C'est un Anass Sefrioui heureux qui a présenté, mardi 4 octobre, à la presse les deux usines de Ciments de l'Atlas (Cimat), en présence de Ahmed Réda Chami, ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies. La délégation a visité les installations industrielles des deux unités, sises à Béni Mellal et Ben Ahmed, entièrement automatisées (four, machine de broyage, ensachage, expédition).
En sa qualité du président de Ciments de l'Atlas, Anas Sefrioui a présenté l'état d'avancement de la mise en place de ces deux unités qui ont nécessité une enveloppe de 5 milliards de dirhams et qui disposent d'une capacité de production annuelle de 3,2 millions de tonnes. «Ces deux unités sont conçues selon les standards internationaux les plus élevés en termes de technologie, de respect de l'environnement et d'efficacité énergétique», souligne le PDG. La première unité construite dans la région de Ben Ahmed, donnant naissance à la première usine de Ciments de l'Atlas, a démarré en avril 2010. Actuellement, elle a atteint sa pleine capacité de production qu'il s'agisse du four, des installations de broyage et d'ensachage que du process des expéditions. Le choix de la région de Ben Ahmed est justifié, selon Cimat, pour sa proximité du Grand Casablanca représentant à lui seul 15% de la consommation nationale, ainsi que des autres marchés de la région de Rabat. Ce choix s'explique aussi par la volonté d'alimenter les marchés de la région Chaouia-Ouardigha dont le potentiel de développement demeure important.
Quant à la seconde unité de production, située dans la région de Beni Mellal, la fabrication a commencé dès le 1er janvier 2011 avec un centre d'ensachage. Et ce n'est qu'en juillet dernier que les activités de broyage du ciment ont démarré alors que le démarrage de la production du clinker est programmé pour la fin de cette année. S'agissant de l'usine de Beni Mellal, elle est destinée à desservir, outre le marché de Tadla-Azilal, le grand marché de la région de Marrakech ainsi que celui de Meknès-Tafilalt.
Cette unité pourra également profiter du projet d'autoroute reliant Berrechid à Béni Mellal actuellement en cours de réalisation, pour atteindre d'autres marchés, ce qui constitue un levier économique de premier plan pour la région. «La concrétisation de cet investissement industriel fortement capitalistique, dont les effets induits sur le développement socio-économique des deux régions Chaouia-Ourdigha et Tadla Azilal sont indéniables, est le reflet de la grande confiance que nourrissent les actionnaires de Ciments de l'Atlas quant à la dynamique de croissance de l'économie nationale et particulièrement du secteur du BTP», affirme-t-on auprès du top-management.
A rappeler que ce nouvel opérateur a fait son entrée sur le marché à un moment où le secteur cimentier continue à afficher des résultats satisfaisants malgré une conjoncture difficile. Notons à ce titre que la consommation nationale du ciment ne cesse d'augmenter encouragée par l'auto-construction et le logement social. A titre de rappel, au cours des huit premiers mois de l'année, les ventes ont atteint 1.0664.085 tonnes contre 10.061.374 tonnes à fin août 2010, soit une progression de 6%. C'est la région du Grand Casablanca, marché cible de l'usine de Ben Ahmed, qui maintient toujours la première place en matière de consommation du ciment avec des écoulements totalisant 1.622.747 tonnes contre 1.531.267 tonnes à fin août 2010, soit une augmentation de 6%. Quant au marché de Tadla-Azilal, les ventes du ciment ont atteint 467200 tonnes en hausse de 64,2% comparées au volume réalisé à fin août 2011. c'est dire que le marché cimentier offre encore de belles perspectives dans un pays qui a érigé l'habitat et le développement des infrastructures en priorité.
Pour atteindre ces résultats, certes probants, ce projet a été conduit par des équipes et des compétences marocaines, dans le strict respect du budget et des délais. Il a permis la création de 100 emplois permanents directs et 150 emplois indirects, ce qui contribue à insuffler une dynamique à l'économie régionale et au développement socio-économique et humain pour les deux régions Chaouia-Ourdigha et Tadla-Azilal.
