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Cette offre est due essentiellement à la campagne agricole qualifiée de «satisfaisante». Il faut dire que le redressement de la production agricole a concerné également la branche animale.
En effet, grâce à la qualité des pâturages résultant d'une excellente saison agricole ainsi qu'à la qualité des fourrages d'engraissement et à l'amélioration des conditions d'élevage et des techniques d'engraissement, l'état de santé du cheptel est bon. Selon Benbarek Fenniri, président de l'ANOC (Association nationale ovine et caprine), «l'état d'engraissement des animaux offerts est satisfaisant, grâce aux campagnes de vaccination contre les principales maladies contagieuses».
La protection sanitaire du cheptel a toujours constitué une préoccupation majeure des services vétérinaires nationaux, compte tenu de l'importance économique et hygiénique des maladies animales contagieuses. À l'approche de l'Aid Al Adha, des efforts considérables sont d'ailleurs déployés, l'objectif étant de garantir au patrimoine animal un état sanitaire des plus satisfaisants en vue d'améliorer ses productions.
Soumis à la loi de l'offre et de la demande et variant selon la qualité, la race et l'âge des animaux, les prix des animaux destinés au sacrifice de l'Aïd Al Adha pourraient évoluer dans une fourchette oscillant entre 42 et 45 DH le Kg, indique M. Fenniri. Véritable locomotive pour le développement de la campagne, l'opération de l'Aïd Al Adha s'est avérée une opportunité pour améliorer la trésorerie des agriculteurs.
Pour la plupart de ces derniers, l'élevage des petits ruminants représente la principale source de revenu, notamment dans les vastes zones de parcours. Pour l'occasion, les transactions commerciales des animaux d'abattage permettront de réaliser un chiffre d'affaires dépassant allègrement la barre des 7 milliards de dirhams. Transféré au milieu rural, cette aubaine permet aux agriculteurs de faire face aux dépenses relatives aux autres activités agricoles, constituant ainsi une source de liquidité facilement mobilisable.
En effet, grâce à la qualité des pâturages résultant d'une excellente saison agricole ainsi qu'à la qualité des fourrages d'engraissement et à l'amélioration des conditions d'élevage et des techniques d'engraissement, l'état de santé du cheptel est bon. Selon Benbarek Fenniri, président de l'ANOC (Association nationale ovine et caprine), «l'état d'engraissement des animaux offerts est satisfaisant, grâce aux campagnes de vaccination contre les principales maladies contagieuses».
La protection sanitaire du cheptel a toujours constitué une préoccupation majeure des services vétérinaires nationaux, compte tenu de l'importance économique et hygiénique des maladies animales contagieuses. À l'approche de l'Aid Al Adha, des efforts considérables sont d'ailleurs déployés, l'objectif étant de garantir au patrimoine animal un état sanitaire des plus satisfaisants en vue d'améliorer ses productions.
Soumis à la loi de l'offre et de la demande et variant selon la qualité, la race et l'âge des animaux, les prix des animaux destinés au sacrifice de l'Aïd Al Adha pourraient évoluer dans une fourchette oscillant entre 42 et 45 DH le Kg, indique M. Fenniri. Véritable locomotive pour le développement de la campagne, l'opération de l'Aïd Al Adha s'est avérée une opportunité pour améliorer la trésorerie des agriculteurs.
Pour la plupart de ces derniers, l'élevage des petits ruminants représente la principale source de revenu, notamment dans les vastes zones de parcours. Pour l'occasion, les transactions commerciales des animaux d'abattage permettront de réaliser un chiffre d'affaires dépassant allègrement la barre des 7 milliards de dirhams. Transféré au milieu rural, cette aubaine permet aux agriculteurs de faire face aux dépenses relatives aux autres activités agricoles, constituant ainsi une source de liquidité facilement mobilisable.
