«Nous comprenons que les pays de l'Union du Maghreb Arabe doivent s'unir. Et nous savons pourquoi c'est difficile. Nous comprenons également qu'en cas d'intégration des pays de la région, il y aurait des retombées positives sur les plans économique et social», a déclaré M. Timothy Morris.
Le diplomate britannique a affirmé par ailleurs que son pays entretenait des rapports fructueux avec le Royaume du Maroc dans le domaine sécuritaire.
«Notre coopération avec le Maroc est un fait. La lutte contre le terrorisme est une question primordiale pour nous » a-t-il indiqué.
Concernant la question du Sahara marocain, l'ambassadeur britannique a indiqué que son pays était impliqué « de fait dans cette affaire puisqu'il est membre du Conseil de sécurité ». Et d'ajouter : «nous n'avons pas le droit de prendre position dans ce conflit. Nous préférons aider les parties à parvenir à un accord. Je pense qu'il n'est pas judicieux pour un acteur externe d'adopter une position partiale ou de chercher à modifier le rapport de forces dans la région ».
M. Timothy Morris a souligné ainsi que la Grande Bretagne appuie l'action menée par les Nations unies pour trouver une solution à ce problème.
Pour ce qui est des relations économiques entre le Royaume du Maroc et le Royaume Uni, il a reconnu la faiblesse des investissements britanniques. «Il y a très peu d'investissements britanniques ici. Je pense que c'est un grand défi pour le Maroc», a-t-il dit.
Selon lui, cela est dû au fait que les investisseurs britanniques ont leurs marchés habituels qui livrent une concurrence rude au Maroc. «Mais il y a une image historique du Maroc, on ne peut pas le nie » a-t-il précisé rappelant que l'ambassade travaillait étroitement avec les responsables marocains pour surmonter ces difficultés et attirer les investissements britanniques.
M. Timothy Morris a déclaré dans le même ordre d'idées que les efforts fournis par le Maroc dans ce domaine ces dernières années étaient concrets notamment en ce qui concerne les politiques sectorielles qui sont de nature à attirer les investisseurs.
Concernant les cas de refus, un haut responsable près de l'ambassade a indiqué que les refus étaient toujours justifiés et que les motifs invoqués pour les refus avaient trait notamment « à la capacité financière des postulants ».
Le même responsable a indiqué que les décisions concernant les demandes de visas touristes sont prises dans un délai de 5 jours et que celles concernant le regroupement familial sont prises dans un délai de 3 mois.
M. Timothy Morris a tenu à affirmer que le processus d'obtention de visas était transparent et basé sur un système de notation. « La procédure s'applique à tous sans discrimination, abstraction faite de l'identité ou du statut du demandeur ».
Le diplomate britannique a affirmé par ailleurs que son pays entretenait des rapports fructueux avec le Royaume du Maroc dans le domaine sécuritaire.
«Notre coopération avec le Maroc est un fait. La lutte contre le terrorisme est une question primordiale pour nous » a-t-il indiqué.
Concernant la question du Sahara marocain, l'ambassadeur britannique a indiqué que son pays était impliqué « de fait dans cette affaire puisqu'il est membre du Conseil de sécurité ». Et d'ajouter : «nous n'avons pas le droit de prendre position dans ce conflit. Nous préférons aider les parties à parvenir à un accord. Je pense qu'il n'est pas judicieux pour un acteur externe d'adopter une position partiale ou de chercher à modifier le rapport de forces dans la région ».
M. Timothy Morris a souligné ainsi que la Grande Bretagne appuie l'action menée par les Nations unies pour trouver une solution à ce problème.
Pour ce qui est des relations économiques entre le Royaume du Maroc et le Royaume Uni, il a reconnu la faiblesse des investissements britanniques. «Il y a très peu d'investissements britanniques ici. Je pense que c'est un grand défi pour le Maroc», a-t-il dit.
Selon lui, cela est dû au fait que les investisseurs britanniques ont leurs marchés habituels qui livrent une concurrence rude au Maroc. «Mais il y a une image historique du Maroc, on ne peut pas le nie » a-t-il précisé rappelant que l'ambassade travaillait étroitement avec les responsables marocains pour surmonter ces difficultés et attirer les investissements britanniques.
M. Timothy Morris a déclaré dans le même ordre d'idées que les efforts fournis par le Maroc dans ce domaine ces dernières années étaient concrets notamment en ce qui concerne les politiques sectorielles qui sont de nature à attirer les investisseurs.
Visas touriste
L'ambassade de Grande Bretagne à Rabat a enregistré l'année dernière quelque 9500 demandes de visa dont 8000 ont reçu une suite favorable, soit un taux d'acceptation de l'ordre de 87%.Concernant les cas de refus, un haut responsable près de l'ambassade a indiqué que les refus étaient toujours justifiés et que les motifs invoqués pour les refus avaient trait notamment « à la capacité financière des postulants ».
Le même responsable a indiqué que les décisions concernant les demandes de visas touristes sont prises dans un délai de 5 jours et que celles concernant le regroupement familial sont prises dans un délai de 3 mois.
M. Timothy Morris a tenu à affirmer que le processus d'obtention de visas était transparent et basé sur un système de notation. « La procédure s'applique à tous sans discrimination, abstraction faite de l'identité ou du statut du demandeur ».
