Le basket-ball à Khouribga et même dans les deux régions Tadla-Azilal et Chaouia-Ouardigha se limite au niveau de l'OCK à travers les différentes catégories d'adhérents qui participent régulièrement à toutes les compétitions programmées régulièrement par la Fédération royale marocaine de basket-ball.
Malgré les moyens financiers modestes et l'infrastructure dégradée, l'OCK a réussi, depuis dix ans environ, à s'imposer en s'occupant sérieusement des jeunes et en participant à des actions «socio-basket» au profit d'un grand nombre d'étudiants, de différents établissements scolaires. «Notre devoir est d'amener les jeunes vers le basket-ball, de les aider moralement et matériellement pour aimer cette discipline», insistait souvent Driss Oummani, président de la section.
D'ailleurs l'engagement d'un entraîneur qualifié de deuxième degré reconnu par des experts de la Fédération internationale de basket-ball, en l'occurrence, Mustapha Moufid justifie donc les objectifs à long terme du comité. Les seniors se sont classés troisièmes dans la poule sud qui compte 8 clubs (TSC, CMC, MET, FAR, OCS, HUSA, KACM, OCK) au même niveau que les grands clubs casablancais qui disposent d'une bonne infrastructure et offrent à leurs joueurs des salaires et des primes dépassant de loin ceux de l'OCK. L'équipe de Khouribga, à travers ces données, vit une hémorragie de départs des joueurs vers les grands clubs et les instituts supérieurs après le bac. La formation ou plutôt la création des 6 écoles de «mini-basket» au sein d'un centre de proximité, des sociétés musulmanes de bienfaisance et des écoles primaires (villes et villages), encadrées et financées par l'OCK au profit des jeunes étudiants âgés de 11 à 13 ans au nombre de 200, a permis d'occuper les jeunes par le sport, d'assurer un suivi de leurs études et de s'occuper de leurs besoins. C'est une opération «socio-sport» unique, semble-t-il, au Royaume. Les minimes ont tout simplement gagné cinq rencontres sur 5 et ils se sont assurés de remporter le championnat du Maroc.
Malgré les moyens financiers modestes et l'infrastructure dégradée, l'OCK a réussi, depuis dix ans environ, à s'imposer en s'occupant sérieusement des jeunes et en participant à des actions «socio-basket» au profit d'un grand nombre d'étudiants, de différents établissements scolaires. «Notre devoir est d'amener les jeunes vers le basket-ball, de les aider moralement et matériellement pour aimer cette discipline», insistait souvent Driss Oummani, président de la section.
D'ailleurs l'engagement d'un entraîneur qualifié de deuxième degré reconnu par des experts de la Fédération internationale de basket-ball, en l'occurrence, Mustapha Moufid justifie donc les objectifs à long terme du comité. Les seniors se sont classés troisièmes dans la poule sud qui compte 8 clubs (TSC, CMC, MET, FAR, OCS, HUSA, KACM, OCK) au même niveau que les grands clubs casablancais qui disposent d'une bonne infrastructure et offrent à leurs joueurs des salaires et des primes dépassant de loin ceux de l'OCK. L'équipe de Khouribga, à travers ces données, vit une hémorragie de départs des joueurs vers les grands clubs et les instituts supérieurs après le bac. La formation ou plutôt la création des 6 écoles de «mini-basket» au sein d'un centre de proximité, des sociétés musulmanes de bienfaisance et des écoles primaires (villes et villages), encadrées et financées par l'OCK au profit des jeunes étudiants âgés de 11 à 13 ans au nombre de 200, a permis d'occuper les jeunes par le sport, d'assurer un suivi de leurs études et de s'occuper de leurs besoins. C'est une opération «socio-sport» unique, semble-t-il, au Royaume. Les minimes ont tout simplement gagné cinq rencontres sur 5 et ils se sont assurés de remporter le championnat du Maroc.
