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Les institutions de bienfaisance ont toujours été un espace de survie et de protection sociale pour les personnes vulnérables.
La ville de Mohammedia a réussi des avancées importantes et a pu grâce à l'INDH s'attaquer au déficit social dont pâtissent les quartiers pauvres et les communes rurales les plus démunies. Dans ce contexte et dans le cadre de la lutte contre la précarité sociale des projets ont été réalisés et d'autres en cours pour un développement social équilibré. Cette dynamique a eu des retombées positives mais il reste beaucoup à faire dans le champs associatif pour régler certains problèmes qui subsistent. Le cas le plus préoccupant concerne la situation actuelle du complexe social de bienfaisance situé boulevard Hassan II. Opérationnelle depuis 1983, cette structure sociale qui accueillait 500 enfants nécessiteux disposait de toute l'infrastructure nécessaire pour la protection et l'épanouissement de ses jeunes pensionnaires dont la plupart orphelins.
Une aile avait été réservée aux personnes âgées en situation difficile. Ce complexe qui faisait la fierté de Mohammedia avait été conçu pour suivre le développement social et économique de la cité balnéaire.
Cette belle époque n'a pas duré puisque de nombreux problèmes avaient surgi et ont abouti à la fermeture des locaux du complexe social de bienfaisance. Les répercussions furent néfastes pour les jeunes pensionnaires scolarisés. Pour éviter des problèmes d'un autre genre, les jeunes pensionnaires ont été logés dans un centre à Errachidia. Un centre sans grande structures d'accueil qui privent les jeunes d'espaces utiles «jeux- sport- espaces récréatifs et…».
Les personnes âgées ont été transférées au centre de Tit Mellil. Le problème des pensionnaires adultes qui ont grandi et vécu au sein de l'institution sociale de Mohammedia, s'est posé avec acuité. Le règlement intérieur de l'institution selon un responsable n'accepte que les enfants en situation difficile âgés entre 7 ans et 21 au plus.
Les pensionnaires adultes auxquels se sont ajoutés d'autres personnes en situation difficile occupent illégalement les locaux du complexe social en continuelle dégradation. Des propositions ont été faites aux pensionnaires adultes qui selon le même responsable ont été rejetées dont une proposition de formation au centre des Forces Auxiliaires de Benslimane. Le bras de fer continu entre ces pensionnaires et l'administration de l'orphelinat. Notre situation précisent les pensionnaires adultes se détériore, on souhaite une solution globale avec un accompagnement social et humanitaire qui nous garanti un recasement dans la dignité et une insertion dans la vie active. Le plus important est d'abord et surtout le règlement du conflit juridique relatif à la propriété foncière. Le terrain sur lequel est érigé le complexe social appartient à des héritiers de nationalité française. Ces derniers avaient saisi le tribunal pour occupation illégale de leur propriété par l'institution sociale de Mohammedia avait lors de sa session extraordinaire délibérée sur l'expropriation. Pour des raisons politiques rien n'avait été concrétisé.
Le 29 juin 2009 le conseil préfectoral avait décidé lors d'une session extraordinaire l'expropriation du terrain conteste. Par la même occasion il a adopté une convention de partenariat avec le complexe social pour régulariser la situation juridique en suspens.
La procédure d'expropriation est en cours. Tout règlement de cette épineuse situation de l'institution reste tributaire de la finalisation de la procédure d'expropriation. Cette étape est nécessaire pour la libération des locaux afin de les réaménager et les rendre disponible à ceux qui remplissent les conditions pour bénéficier de l'institution conformément à la loi 14-05 inhérente aux conditions d'ouverture et de gestion des établissements de protection sociale.
En 1983, une aile a été construite pour les personnes âgées. Suite à de nombreux problèmes et à une mauvaise gestion les locaux du complexe ont été fermés. Les jeunes pensionnaires résident depuis 2005 dans un centre à El Alia, quand aux pensionnaires adultes, dont la situation n'a toujours pas été réglée ils continuent d'occuper les locaux délabrés du complexe.
