Le même jour, le Conseil d'administration de la SCB, réuni à Paris, a accepté la démission des administrateurs apparentés au groupe Crédit Agricole S.A. et a procédé à la nomination de ceux représentant Attijariwafa bank, nouvel actionnaire de référence de SCB. Présidé par Martin Okouda, le conseil d'administration, qui a nommé à l'unanimité Jamal Ahizoune au poste de directeur général (à compter du 8 avril 2011) de la filiale camerounaise, est composé de six administrateurs, dont notamment Mohamed El Kettani, Boubker Jai, Omar Bounjou et Ismaïl Douiri.
Pour mémoire, la SCB fait partie des cinq banques reprises d'un seul coup par Attijariwafa bank en vertu d'un accord signé avec le Crédit Agricole SA. Aujourd'hui, un projet Mehari est en lancement visant à doter les filiales ex-Crédit Agricole du même système d'information que toutes les autres filiales bancaires d'Attijariwafa bank, présent dans 22 pays. Ceci s'inscrit dans le cadre du programme de développement mis en place par le groupe pour l'ensemble de ses filiales en Afrique afin de les hisser aux standards de sa Banque marocaine.
En effet, dans tous les pays d'accueil où elle détient le contrôle, Attijariwafa bank est en train de dupliquer le modèle de la banque universelle. Une politique expansionniste qui a donné ses fruits vu les performances affichées par la Banque de détail à l'international (comprenant Attijari bank Tunisie et les banques de la zone subsaharienne).
Ainsi, Attijari bank Tunisie, dont le nombre d'agences s'est élevé en 2010 à 169 (premier réseau bancaire en Tunisie), a vu son PNB et son résultat net progresser, en 2010, de respectivement 13% à 986 MDH et de 24% à 343 MDH. Même au niveau des autres filiales africaines, la performance est au rendez-vous. Elles ont affiché de bonnes réalisations commerciales et financières contribuant ainsi aux performances du groupe bancaire marocain.
En effet, parmi les principaux contributeurs au Résultat net part du groupe (RNPG) à fin 2010, il existe à côté d'Attijariwafa bank (65%), Attijari bank Tunisie (4%), CBAO (2%), le Crédit du Congo (2%) et l'Union gabonaise de banque (2%). Au PNB (hors plus-values) des banques comme SIB, UGB et CDC contribuent de respectivement 3,5%, 2,7% et 1,5%.
Pour dire que la diversification géographique d'Attijariwafa bank, qui s'est investi dans la consolidation de sa stratégie de développement en 2010, notamment à travers le lancement des projets d'intégration des quatre filiales subsahariennes récemment acquises, la prise de contrôle de BNP Paribas–Mauritanie (80% conjointement avec la groupe Banque Populaire) et le démarrage de l'activité bancaire au Burkina Faso, est prometteuse.
Pour mémoire, la SCB fait partie des cinq banques reprises d'un seul coup par Attijariwafa bank en vertu d'un accord signé avec le Crédit Agricole SA. Aujourd'hui, un projet Mehari est en lancement visant à doter les filiales ex-Crédit Agricole du même système d'information que toutes les autres filiales bancaires d'Attijariwafa bank, présent dans 22 pays. Ceci s'inscrit dans le cadre du programme de développement mis en place par le groupe pour l'ensemble de ses filiales en Afrique afin de les hisser aux standards de sa Banque marocaine.
En effet, dans tous les pays d'accueil où elle détient le contrôle, Attijariwafa bank est en train de dupliquer le modèle de la banque universelle. Une politique expansionniste qui a donné ses fruits vu les performances affichées par la Banque de détail à l'international (comprenant Attijari bank Tunisie et les banques de la zone subsaharienne).
Ainsi, Attijari bank Tunisie, dont le nombre d'agences s'est élevé en 2010 à 169 (premier réseau bancaire en Tunisie), a vu son PNB et son résultat net progresser, en 2010, de respectivement 13% à 986 MDH et de 24% à 343 MDH. Même au niveau des autres filiales africaines, la performance est au rendez-vous. Elles ont affiché de bonnes réalisations commerciales et financières contribuant ainsi aux performances du groupe bancaire marocain.
En effet, parmi les principaux contributeurs au Résultat net part du groupe (RNPG) à fin 2010, il existe à côté d'Attijariwafa bank (65%), Attijari bank Tunisie (4%), CBAO (2%), le Crédit du Congo (2%) et l'Union gabonaise de banque (2%). Au PNB (hors plus-values) des banques comme SIB, UGB et CDC contribuent de respectivement 3,5%, 2,7% et 1,5%.
Pour dire que la diversification géographique d'Attijariwafa bank, qui s'est investi dans la consolidation de sa stratégie de développement en 2010, notamment à travers le lancement des projets d'intégration des quatre filiales subsahariennes récemment acquises, la prise de contrôle de BNP Paribas–Mauritanie (80% conjointement avec la groupe Banque Populaire) et le démarrage de l'activité bancaire au Burkina Faso, est prometteuse.
