Le festival de flamenco de Fès a été clôturé en apothéose avec le spectacle «Âme de femme» de l'artiste Lola Perez. Danse, chant et musique à la guitare étaient au rendez-vous, formant un ensemble harmonieux. Ce show émouvant, qui avait pour thème la violence contre les femmes dans le monde, a émerveillé le public venu nombreux au complexe Al Hourya à Fès. La dernière soirée du festival illustre le succès qu'a connu cet événement pour une première expérience. En effet, ce sont plus de 5 000 personnes qui ont assisté aux sept spectacles du festival. Ainsi, le complexe Al Hourya a fait salle comble depuis l'ouverture avec le groupe Chocolata, l'Orchestre Chekara de Tétouan, Lola Pérez, José Torres Trio, Maria José Pérez et Juan Antonio Ramirez. Par ailleurs, la conférence de Antonio Hernandez sur les origines et l'évolution du flamenco a connu une grande affluence.
D'après Antonio Rodríguez Jiménez, directeur de l'Institut Cervantès de Fès, initiateur du festival, les objectifs escomptés du festival ont été largement atteints. « Au début, nous avons eu peur que le public de Fès ne réponde pas présent puisqu'il n'est pas habitué à ce genre d'événements, mais la réponse du public fassi a été unanime et les sollicitations pour que le festival devienne un rendez-vous annuel ont été nombreuses», précise-t-il, ajoutant que le public a réclamé des cours de flamenco, de guitare, de chant profond, de danse et davantage de spectacles au cours de l'année. Cette réussite auprès du public fassi est due, selon M. Jimenez, à la mise en place d'un programme de fusion musicale varié et original. «Il y a eu un mélange entre les éléments les plus purs du flamenco et d'autres genres de musique comme le jazz.
L'appropriation de ces différents styles et instruments musicaux, comme la guitare et le luth, le violon, la contrebasse et le violoncelle ont donné lieu à un univers artistique magique. C'est cette variété qui a constitué l'élément de surprise pour les spectateurs pendant toute la durée du festival», explique-t-il.
De son côté, Maria Angeles Carrasco, directrice de l'Agence andalouse du flamenco, qui a assisté à tout le festival et inauguré, aux côtés du directeur de culture de l'Institut Cervantès à Madrid, Rufino Sanchez, le point d'information du flamenco à l'Institut Cervantès de Fès, s'est dit satisfaite du succès du festival. «Je suis agréablement surprise par l'intérêt du public fassi pour le flamenco. Le fait qu'ils ont répondu présent à l'ensemble des spectacles démontre qu'ils ont compris l'essence de cet art», commente-t-elle. Antonio Rodríguez Jiménez souligne enfin que le festival a été créé et lancé par l'Institut Cervantès pour la ville de Fès. Pour lui, dorénavant, c'est une propriété des citoyens de Fès, qui devraient le soutenir, le défendre et le renforcer pour qu'il continue à les enchanter.
D'après Antonio Rodríguez Jiménez, directeur de l'Institut Cervantès de Fès, initiateur du festival, les objectifs escomptés du festival ont été largement atteints. « Au début, nous avons eu peur que le public de Fès ne réponde pas présent puisqu'il n'est pas habitué à ce genre d'événements, mais la réponse du public fassi a été unanime et les sollicitations pour que le festival devienne un rendez-vous annuel ont été nombreuses», précise-t-il, ajoutant que le public a réclamé des cours de flamenco, de guitare, de chant profond, de danse et davantage de spectacles au cours de l'année. Cette réussite auprès du public fassi est due, selon M. Jimenez, à la mise en place d'un programme de fusion musicale varié et original. «Il y a eu un mélange entre les éléments les plus purs du flamenco et d'autres genres de musique comme le jazz.
L'appropriation de ces différents styles et instruments musicaux, comme la guitare et le luth, le violon, la contrebasse et le violoncelle ont donné lieu à un univers artistique magique. C'est cette variété qui a constitué l'élément de surprise pour les spectateurs pendant toute la durée du festival», explique-t-il.
De son côté, Maria Angeles Carrasco, directrice de l'Agence andalouse du flamenco, qui a assisté à tout le festival et inauguré, aux côtés du directeur de culture de l'Institut Cervantès à Madrid, Rufino Sanchez, le point d'information du flamenco à l'Institut Cervantès de Fès, s'est dit satisfaite du succès du festival. «Je suis agréablement surprise par l'intérêt du public fassi pour le flamenco. Le fait qu'ils ont répondu présent à l'ensemble des spectacles démontre qu'ils ont compris l'essence de cet art», commente-t-elle. Antonio Rodríguez Jiménez souligne enfin que le festival a été créé et lancé par l'Institut Cervantès pour la ville de Fès. Pour lui, dorénavant, c'est une propriété des citoyens de Fès, qui devraient le soutenir, le défendre et le renforcer pour qu'il continue à les enchanter.