La ville de Mohammedia a réussi des avancées importantes et a pu grâce à l'INDH s'attaquer au déficit social dont pâtissent les quartiers pauvres et les communes rurales les plus démunies. Dans ce contexte et dans le cadre de la lutte contre la précarité sociale des projets ont été réalisés et d'autres en cours pour un développement social équilibré. Cette dynamique a eu des retombées positives mais il reste beaucoup à faire dans le champs associatif pour régler certains problèmes qui subsistent. Le cas le plus préoccupant concerne la situation actuelle du complexe social de bienfaisance situé boulevard Hassan II. Opérationnelle depuis 1983, cette structure sociale qui accueillait 500 enfants nécessiteux disposait de toute l'infrastructure nécessaire pour la protection et l'épanouissement de ses jeunes pensionnaires dont la plupart orphelins.
Une aile avait été réservée aux personnes âgées en situation difficile. Ce complexe qui faisait la fierté de Mohammedia avait été conçu pour suivre le développement social et économique de la cité balnéaire.
Cette belle époque n'a pas duré puisque de nombreux problèmes avaient surgi et ont abouti à la fermeture des locaux du complexe social de bienfaisance. Les répercussions furent néfastes pour les jeunes pensionnaires scolarisés. Pour éviter des problèmes d'un autre genre, les jeunes pensionnaires ont été logés dans un centre à Errachidia. Un centre sans grande structures d'accueil qui privent les jeunes d'espaces utiles «jeux- sport- espaces récréatifs et…».
Les personnes âgées ont été transférées au centre de Tit Mellil. Le problème des pensionnaires adultes qui ont grandi et vécu au sein de l'institution sociale de Mohammedia, s'est posé avec acuité. Le règlement intérieur de l'institution selon un responsable n'accepte que les enfants en situation difficile âgés entre 7 ans et 21 au plus.
Les pensionnaires adultes auxquels se sont ajoutés d'autres personnes en situation difficile occupent illégalement les locaux du complexe social en continuelle dégradation. Des propositions ont été faites aux pensionnaires adultes qui selon le même responsable ont été rejetées dont une proposition de formation au centre des Forces Auxiliaires de Benslimane. Le bras de fer continu entre ces pensionnaires et l'administration de l'orphelinat. Notre situation précisent les pensionnaires adultes se détériore, on souhaite une solution globale avec un accompagnement social et humanitaire qui nous garanti un recasement dans la dignité et une insertion dans la vie active. Le plus important est d'abord et surtout le règlement du conflit juridique relatif à la propriété foncière. Le terrain sur lequel est érigé le complexe social appartient à des héritiers de nationalité française. Ces derniers avaient saisi le tribunal pour occupation illégale de leur propriété par l'institution sociale de Mohammedia avait lors de sa session extraordinaire délibérée sur l'expropriation. Pour des raisons politiques rien n'avait été concrétisé.
Le 29 juin 2009 le conseil préfectoral avait décidé lors d'une session extraordinaire l'expropriation du terrain conteste. Par la même occasion il a adopté une convention de partenariat avec le complexe social pour régulariser la situation juridique en suspens.
La procédure d'expropriation est en cours. Tout règlement de cette épineuse situation de l'institution reste tributaire de la finalisation de la procédure d'expropriation. Cette étape est nécessaire pour la libération des locaux afin de les réaménager et les rendre disponible à ceux qui remplissent les conditions pour bénéficier de l'institution conformément à la loi 14-05 inhérente aux conditions d'ouverture et de gestion des établissements de protection sociale.
La Société musulmane de bienfaisance
Elle a été créée en 1927, son siège se situait au sein de la kasbah de nombreux bienfaiteurs avaient suite à l'indépendance, apporté leur soutien aux enfants et personnes en situation difficile. En 1968, les locaux de la Maison de bienfaisance ont été transférés à El Alia où étaient pris en charge 300 pensionnaires. Le développement de Mohammedia, la pression démographique et leurs impacts ont nécessité la construction d'un complexe social d'une capacité de 500 pensionnaires.En 1983, une aile a été construite pour les personnes âgées. Suite à de nombreux problèmes et à une mauvaise gestion les locaux du complexe ont été fermés. Les jeunes pensionnaires résident depuis 2005 dans un centre à El Alia, quand aux pensionnaires adultes, dont la situation n'a toujours pas été réglée ils continuent d'occuper les locaux délabrés du complexe.
