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L'image paysagère de la ville risque d'être confrontée à des problèmes qui nécessitent des actions urgentes pour réussir un meilleur équilibre urbain et préurbain. Dans le domaine des espaces verts, des arbres et palmiers d'alignement, des efforts ont été déployés mais restent insuffisants pour surmonter certaines défaillances. Un petit tour à travers Mohammedia permet d'établir l'état actuel de certains arbres et palmiers d'alignement.
A titre d'exemple, les arbres situés sur des axes importantes, rue de Safi, rue de Fès, rue de Souss, rue Sebta, rue Bir Anzarane, etc., n'ont pas été élagués et posent un sérieux problème de visibilité et d'esthétique auquel s'ajoute celui de la sécurité. Les passants qui font leurs courses le soir au marché de la place n'en reviennent pas. Souvent, ils sont agressés par des voyoux qui squattent la rue de Souss qui ressemble à une jungle. La ville compte plus de 10.000 arbres d'alignement et palmiers qui jouent un rôle important dans les domaines biologique, esthétique et environnemental.
D'où l'urgence des mesures adéquates pour préserver ce riche patrimoine végétal. Selon un responsable communal, le problème de l'entretien des arbres, des palmiers d'alignement et espaces verts est au centre de nos soucis. Il est lié essentiellement à des contraintes budgétaires. La commune a élaboré un programme d'urgence avec le concours de la préfecture et de la promotion pour la mise en état et l'entretien des espaces verts. Pour cet habitant de Mohammedia, le plus important aujourd'hui est d'orienter les efforts vers une politique d'aménagement des espaces verts qui tienne compte des spécificités de la ville notamment les voies plantées et celles ouvertes à la circulation.
Pour ce visiteur casablancais : «Je suis surpris par l'état de certains arbres, palmiers ainsi que des giratoires dégarnis d'espaces verts qui portent préjudice à la renommée de la ville. La mise à niveau du paysage végétal de Mohammedia est un autre chantier qui exige l'implication des services concernés, des sociétés citoyennes et des associations. La commune doit exiger des nouveaux lotisseurs la création d'espaces verts pour éviter les erreurs commises et préserver le cachet de la ville.
La commune doit nouer des partenariats avec des entreprises citoyennes mais aussi songer à une gestion déléguée des espaces verts ».
La mise à niveau du paysage végétal de la ville exige davantage d'efforts basés sur une politique d'aménagement futuriste qui tienne compte du développement et besoins de Mohammedia. La gestion déléguée peut aussi concourir à la sauvegarde des espaces.
A titre d'exemple, les arbres situés sur des axes importantes, rue de Safi, rue de Fès, rue de Souss, rue Sebta, rue Bir Anzarane, etc., n'ont pas été élagués et posent un sérieux problème de visibilité et d'esthétique auquel s'ajoute celui de la sécurité. Les passants qui font leurs courses le soir au marché de la place n'en reviennent pas. Souvent, ils sont agressés par des voyoux qui squattent la rue de Souss qui ressemble à une jungle. La ville compte plus de 10.000 arbres d'alignement et palmiers qui jouent un rôle important dans les domaines biologique, esthétique et environnemental.
D'où l'urgence des mesures adéquates pour préserver ce riche patrimoine végétal. Selon un responsable communal, le problème de l'entretien des arbres, des palmiers d'alignement et espaces verts est au centre de nos soucis. Il est lié essentiellement à des contraintes budgétaires. La commune a élaboré un programme d'urgence avec le concours de la préfecture et de la promotion pour la mise en état et l'entretien des espaces verts. Pour cet habitant de Mohammedia, le plus important aujourd'hui est d'orienter les efforts vers une politique d'aménagement des espaces verts qui tienne compte des spécificités de la ville notamment les voies plantées et celles ouvertes à la circulation.
Pour ce visiteur casablancais : «Je suis surpris par l'état de certains arbres, palmiers ainsi que des giratoires dégarnis d'espaces verts qui portent préjudice à la renommée de la ville. La mise à niveau du paysage végétal de Mohammedia est un autre chantier qui exige l'implication des services concernés, des sociétés citoyennes et des associations. La commune doit exiger des nouveaux lotisseurs la création d'espaces verts pour éviter les erreurs commises et préserver le cachet de la ville.
La commune doit nouer des partenariats avec des entreprises citoyennes mais aussi songer à une gestion déléguée des espaces verts ».
Des endroits squattés par des voyous
Le service chargé de l'élagage des arbres à Mohammedia ne fait pas son travail. A cause de son négligence, certains endroits, devenus dangereux par manque de visibilité, sont squattés par des voyous qui attaquent les passants, surtout le soir.La mise à niveau du paysage végétal de la ville exige davantage d'efforts basés sur une politique d'aménagement futuriste qui tienne compte du développement et besoins de Mohammedia. La gestion déléguée peut aussi concourir à la sauvegarde des espaces.
