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Aziz Al Amri reprend du service au Moghreb Tétouan jusqu'à la fin de la saison. Après avoir cédé sa place à Mustapha Madih au club des FAR au mois de novembre dernier, Al Amri succède au Français Jean-François Jodar. L'ex-entraîneur de l'AS FAR a dirigé sa première séance d'entrainement, hier à Saniat Rmel. Il s'est montré confiant, malgré la position un peu délicate du MAT. «Pour l'instant, nous avons besoin d'éléments au milieu de terrain. A présent, l'équipe dispose à peine de trois milieux. Il nous en faut encore pour pouvoir faire une rotation. Notre tâche n'est pas aisée, mais vu les moyens mis en place par le club, c'est sûr qu'on va s'en sortir», confie Al Amri. Le nouvel entraîneur, dont le contrat sera signé au cours de cette semaine, aura une lourde tâche. Le Moghreb de Tétouan occupe la 12e position avec 14 points et un match en retard. Il n'a enregistré que 3 victoires, contre 5 défaites et 5 nuls.
Le club nordiste s'est séparé de Jodar à l'amiable, après une série de mauvais résultats. Les responsables du club de la Colombe blanche n'ont surtout pas supporté la dernière défaite essuyée devant la lanterne rouge, la Jeunesse sportive Kasbat Tadla (1-0), samedi au stade des Phosphates à Khouribga, dans un match comptant pour la 14e journée. La JSKT a enregistré sa première victoire cette saison, quelques jours après l'arrivée de son nouvel entraineur Fouad Sahabi, qui a succédé à Khoukhache.
Jean François Jodar s'ajoute aux entraîneurs qui pointent du doigt le gazon artificiel comme handicap majeur pour les équipes. La malédiction du gazon synthétique a touché les clubs dont les stades ont été refaits en synthétique. Deux clubs ont été relégués en deuxième division, notamment le CODM Meknès et le Mouloudia Oujda et trois autres peinent à reprendre forme en première division.
Il s'agit du Kawkab Marrakech, du Moghreb Tétouan et du KAC Kénitra. Il est certain que d'autres facteurs en sont pour quelque chose dans cette situation difficile des clubs cités, mais tous ont comme point commun le gazon synthétique. Par contre, Aziz Al Amri ne donne pas trop d'importance à ce facteur gênant pour la majorité des entraîneurs. Pour lui, le gazon ne pose pas de problème, puisque les joueurs s'y sont habitués depuis plus de trois ans. De toute façon, le Moghreb de Tétouan recevra à Saniat Rmel, dimanche prochain pour la 15e journée, l'avant-dernier, le KAC de Kénitra, une formation qui évolue, elle aussi, sur du synthétique.
Le club nordiste s'est séparé de Jodar à l'amiable, après une série de mauvais résultats. Les responsables du club de la Colombe blanche n'ont surtout pas supporté la dernière défaite essuyée devant la lanterne rouge, la Jeunesse sportive Kasbat Tadla (1-0), samedi au stade des Phosphates à Khouribga, dans un match comptant pour la 14e journée. La JSKT a enregistré sa première victoire cette saison, quelques jours après l'arrivée de son nouvel entraineur Fouad Sahabi, qui a succédé à Khoukhache.
Jean François Jodar s'ajoute aux entraîneurs qui pointent du doigt le gazon artificiel comme handicap majeur pour les équipes. La malédiction du gazon synthétique a touché les clubs dont les stades ont été refaits en synthétique. Deux clubs ont été relégués en deuxième division, notamment le CODM Meknès et le Mouloudia Oujda et trois autres peinent à reprendre forme en première division.
Il s'agit du Kawkab Marrakech, du Moghreb Tétouan et du KAC Kénitra. Il est certain que d'autres facteurs en sont pour quelque chose dans cette situation difficile des clubs cités, mais tous ont comme point commun le gazon synthétique. Par contre, Aziz Al Amri ne donne pas trop d'importance à ce facteur gênant pour la majorité des entraîneurs. Pour lui, le gazon ne pose pas de problème, puisque les joueurs s'y sont habitués depuis plus de trois ans. De toute façon, le Moghreb de Tétouan recevra à Saniat Rmel, dimanche prochain pour la 15e journée, l'avant-dernier, le KAC de Kénitra, une formation qui évolue, elle aussi, sur du synthétique.