En sa qualité du président de Ciments de l'Atlas, Anas Sefrioui a présenté l'état d'avancement de la mise en place de ces deux unités qui ont nécessité une enveloppe de 5 milliards de dirhams et qui disposent d'une capacité de production annuelle de 3,2 millions de tonnes. «Ces deux unités sont conçues selon les standards internationaux les plus élevés en termes de technologie, de respect de l'environnement et d'efficacité énergétique», souligne le PDG. La première unité construite dans la région de Ben Ahmed, donnant naissance à la première usine de Ciments de l'Atlas, a démarré en avril 2010. Actuellement, elle a atteint sa pleine capacité de production qu'il s'agisse du four, des installations de broyage et d'ensachage que du process des expéditions. Le choix de la région de Ben Ahmed est justifié, selon Cimat, pour sa proximité du Grand Casablanca représentant à lui seul 15% de la consommation nationale, ainsi que des autres marchés de la région de Rabat. Ce choix s'explique aussi par la volonté d'alimenter les marchés de la région Chaouia-Ouardigha dont le potentiel de développement demeure important.
Quant à la seconde unité de production, située dans la région de Beni Mellal, la fabrication a commencé dès le 1er janvier 2011 avec un centre d'ensachage. Et ce n'est qu'en juillet dernier que les activités de broyage du ciment ont démarré alors que le démarrage de la production du clinker est programmé pour la fin de cette année. S'agissant de l'usine de Beni Mellal, elle est destinée à desservir, outre le marché de Tadla-Azilal, le grand marché de la région de Marrakech ainsi que celui de Meknès-Tafilalt.
Cette unité pourra également profiter du projet d'autoroute reliant Berrechid à Béni Mellal actuellement en cours de réalisation, pour atteindre d'autres marchés, ce qui constitue un levier économique de premier plan pour la région. «La concrétisation de cet investissement industriel fortement capitalistique, dont les effets induits sur le développement socio-économique des deux régions Chaouia-Ourdigha et Tadla Azilal sont indéniables, est le reflet de la grande confiance que nourrissent les actionnaires de Ciments de l'Atlas quant à la dynamique de croissance de l'économie nationale et particulièrement du secteur du BTP», affirme-t-on auprès du top-management.
A rappeler que ce nouvel opérateur a fait son entrée sur le marché à un moment où le secteur cimentier continue à afficher des résultats satisfaisants malgré une conjoncture difficile. Notons à ce titre que la consommation nationale du ciment ne cesse d'augmenter encouragée par l'auto-construction et le logement social. A titre de rappel, au cours des huit premiers mois de l'année, les ventes ont atteint 1.0664.085 tonnes contre 10.061.374 tonnes à fin août 2010, soit une progression de 6%. C'est la région du Grand Casablanca, marché cible de l'usine de Ben Ahmed, qui maintient toujours la première place en matière de consommation du ciment avec des écoulements totalisant 1.622.747 tonnes contre 1.531.267 tonnes à fin août 2010, soit une augmentation de 6%. Quant au marché de Tadla-Azilal, les ventes du ciment ont atteint 467200 tonnes en hausse de 64,2% comparées au volume réalisé à fin août 2011. c'est dire que le marché cimentier offre encore de belles perspectives dans un pays qui a érigé l'habitat et le développement des infrastructures en priorité.
Conformité
Moins d'une année après son entrée en production, Ciments de l'Atlas a obtenu la conformité de ces produits à la norme marocaine NM 10. 1. 004. Sont concernés par cette certification toute la gamme des ciments usuels, à savoir les ciments CPJ de la classe 35, 45 et 55, produits par son usine de Ben Ahmed. Cette conformité a été attribuée par le SNIMA suite à un processus de contrôle qualité des produits qui a duré six mois.Pour atteindre ces résultats, certes probants, ce projet a été conduit par des équipes et des compétences marocaines, dans le strict respect du budget et des délais. Il a permis la création de 100 emplois permanents directs et 150 emplois indirects, ce qui contribue à insuffler une dynamique à l'économie régionale et au développement socio-économique et humain pour les deux régions Chaouia-Ourdigha et Tadla-Azilal.
