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Quatorze artistes peintres marocains exposeront un ensemble de gravures, lithographies et sérigraphies. Parmi eux, Bendahmane, Benyessef, Mahi Binebine, Chebâa, Meryem Chraibi, Hassan El Glaoui, Hamidi, Fatema Hassan, Kacimi, Meriem Mezian, Mekki Meghara, Miloud Labied, Houssein Miloudi et Sadouk. Fruit d'un effort commun, ces œuvres graphiques de grand format sont réalisés dans les propres ateliers de Marsam à Rabat et à Casablanca. Dans un souci majeur de médiatisation de la création artistique, cette exposition vient enrichir l'univers de la peinture en laissant libre court à la créativité et à l'imagination des artistes.
Il faut dire que la Galerie Marsam est avant tout une maison d'édition qui s'inscrit dans une logique d'ouverture face à la création artistique. L'estampe y figure en bonne place. Car cet art, qu'il se présente sous forme de sérigraphie, de lithographie ou de gravure s'est érigée en art majeur. Pour les professionnels du secteur, c'est une forme d'art qui permet d'étendre le champ de rayonnement artistique, sans toutefois en altérer la fonction. A partir de là, le travail effectué repose principalement sur une collaboration entre l'artiste et un maitre graveur « confirmé »; travaillant suivant des techniques traditionnelles.
Ainsi, chaque passage de couleur est contrôlée par l'artiste et plus les passages en couleurs sont nombreux, plus la réalisation de l'artiste est complexe. L'œuvre d'art est donc bel et bien en train de se démocratiser. «Nous avons voulu inciter les artistes à donner le meilleur d'eux-mêmes en mettant à leur disposition un matériel de qualité qui ne limite pas l'artiste techniquement» confie Amr Chraibi, galeriste de la Maison Marsam.
Un grand nombre d'espaces sont aujourd'hui investis comme les banques, les hôtels 4 à 5 étoiles, des multinationales et autres. Les patrons investissent là-dessus car c'est devenu un signe d'ouverture. Il y a donc un changement palpable des mentalités et une prise de conscience graduelle par rapport au bagage artistique que possède notre pays. Pour les professionnels du secteur, «l'organisation d'exposition d'estampes est une façon de faire parler du travail de l'artiste sans vulgariser la chose ».
L'exposition contribue dans une certaine mesure à faire accéder l'art à un niveau supérieur de reconnaissance et dans le même temps de le rendre accessible au plus grand nombre. A cet effet, des tirages originaux d'artiste sont effectués à des prix très abordables. De l'aveu des organisateurs, « cette exposition est une réconciliation entre l'art et le grand public ; à travers des œuvres accessible au plus grand nombres sans barrières sociales ». Pour ce faire, les estampes exposées sont déclinées en grand format, travaillées avec patience, passion et technique et « peuvent atteindre jusqu'à 1m20 sur 80» précise Amr Chraïbi.
La manifestation artistique s'articulera donc sur plusieurs toiles réalisées par des grands noms de la scène artistique comme le sont Mahi Binebine, El Glaoui, Kacimi, Miloud Labied et tous ceux qui ont pris part à ce projet d'envergure. Accessibilité et démocratisation sont les maitres mots de cette exposition ; qui représente un signe d'ouverture vers une nouvelle vision de l'art dans notre pays. Un rendez vous à ne pas manquer !
Il faut dire que la Galerie Marsam est avant tout une maison d'édition qui s'inscrit dans une logique d'ouverture face à la création artistique. L'estampe y figure en bonne place. Car cet art, qu'il se présente sous forme de sérigraphie, de lithographie ou de gravure s'est érigée en art majeur. Pour les professionnels du secteur, c'est une forme d'art qui permet d'étendre le champ de rayonnement artistique, sans toutefois en altérer la fonction. A partir de là, le travail effectué repose principalement sur une collaboration entre l'artiste et un maitre graveur « confirmé »; travaillant suivant des techniques traditionnelles.
Ainsi, chaque passage de couleur est contrôlée par l'artiste et plus les passages en couleurs sont nombreux, plus la réalisation de l'artiste est complexe. L'œuvre d'art est donc bel et bien en train de se démocratiser. «Nous avons voulu inciter les artistes à donner le meilleur d'eux-mêmes en mettant à leur disposition un matériel de qualité qui ne limite pas l'artiste techniquement» confie Amr Chraibi, galeriste de la Maison Marsam.
Un grand nombre d'espaces sont aujourd'hui investis comme les banques, les hôtels 4 à 5 étoiles, des multinationales et autres. Les patrons investissent là-dessus car c'est devenu un signe d'ouverture. Il y a donc un changement palpable des mentalités et une prise de conscience graduelle par rapport au bagage artistique que possède notre pays. Pour les professionnels du secteur, «l'organisation d'exposition d'estampes est une façon de faire parler du travail de l'artiste sans vulgariser la chose ».
L'exposition contribue dans une certaine mesure à faire accéder l'art à un niveau supérieur de reconnaissance et dans le même temps de le rendre accessible au plus grand nombre. A cet effet, des tirages originaux d'artiste sont effectués à des prix très abordables. De l'aveu des organisateurs, « cette exposition est une réconciliation entre l'art et le grand public ; à travers des œuvres accessible au plus grand nombres sans barrières sociales ». Pour ce faire, les estampes exposées sont déclinées en grand format, travaillées avec patience, passion et technique et « peuvent atteindre jusqu'à 1m20 sur 80» précise Amr Chraïbi.
La manifestation artistique s'articulera donc sur plusieurs toiles réalisées par des grands noms de la scène artistique comme le sont Mahi Binebine, El Glaoui, Kacimi, Miloud Labied et tous ceux qui ont pris part à ce projet d'envergure. Accessibilité et démocratisation sont les maitres mots de cette exposition ; qui représente un signe d'ouverture vers une nouvelle vision de l'art dans notre pays. Un rendez vous à ne pas manquer !
