Les intervenants ont discuté une approche qui vise à donner une nouvelle représentation des femmes dans les médias. Ainsi, Maha Akeel, journaliste et première femme arabe rédactrice en chef d'un magazine en Arabie Saoudite, a plaidé pour plus de place aux commandes pour les femmes. Les participantes ont invité les différents supports médiatiques en Afrique et au Monde arabe à octroyer plus d'importance aux femmes, en tant qu'actrices majeures du développement de leur entourage et de leur société d'aujourd'hui et de demain.
Des recommandations supplémentaires à celles des autres thématiques abordées au Forum ont été élaborées afin de donner plus de chance aux femmes dans les postes de décision au sein des médias. «Il est souhaitable que les médias accordent la parole aux femmes», a souligné Aicha Sakhri, journaliste et co-fondatrice du magazine "Femmes du Maroc".
«Les femmes doivent occuper le devant de la scène et pas seulement comme des exceptions. Nous sommes peut-être la moitié de la planète, mais beaucoup de pouvoirs nous échappent», souligne-t-elle en précisant que dès qu'elles gagnent leur autonomie, les femmes réussissent à prendre soin de la planète». Les intervenants ont également débattu de l'égalité des chances et ont souligné que le rendement et l'efficacité sont les seuls critères distinctifs au niveau des salaires. Dans ce sens, une avocate française a insisté sur l'institution des lois, même au sein des entreprises, pour que règne enfin une égalité salariale.
Aussi, elle a précisé que l'argent et le pouvoir économique sont importants.
«On ne peut pas avancer sans avoir d'appuis économiques». Dans le même ordre d'idées, les interventions ont été axées sur la place que doit occuper la femme. «Non seulement dans le discours ou la prise de parole, mais dans la prise du pouvoir, celui des femmes». A noter que cette édition de Women's Tribune a abordé la thématique «Femmes et Pouvoir : Du discours à l'action». L'objectif, selon les organisateurs, est de comprendre le pouvoir.
Des recommandations supplémentaires à celles des autres thématiques abordées au Forum ont été élaborées afin de donner plus de chance aux femmes dans les postes de décision au sein des médias. «Il est souhaitable que les médias accordent la parole aux femmes», a souligné Aicha Sakhri, journaliste et co-fondatrice du magazine "Femmes du Maroc".
«Les femmes doivent occuper le devant de la scène et pas seulement comme des exceptions. Nous sommes peut-être la moitié de la planète, mais beaucoup de pouvoirs nous échappent», souligne-t-elle en précisant que dès qu'elles gagnent leur autonomie, les femmes réussissent à prendre soin de la planète». Les intervenants ont également débattu de l'égalité des chances et ont souligné que le rendement et l'efficacité sont les seuls critères distinctifs au niveau des salaires. Dans ce sens, une avocate française a insisté sur l'institution des lois, même au sein des entreprises, pour que règne enfin une égalité salariale.
Aussi, elle a précisé que l'argent et le pouvoir économique sont importants.
«On ne peut pas avancer sans avoir d'appuis économiques». Dans le même ordre d'idées, les interventions ont été axées sur la place que doit occuper la femme. «Non seulement dans le discours ou la prise de parole, mais dans la prise du pouvoir, celui des femmes». A noter que cette édition de Women's Tribune a abordé la thématique «Femmes et Pouvoir : Du discours à l'action». L'objectif, selon les organisateurs, est de comprendre le pouvoir.
