Deux extraits on fait l'objet de clips. Le premier titre est un grand succès sur les chaînes satellitaires arabes qui est diffusé à une cadence de huit fois par jours, selon Ferdaous. Il s'agit d'une production cent pour cent marocaine réalisée par Lilia Selami, et coproduite par Cinétéléma, sous la houlette du grand cinéaste Latif Lahlou.
Avec sa belle voix, et grâce aux textes finement choisis, l'artiste interprète a émerveillé les invités présents en interprétant quelques titres de son dernier album et en revisitant quelques chansons. “C'est une première pour une artiste comme moi de pouvoir présenter mon nouvel album devant un large public marocain puisque c'est grâce a mes sponsors que je présente, aujourd'hui même, mon album, et j'espère que le public marocain appréciera mon travail, puis que le tournage du clip, l'enregistrement au studio, l'écriture du texte... Tout a été fait au Maroc. On peut dire que c'est un produit Made in Morocco'', a signalé l'artiste. A rappeler que Ferdaous est née à Meknès, ville impériale, dans une famille où l'on cultive l'amour de l'art, et de la musique en particulier, comme une seconde nature. Prédestination…
La petite fille grandit dans le culte de ces icônes vivantes qu'étaient Oum Keltoum, Abdelwahab, Asmahan et toutes ces voix du répertoire classique qui firent l'âge d'or de la chanson arabe.
A 13 ans, elle s'inscrit au conservatoire de Meknès, où elle travaille sa voix avec rigueur et amour, sous le soleil bien veillant de ses professeurs. Sa percée artistique est assurée en quelques années, et la véritable consécration arrivera avec l'émission télé sur 2M «Noujoum wa Noujoum» qu'en 2000, lui décernera le prix de la meilleure voix de Meknès. Ainsi encouragée, et plus sûre de ses ambitions, la jeune artiste part à la conquête du monde arabe dont la reconnaissance lui est nécessaire pour confirmer son talent. C'est d'abord en Syrie qu'elle triomphera. Son interprétation d'un grand succès marocain « Habibi ya mouna qalbi» de Mustapha Baghdad et Azzeddine Mountasir, enchantera le public du Festival de Alep en 2004. Présente à ce concert, la presse syrienne et internationale la salue en lui faisant, dès le lendemain matin, les honneurs des pages culturelles de leurs quotidiens.
La télévision syrienne consacre à Ferdaous 45 minutes d'interview en direct. Le grand Sabah Fakhri accepte de chanter en duo avec la jeune étoile de la chanson marocaine. Il n'en faudra pas plus pour que Le Liban à son tour la consacre. Cette même année, elle participe en qualité d'invitée d'honneur au Festival de musique arabe et libanaise à Ghaza, avec, entre autres artistes, Hayam Younès et Michline Khalifa.
La célèbre Radio Montecarlo s'intéresse à elle. Dans une interview en direct, on entend Ferdous défendre avec aisance et passion la chanson marocaine et arabe. Au Maroc, les médias la courtisent. Désormais reconnue, Ferdaous inspire les compositeurs et créateurs. Elle devient leur muse.
Son chant enflamme l'imaginaire des poètes libanais comme Michel Joha et Jeorje Jardak. Des projets de collaboration artistique fleurissent.
Avec sa belle voix, et grâce aux textes finement choisis, l'artiste interprète a émerveillé les invités présents en interprétant quelques titres de son dernier album et en revisitant quelques chansons. “C'est une première pour une artiste comme moi de pouvoir présenter mon nouvel album devant un large public marocain puisque c'est grâce a mes sponsors que je présente, aujourd'hui même, mon album, et j'espère que le public marocain appréciera mon travail, puis que le tournage du clip, l'enregistrement au studio, l'écriture du texte... Tout a été fait au Maroc. On peut dire que c'est un produit Made in Morocco'', a signalé l'artiste. A rappeler que Ferdaous est née à Meknès, ville impériale, dans une famille où l'on cultive l'amour de l'art, et de la musique en particulier, comme une seconde nature. Prédestination…
La petite fille grandit dans le culte de ces icônes vivantes qu'étaient Oum Keltoum, Abdelwahab, Asmahan et toutes ces voix du répertoire classique qui firent l'âge d'or de la chanson arabe.
A 13 ans, elle s'inscrit au conservatoire de Meknès, où elle travaille sa voix avec rigueur et amour, sous le soleil bien veillant de ses professeurs. Sa percée artistique est assurée en quelques années, et la véritable consécration arrivera avec l'émission télé sur 2M «Noujoum wa Noujoum» qu'en 2000, lui décernera le prix de la meilleure voix de Meknès. Ainsi encouragée, et plus sûre de ses ambitions, la jeune artiste part à la conquête du monde arabe dont la reconnaissance lui est nécessaire pour confirmer son talent. C'est d'abord en Syrie qu'elle triomphera. Son interprétation d'un grand succès marocain « Habibi ya mouna qalbi» de Mustapha Baghdad et Azzeddine Mountasir, enchantera le public du Festival de Alep en 2004. Présente à ce concert, la presse syrienne et internationale la salue en lui faisant, dès le lendemain matin, les honneurs des pages culturelles de leurs quotidiens.
La télévision syrienne consacre à Ferdaous 45 minutes d'interview en direct. Le grand Sabah Fakhri accepte de chanter en duo avec la jeune étoile de la chanson marocaine. Il n'en faudra pas plus pour que Le Liban à son tour la consacre. Cette même année, elle participe en qualité d'invitée d'honneur au Festival de musique arabe et libanaise à Ghaza, avec, entre autres artistes, Hayam Younès et Michline Khalifa.
La célèbre Radio Montecarlo s'intéresse à elle. Dans une interview en direct, on entend Ferdous défendre avec aisance et passion la chanson marocaine et arabe. Au Maroc, les médias la courtisent. Désormais reconnue, Ferdaous inspire les compositeurs et créateurs. Elle devient leur muse.
Son chant enflamme l'imaginaire des poètes libanais comme Michel Joha et Jeorje Jardak. Des projets de collaboration artistique fleurissent.