Depuis son match contre le club ghanéen de Aduana Stars du Ghana jusqu'au Kano Pillars du Nigeria en passant par le TP de Mazembe, RD du Congo, et Al Ahly d'Egypte, jamais le Wydad n'a eu de sueurs froides autant qu'il les a eues face à l'Espérance de Tunis. Le WAC devra faire preuve de vigilance ; car de tous les clubs tunisiens, seule l'Espérance était en mesure d'imposer à l'équipe casablancaise un véritable test. Et comme pour appuyer cette thèse, les coéquipiers d'Oussama Drraji allaient surprendre un Wydad, d'habitude, plus conquérant et plus entreprenant. Une première fois par l'attaquant Wajdi Bouazzi.
Le Wydad était déboussolé. On pensait que le WAC allait se ressaisir. Mais ce fut la douche écossaise pour les Bidaouis via Walid Hichri. C'était plus qu'il n'en faut pour confirmer la présence du «mauvais sort» qui planait sur nous contre les clubs de notre voisin la Tunisie. Dans les gradins, c'était un silence plus qu'éloquent. Mais les Winners et consorts n'en démordaient pas pour autant. De temps à autre, ils rappelaient à leurs protégés qu'ils étaient là et qu'il fallait réagir.
L'arbitre de la partie, le représentant des Seychelles, a renvoyé tout le monde aux vestiaires avec ce score.
En deuxième période, on connaît la suite. Le sursaut du WAC grâce à un mental d'acier et un effort collectif. Le coach Decastel pouvait pousser un «ouf» de soulagement.
Mais tout n'est pas fini pour autant ! Aujourd'hui, le Wydad retrouve l'Espérance pour un deuxième acte qui s'annonce brûlant. Certes, les sanctions de la Confédération africaine de football (CAF) qui reste intransigeante sur les questions de discipline, de fair-play, demeurent impitoyables. Le Tarajji en sait quelque chose puisqu'il a été frappé par des sanctions se rapportant à un public indiscipliné.
Afin de garder intactes leurs chances de passer aux demi-finales, les coéquipiers de Nadir Lemyaghri, dont certains viennent d'être appelés en équipe nationale (Youssef Rabeh et Saïd Fettah) doivent garder à l'esprit leur mental qui les a sauvés contre le Mazembe à Casablanca (où ils ont pu vaincre le double champion d'Afrique), contre Al Ahly (où ils ont réussi à visiter par trois fois les bois du prestigieux club cairote, contre l'OCK en Coupe du Trône… Les Rouges vont donc mettre leurs compétences en jeu face à un adversaire qui tient à démontrer qu'il mérite ses nombreux titres nationaux ou continentaux.
Gageons que le Wydad reviendra avec un résultat probant de Tunis. D'autant que le football marocain et avec lui, l'équipe nationale et ses clubs, sont en plein décollage. Et ce ne sera guère une surprise si le WAC revient avec une victoire ou du moins un nul qui lui permettrait de trôner à la tête de ce groupe avec un goal average consistant.
Le Wydad était déboussolé. On pensait que le WAC allait se ressaisir. Mais ce fut la douche écossaise pour les Bidaouis via Walid Hichri. C'était plus qu'il n'en faut pour confirmer la présence du «mauvais sort» qui planait sur nous contre les clubs de notre voisin la Tunisie. Dans les gradins, c'était un silence plus qu'éloquent. Mais les Winners et consorts n'en démordaient pas pour autant. De temps à autre, ils rappelaient à leurs protégés qu'ils étaient là et qu'il fallait réagir.
L'arbitre de la partie, le représentant des Seychelles, a renvoyé tout le monde aux vestiaires avec ce score.
En deuxième période, on connaît la suite. Le sursaut du WAC grâce à un mental d'acier et un effort collectif. Le coach Decastel pouvait pousser un «ouf» de soulagement.
Mais tout n'est pas fini pour autant ! Aujourd'hui, le Wydad retrouve l'Espérance pour un deuxième acte qui s'annonce brûlant. Certes, les sanctions de la Confédération africaine de football (CAF) qui reste intransigeante sur les questions de discipline, de fair-play, demeurent impitoyables. Le Tarajji en sait quelque chose puisqu'il a été frappé par des sanctions se rapportant à un public indiscipliné.
Afin de garder intactes leurs chances de passer aux demi-finales, les coéquipiers de Nadir Lemyaghri, dont certains viennent d'être appelés en équipe nationale (Youssef Rabeh et Saïd Fettah) doivent garder à l'esprit leur mental qui les a sauvés contre le Mazembe à Casablanca (où ils ont pu vaincre le double champion d'Afrique), contre Al Ahly (où ils ont réussi à visiter par trois fois les bois du prestigieux club cairote, contre l'OCK en Coupe du Trône… Les Rouges vont donc mettre leurs compétences en jeu face à un adversaire qui tient à démontrer qu'il mérite ses nombreux titres nationaux ou continentaux.
Gageons que le Wydad reviendra avec un résultat probant de Tunis. D'autant que le football marocain et avec lui, l'équipe nationale et ses clubs, sont en plein décollage. Et ce ne sera guère une surprise si le WAC revient avec une victoire ou du moins un nul qui lui permettrait de trôner à la tête de ce groupe avec un goal average consistant.
