Evénement culturel majeur, le Festival international du film de Marrakech (FIFM) constitue désormais un rendez-vous incontournable sur le calendrier artistique marocain et l'une des manifestations phares du cinéma mondial.
La dernière édition de ce festival qui s'est déroulé du 2 au 10 décembre 2011, a encore une fois confirmé
sa qualité de grand-messe des professionnels du 7e art international.
Elle a aussi permis de réitérer son engagement aux côtés des nouveaux talents cinématographiques dans notre pays.
Par ailleurs, la 11e édition du FIFM a été notamment marquée par la présence du grand acteur indien, Shah Rukh Khan et par l'hommage rendu à l'acteur marocain Mohamed Bastaoui, un grand nom du cinéma marocain.
Les productions nationales ont été à l'honneur lors des cérémonies d'ouverture et de clôture : «L'amante du Rif» de Narjiss Nejjar et «Mort à vendre» de Faouzi Bensaidi.
Dans son programme riche et diversifié (rencontres, projections, débats, masters classes…), le FIFM 2011 n'a pas manqué d'intégrer des films marocains en audio description au profit des non-voyants.
Une initiative louable qui a eu un écho très favorable auprès du public et des observateurs.
De Joe Cocker à Yusuf Islam en passant par le groupe Bharati, Lionel Richie, Mayada El Hanaoui, Kadem Saher, Abdelouahab Doukkali, Salif Keita, Mory Kante, Majid Bekkas, Idir, Latifa Raâfat, Arshad Ali Khan, Souad Massi, Kamylia Jubran et beaucoup d'autres.
Des spectacles époustouflants et des soirées de rêve ont rythmé les neuf jours qu'a duré le festival.
Les mélomanes à la recherche de nouvelles créations musicales, comme celles de Nass El Ghiwane, Roger Hodgson et Quincy Jones ont pu ainsi vivre des moments inoubliables. C'est la sulfureuse Chakira qui a animé la soirée de clôture.
N'ayant rien perdu de son punch, la star latino américaine qui a drainé près de 200 000 spectateurs venus de toutes les villes du Royaume. L'édition 2011 a été marquée aussi par d'autres manifestations qui ont offert aux jeunes talents l'opportunité de se faire connaitre par le public. Le concert inédit de «LMouja» est à ce titre, un exemple parlant.
D'autre part, il y a le Prix Grand Atlas, qui a récompensé Zakya Daoud pour son ouvrage «La diaspora marocaine en Espagne» (La Croisée des chemins, 2011), dans la catégorie Prix essai francophone. Pour ce qui est du Prix jeunesse, il est revenu à Mehdi de Graincourt, pour son livre «Raconte-moi Ibn Battouta» (Yanbow Al Kitab, 2008). Enfin, le Prix de la traduction a récompensé Hassan Amrani pour son travail se rapportant au livre de Paul Ricœur «La critique et la conviction» (Calmann-Levy, 1995, Toubkal 2011). Sans oublier, Fouad Laroui, cet écrivain marocain qui vit aux Pays-Bas qui s'est illustré au courant de l'année 2011 grâce à ses ouvrages, «Une année chez les Français», «le Drame linguistique marocain» et «Une dame dans le Riad».
La dernière édition de ce festival qui s'est déroulé du 2 au 10 décembre 2011, a encore une fois confirmé
sa qualité de grand-messe des professionnels du 7e art international.
Elle a aussi permis de réitérer son engagement aux côtés des nouveaux talents cinématographiques dans notre pays.
Par ailleurs, la 11e édition du FIFM a été notamment marquée par la présence du grand acteur indien, Shah Rukh Khan et par l'hommage rendu à l'acteur marocain Mohamed Bastaoui, un grand nom du cinéma marocain.
Les productions nationales ont été à l'honneur lors des cérémonies d'ouverture et de clôture : «L'amante du Rif» de Narjiss Nejjar et «Mort à vendre» de Faouzi Bensaidi.
Dans son programme riche et diversifié (rencontres, projections, débats, masters classes…), le FIFM 2011 n'a pas manqué d'intégrer des films marocains en audio description au profit des non-voyants.
Une initiative louable qui a eu un écho très favorable auprès du public et des observateurs.
«Mawazine» déjà 10 ans
Le Festival Mawazine a fêté son 10e anniversaire comme il se doit. De gros calibres de la musique universelle et arabe ont été de la partie.De Joe Cocker à Yusuf Islam en passant par le groupe Bharati, Lionel Richie, Mayada El Hanaoui, Kadem Saher, Abdelouahab Doukkali, Salif Keita, Mory Kante, Majid Bekkas, Idir, Latifa Raâfat, Arshad Ali Khan, Souad Massi, Kamylia Jubran et beaucoup d'autres.
Des spectacles époustouflants et des soirées de rêve ont rythmé les neuf jours qu'a duré le festival.
Les mélomanes à la recherche de nouvelles créations musicales, comme celles de Nass El Ghiwane, Roger Hodgson et Quincy Jones ont pu ainsi vivre des moments inoubliables. C'est la sulfureuse Chakira qui a animé la soirée de clôture.
N'ayant rien perdu de son punch, la star latino américaine qui a drainé près de 200 000 spectateurs venus de toutes les villes du Royaume. L'édition 2011 a été marquée aussi par d'autres manifestations qui ont offert aux jeunes talents l'opportunité de se faire connaitre par le public. Le concert inédit de «LMouja» est à ce titre, un exemple parlant.
Le livre sort de l'ornière
Outre la naissance de plusieurs foires régionales consacrées à la promotion du livre (Essaouira, El Jadida, Meknès et Fès) l'année qui s'achève a été marquée par les deux principaux rendez-vous littéraires habituels. Il y a d'une part le SIEL (salon international de l'édition et du livre) qui en est à sa 17e édition. Cette manifestation culturelle a tenu toutes ses promesses en 2011. Elle a été marquée par la participation de quelques grands noms de la scène littéraire nationale et internationale comme Edgar Morin, Alain Gresh, Mohammed Selmaoui et Rachid Boudjedra pour n'en citer que quelques-uns.D'autre part, il y a le Prix Grand Atlas, qui a récompensé Zakya Daoud pour son ouvrage «La diaspora marocaine en Espagne» (La Croisée des chemins, 2011), dans la catégorie Prix essai francophone. Pour ce qui est du Prix jeunesse, il est revenu à Mehdi de Graincourt, pour son livre «Raconte-moi Ibn Battouta» (Yanbow Al Kitab, 2008). Enfin, le Prix de la traduction a récompensé Hassan Amrani pour son travail se rapportant au livre de Paul Ricœur «La critique et la conviction» (Calmann-Levy, 1995, Toubkal 2011). Sans oublier, Fouad Laroui, cet écrivain marocain qui vit aux Pays-Bas qui s'est illustré au courant de l'année 2011 grâce à ses ouvrages, «Une année chez les Français», «le Drame linguistique marocain» et «Une dame dans le Riad».
