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Il n'aura suffi que de cinq journées pour se rendre compte de la situation aussi pitoyable que déplorable de ce Raja, dauphin du dernier exercice et que beaucoup d'observateurs voyaient déjà bien parti pour reconquérir sa couronne perdue sur le fil la saison écoulée au profit du Wydad.
Le rideau de la saison passée à peine tombé que le Raja entamait le processus de sa revitalisation programmé à la tête du club dans un souci de continuité afin de protéger le club de tous les prédateurs qui lui tournent autour avec des appétits même pas déguisés.
Et c'est d'ailleurs ce qui arriva puisque le revenant président Hanat se trouva en lice avec un challenger encore bien jeunot (28 ans) promettant monts et merveilles sans rien montrer de concret.
Cet intermède passé et une fois intronisé, le président Hanat forma un bureau composé de dirigeants à même d'abonder dans une politique de redressement.
Premier engagement surprenant : le rappel de Henri Michel qui n'avait pas laissé que de bons souvenirs aux supporters, notamment avec une éclipse en fin de championnat alors que le Raja disputait le titre.
Henri Michel avait préféré répondre à un tout autre destin, celui de s'occuper de la Côte d'Ivoire de Didier Drogba avec une CAN et un Mondial qui se profilaient en 2006.
Sous la pression d'un public exigeant qui demandait l'arrivée de grosses pointures au club à l'instar du voisin wydadi, le comité au lieu de d'appuyer sur ses jeunes et sa pépinière s'est lancée dans une folle surenchère de recrutements en flambant le marché du mercato. Pourtant, Hadj Hanat avait clamé haut et fort avant son arrivée que le Raja donnera la priorité à ses enfants. Mais c'est malheureusement le contraire qui s'est produit avec l'arrivée de 13 nouveaux joueurs qui faisaient croire que les «Verts» seraient des ogres prêts à tout bouffer sur leur passage.
Mais dès l'entame de la compétition, on se rendit vite compte que le Raja, version Henri Michel 2010, n'était pas une terreur et que les options plutôt défensives du coach opérant avec 4-4-2 même contre les équipes réputées faibles n'offraient aucune clairière d'espérance d'une formation portée sur l'offensive.
De déconvenues, en couacs et de déception en amertume, chacun se rendit compte que ce Raja-là n'avancerait pas. Sinon à reculons.
Comme d'ailleurs le prouvent ses deux derniers résultats (nul et défaite). Nous ne parlerons pas bien évidemment de l'élimination peu glorieuse en Coupe du Trône face au Chabab de Mohammedia.
Le temps était donc à la grogne et la gronde dans les rangs des supporters. Mais aussi au sein des adhérents qui ont lancé une pétition pour demander la tête du… coach. Mais avant eux, d'aucuns en comité exigeaient une réunion extraordinaire qu'impose la situation actuelle. Cette sommation formulée avant même le match contre le MAS avait été retardée par le président Hanat alors en voyage à l'étranger pour laisser une dernière chance à Henri Michel.
La semaine a débuté sous une atmosphère des plus houleuses car bien des abcès devaient crevés et des vérités éclatées pour le bien du club.
Comment dès lors surmonter la crise qui s'est désormais installée chez les «Verts» et comment le président Hanat qui a fait ses premières armes au théâtre pouvait dénouer cette situation, lui, qui a un rôle à jouer dans la pièce. To be or note to be ?
Hier, le président a tranché et Henri Michel a été contraint de présenter sa démission. Le départ de l'ex-entraineur des Bleus, du Cameroun et du Zamalek laisse la porte ouverte à de nombreuses supputations. Déjà l'on avance le nom de M'hammed Fakhir qui vient d'être remercié par l'Etoile du Sahel pour prendre en main les destinées du club des Verts.
Au cours d'une sympathique réception en présence des représentants de la FRMF et des joueurs de l'équipe nationale ainsi que de nombreux supporters du Onze national en général et du Raja en particulier, des cadeaux souvenirs ont été remis aux deux Aigles Verts.
Les deux joueurs très émus ont tenu à remercier les membres du site pour ce beau geste.
