Selon la charte signée par les chefs des cinq partis concernés, cette Alliance est une réponse « aux changements que connaît la scène nationale sur les plans politique, économique et social ». Il s'agit pour les cinq formations politiques « d'accompagner ces mutations et d'en être une partie prenante».
L'Alliance, qui réitère son attachement aux constantes du Royaume (Islam, monarchie, intégrité territoriale), entend s'atteler à la mise en place d'une stratégie politique unifiée « de nature à traduire sur le terrain le programme commun des cinq partis et à leur garantir une présence forte sur la scène politique ».Les composantes de l'Alliance qui s'étaient mises d'accord sur « un certain nombre de principes et d'objectifs », qui traduisent leur analyse et leur conception de la situation du pays, estiment que l'essor du Maroc reste tributaire « de réformes politiques profondes ».
Parmi les réformes qu'il faudra mener, selon elles, il y a lieu de citer celle relative à l'amendement de la loi sur les partis politiques. « L'enjeu de cette réforme est de permettre à tous les partis de bénéficier du financement étatique et d'avoir accès aux médias audiovisuels de manière équitable».
L'Alliance appelle également à la mise en place d'un « comité national électoral ». Ses principales missions consisteront, selon la charte signée par les cinq partis, à réviser les listes électorales, à revoir le découpage électoral et à veiller à la transparence des élections.
Et pour moraliser la vie politique, l'Alliance juge indispensable d'interdire la transhumance des députés en cours de mandat et d'élire au scrutin direct les présidents des arrondissements, les membres et les présidents des conseils régionaux.
Dans le même ordre d'idées, l'Alliance appelle au renforcement du rôle de l'institution législative et à la révision des prérogatives de la deuxième chambre. Elle souligne en outre la nécessité d'appliquer rigoureusement les lois relatives à la déclaration du patrimoine des hauts fonctionnaires, des élus et des magistrats.
Les cinq partis insistent par ailleurs sur le renforcement du rôle des médias et la promotion de la liberté d'expression.
Et mettent l'accent sur l'importance d'accompagner et soutenir le projet de la régionalisation élargie. « Nous espérons que cette Alliance traduit les ambitions de nos militants et que nous serons à la hauteur des défis contenus dans la charte instituant notre groupement. Nous comptons œuvrer main dans la main avec conviction et sincérité. Notre but ultime est le développement de notre pays », a déclaré Chakir Achehbar, secrétaire général du Parti du renouveau et de l'équité.
Pour sa part, le secrétaire général du parti de la Réforme et du Développement Abderrahmane El Kohen, a souligné l'importance des rencontres régionales que les cinq formations vont entamer prochainement dans le but de vulgariser et d'expliquer la philosophie de cette alliance aux sections locales des partis.
L'Alliance, qui réitère son attachement aux constantes du Royaume (Islam, monarchie, intégrité territoriale), entend s'atteler à la mise en place d'une stratégie politique unifiée « de nature à traduire sur le terrain le programme commun des cinq partis et à leur garantir une présence forte sur la scène politique ».Les composantes de l'Alliance qui s'étaient mises d'accord sur « un certain nombre de principes et d'objectifs », qui traduisent leur analyse et leur conception de la situation du pays, estiment que l'essor du Maroc reste tributaire « de réformes politiques profondes ».
Parmi les réformes qu'il faudra mener, selon elles, il y a lieu de citer celle relative à l'amendement de la loi sur les partis politiques. « L'enjeu de cette réforme est de permettre à tous les partis de bénéficier du financement étatique et d'avoir accès aux médias audiovisuels de manière équitable».
L'Alliance appelle également à la mise en place d'un « comité national électoral ». Ses principales missions consisteront, selon la charte signée par les cinq partis, à réviser les listes électorales, à revoir le découpage électoral et à veiller à la transparence des élections.
Et pour moraliser la vie politique, l'Alliance juge indispensable d'interdire la transhumance des députés en cours de mandat et d'élire au scrutin direct les présidents des arrondissements, les membres et les présidents des conseils régionaux.
Dans le même ordre d'idées, l'Alliance appelle au renforcement du rôle de l'institution législative et à la révision des prérogatives de la deuxième chambre. Elle souligne en outre la nécessité d'appliquer rigoureusement les lois relatives à la déclaration du patrimoine des hauts fonctionnaires, des élus et des magistrats.
Les cinq partis insistent par ailleurs sur le renforcement du rôle des médias et la promotion de la liberté d'expression.
Et mettent l'accent sur l'importance d'accompagner et soutenir le projet de la régionalisation élargie. « Nous espérons que cette Alliance traduit les ambitions de nos militants et que nous serons à la hauteur des défis contenus dans la charte instituant notre groupement. Nous comptons œuvrer main dans la main avec conviction et sincérité. Notre but ultime est le développement de notre pays », a déclaré Chakir Achehbar, secrétaire général du Parti du renouveau et de l'équité.
Pour sa part, le secrétaire général du parti de la Réforme et du Développement Abderrahmane El Kohen, a souligné l'importance des rencontres régionales que les cinq formations vont entamer prochainement dans le but de vulgariser et d'expliquer la philosophie de cette alliance aux sections locales des partis.
