtout au début. Et ce n'est pas toujours facile. Mais avec la persévérance, le sérieux et l'appui de notre commandant, je suis arrivée à m'adapter et m'intégrer dans la caserne. Il ya aussi la passion du métier et le travail d'équipe qui me permettent de faire face aux différentes missions de secours dans les meilleures conditions», reconnait t-elle. Khaoula Slasli, cadre civile à la Caserne, en charge du volet administratif indique de son côté qu'elle a atterri dans cette fonction par pur hasard. « Je suis licenciée en économie et diplômée en informatique et j'ai intégré la protection civile par besoin de travailler. Mais avec l'appui de mes collègues et du commandant régional de la protection civile et la bonne ambiance du travail, j'ai appris à apprécier ce noble métier et je ne regrette pas d'avoir fait le choix de travailler dans la protection civile où chaque geste permet de sauver plusieurs vies», ajoute t-elle. En effet, les pompiers sont souvent les premiers à être sur les lieux des accidents Ils sont appelés aussi à prodiguer les premiers soins aux accidentés de la route, aux victimes de noyade, de brûlures et à sortir les gens des mauvais pas. Ce sont, simplement, nos anges gardiens...
Mais outre ce moment festif, le quotidien des sapeurs pompiers femmes ou hommes n'est pas facile. La protection civile est régi comme un corps paramilitaire. Cela implique entre autres les gardes de 24 heures à la caserne, les manœuvres et les épreuves physiques, l'assiduité, la ponctualité, la discipline etc. A cela s'ajoute le fait que les guerriers du feu sont confrontés souvent à des situations difficiles, voire dangereuses où le risque, même calculé, fait partie intégrante des conditions de travail. Il faut de fait, avoir une bonne dose de courage et beaucoup de dévouement et de bravoure pour pouvoir braver les incendies, secourir les personnes en danger et intervenir sur les lieux des accidents. Et sur ce registre, les guerrières du feu n'ont rien à envier à leurs homologues masculins. « Nous sommes présentes au même titre que nos collègues hommes 24 heures d'affilée. Nous travaillons comme eux pendant la journée, nous faisons les mêmes exercices sportifs pour être toujours en forme et nous sommes à l'affut de la sonnerie qui retentit à la caserne pour annoncer une alerte et une intervention de secours et de sauvetage selon les situations», indique Ilham Bassir, sous- officier au commandement régional de la protection civile de la région Fès-Boulemane. Cette jeune guerrière du feu arborant fièrement son uniforme, précise aussi qu'exercer un métier d'homme comme la protection civile et dans un environnement très masculin n'est pas chose aisée.
« Le fait d'être une femme nous impose de faire beaucoup d'efforts surtout au début. Et ce n'est pas toujours facile. Mais avec la persévérance, le sérieux et l'appui de notre commandant, je suis arrivée à m'adapter et m'intégrer dans la caserne. Il ya aussi la passion du métier et le travail d'équipe qui me permettent de faire face aux différentes missions de secours dans les meilleures conditions», reconnait t-elle. Khaoula Slasli, cadre civile à la Caserne, en charge du volet administratif indique de son côté qu'elle a atterri dans cette fonction par pur hasard. « Je suis licenciée en économie et diplômée en informatique et j'ai intégré la protection civile par besoin de travailler. Mais avec l'appui de mes collègues et du commandant régional de la protection civile et la bonne ambiance du travail, j'ai appris à apprécier ce noble métier et je ne regrette pas d'avoir fait le choix de travailler dans la protection civile où chaque geste permet de sauver plusieurs vies», ajoute t-elle. En effet, les pompiers sont souvent les premiers à être sur les lieux des accidents Ils sont appelés aussi à prodiguer les premiers soins aux accidentés de la route, aux victimes de noyade, de brûlures et à sortir les gens des mauvais pas. Ce sont, simplement, nos anges gardiens...