Le rideau de la saison passée à peine tombé que le Raja entamait le processus de sa revitalisation programmé à la tête du club dans un souci de continuité afin de protéger le club de tous les prédateurs qui lui tournent autour avec des appétits même pas déguisés.
Et c'est d'ailleurs ce qui arriva puisque le revenant président Hanat se trouva en lice avec un challenger encore bien jeunot (28 ans) promettant monts et merveilles sans rien montrer de concret.
Cet intermède passé et une fois intronisé, le président Hanat forma un bureau composé de dirigeants à même d'abonder dans une politique de redressement.
Premier engagement surprenant : le rappel de Henri Michel qui n'avait pas laissé que de bons souvenirs aux supporters, notamment avec une éclipse en fin de championnat alors que le Raja disputait le titre.
Henri Michel avait préféré répondre à un tout autre destin, celui de s'occuper de la Côte d'Ivoire de Didier Drogba avec une CAN et un Mondial qui se profilaient en 2006.
Sous la pression d'un public exigeant qui demandait l'arrivée de grosses pointures au club à l'instar du voisin wydadi, le comité au lieu de d'appuyer sur ses jeunes et sa pépinière s'est lancée dans une folle surenchère de recrutements en flambant le marché du mercato. Pourtant, Hadj Hanat avait clamé haut et fort avant son arrivée que le Raja donnera la priorité à ses enfants. Mais c'est malheureusement le contraire qui s'est produit avec l'arrivée de 13 nouveaux joueurs qui faisaient croire que les «Verts» seraient des ogres prêts à tout bouffer sur leur passage.
Mais dès l'entame de la compétition, on se rendit vite compte que le Raja, version Henri Michel 2010, n'était pas une terreur et que les options plutôt défensives du coach opérant avec 4-4-2 même contre les équipes réputées faibles n'offraient aucune clairière d'espérance d'une formation portée sur l'offensive.
De déconvenues, en couacs et de déception en amertume, chacun se rendit compte que ce Raja-là n'avancerait pas. Sinon à reculons.
Comme d'ailleurs le prouvent ses deux derniers résultats (nul et défaite). Nous ne parlerons pas bien évidemment de l'élimination peu glorieuse en Coupe du Trône face au Chabab de Mohammedia.
Le temps était donc à la grogne et la gronde dans les rangs des supporters. Mais aussi au sein des adhérents qui ont lancé une pétition pour demander la tête du… coach. Mais avant eux, d'aucuns en comité exigeaient une réunion extraordinaire qu'impose la situation actuelle. Cette sommation formulée avant même le match contre le MAS avait été retardée par le président Hanat alors en voyage à l'étranger pour laisser une dernière chance à Henri Michel.
La semaine a débuté sous une atmosphère des plus houleuses car bien des abcès devaient crevés et des vérités éclatées pour le bien du club.
Comment dès lors surmonter la crise qui s'est désormais installée chez les «Verts» et comment le président Hanat qui a fait ses premières armes au théâtre pouvait dénouer cette situation, lui, qui a un rôle à jouer dans la pièce. To be or note to be ?
Hier, le président a tranché et Henri Michel a été contraint de présenter sa démission. Le départ de l'ex-entraineur des Bleus, du Cameroun et du Zamalek laisse la porte ouverte à de nombreuses supputations. Déjà l'on avance le nom de M'hammed Fakhir qui vient d'être remercié par l'Etoile du Sahel pour prendre en main les destinées du club des Verts.
Aïny et Slimani honorés par le site Dima Dima Raja
Le staff du site Dima Dima Raja, profitant du séjour de l'équipe nationale en Hollande, a saisi l'opportunité pour rendre hommage à deux sélectionnés rajaouis, Mourad Aïny et Rachid Slimani.Au cours d'une sympathique réception en présence des représentants de la FRMF et des joueurs de l'équipe nationale ainsi que de nombreux supporters du Onze national en général et du Raja en particulier, des cadeaux souvenirs ont été remis aux deux Aigles Verts.
Les deux joueurs très émus ont tenu à remercier les membres du site pour ce beau geste.
